Actions

Sainte-Mère-Église

De Wikimanche

Sainte-Mère-Église est une commune du département de la Manche.


Blason de la commune de Sainte-Mère-Église Coordonnées géographiques de la mairie Logo-Mairie.png
49° 24' 35.40" N, 1° 19' 5.36" W (OSM)
Arrondissement Cherbourg
Chargement de la carte...
Canton Carentan
Intercommunalité CC de la Baie du Cotentin
Gentilé Sainte-Mère-Églisais(es)
Population 2 965 hab. (2021)
Superficie 32,08 km²
Densité 92 hab./km2
Altitude 0 m (mini) - 41 m (maxi)
Code postal 50480
N° INSEE [1] 50523
Maire Alain Holley
Communes limitrophes de Sainte-Mère-Église
Fresville
Neuville-au-Plain
Azeville
Saint-Marcouf
Mer de la Manche
Picauville Sainte-Mère-Église Saint-Germain-de-Varreville
Turqueville
Beuzeville-la-Bastille Liesville-sur-Douve
Blosville
Sébeville


Infrastructure et occupation des sols en 2018.


Géographie

Sainte-Mère-Église est située dans le Plain, région du Cotentin réputée pour ses élevages et la richesse de sa terre.

Elle s'inscrit dans le Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.

Elle est arrosée par le Merderet qui la délimite à l'ouest, et le ruisseau nommé By.

Elle est traversée par la route nationale 13 et les routes départementales RD 15 et RD 67, ainsi que par la ligne ferroviaire Paris-Cherbourg.

Toponymie

Attestations anciennes

  • Sancte Marie Ecclesia 1080[2]
  • Ecclesia de Sancte Maria 1082[2]
  • Saincte-Mariglise 1317[2]

Étymologie

Les formes anciennes du toponyme impliquent une référence à Marie[3]. Saincte-Mariglise fut donc altéré en Sainte-Mère-Église.

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), à l'instar de nombreux toponymes à connotation religieuse, la commune est renommée Mère-Libre[4].

Histoire

Sainte-Mère-Église est située sur une voie romaine.

Moyen Âge

La construction de l'église de Sainte-Mère débute au 11e siècle. Elle fait suite à la création de la paroisse.

Guillaume de Sainte-Mère-Église est sacré évêque de Londres en 1199 sous règne de Richard Cœur de Lion.

Les Anglais détruisent le village au 14e siècle.

17e-18e siècles

L'existence d'une importante communauté protestante au 17e siècle est la source de conflits d'ordre religieux à Sainte-Mère-Église.

La paroisse est décrite ainsi en 1743 :

« On compte trois lieuës de Vallogne au Bourg de Sainte Mere Eglise, & autant de ce Bourg à Carentan. Il est situé sur la route qui va de l'une à l'autre de ces deux Villes. Il est de l'Election de Carentan, & il a un Marché tous les jeudis. M. le comte de Courtomer en est Seigneur. Cenalis l'appelle Phanum matricis Ecclesia; d'autres Auteurs l'appellent Sancta Mater Ecclesia, dit Masseville. Le Curé de la Paroisse, qui est fort grande, prend le titre d'Archi-Prêtre. » [5]

Seconde Guerre mondiale

Juin 1944.

Sainte-Mère-Église est la première bourgade de France continentale libérée lors de la Seconde Guerre mondiale [6]. Largués au-dessus de la commune le 6 juin 1944 dès 00 h 50 [7], les parachutistes américains prennent le contrôle de la commune à 4 h 30 du matin, après d'intenses combats [8]. L'un d'eux, John Steele, restera accroché au clocher de l'église.

Le 27 mai 2002, Jacques Chirac, président de la République, et George W. Bush, président des États-Unis, honorent les victimes du Débarquement de 1944 [9].

Réforme territoriale

Le 1er janvier 2016, Sainte-Mère-Église fusionne avec Beuzeville-au-Plain, Chef-du-Pont, Écoquenéauville et Foucarville sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 relative à la réforme des collectivités territoriales [10].

Le 1er janvier 2019, Sainte-Mère-Église s'agrandit et fusionne avec Carquebut et Ravenoville par arrêté préfectoral du 20 décembre 2018 [11]

Démographie

De la Révolution à 2019

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[12]. En 2021, la commune comptait 2 965 habitants.

Évolution de la population depuis 1793  modifier
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 3371 4251 5071 6381 7401 6701 5621 5931 5731 553
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 5751 5131 4741 5071 4591 4131 4501 3531 2951 282
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 2641 1331 1041 1731 1631 2611 1431 2211 3261 427
1982 1990 1999 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
1 4811 5561 5851 6121 6111 6291 6431 6321 6251 617
2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 -
1 6302 5682 5502 5313 0773 0743 0763 0212 965-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes. Depuis 2006 : population municipale.
Sources : Cassini [13] et INSEE [14]


--- Voir les sections « Démographie » de Beuzeville-au-Plain, de Carquebut, de Chef-du-Pont, d' Écoquenéauville, de Foucarville et de Ravenoville.

Depuis la création de la commune

Liste des communes historiques
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Canton
Sainte-Mère-Église (commune déléguée) 50P26 CC de la Baie du Cotentin 17,68 1 541 (2021) 87 Carentan
Beuzeville-au-Plain 50051 CC de la Baie du Cotentin 2,04 41 (2021) 20 Carentan
Carquebut 50103 CC de la Baie du Cotentin 8,54 303 (2021) 35 Carentan
Chef-du-Pont 50127 CC de la Baie du Cotentin 3,78 635 (2021) 168 Carentan
Écoquenéauville 50170 CC de la Baie du Cotentin 3,52 97 (2021) 28 Carentan
Foucarville 50191 CC de la Baie du Cotentin 5,06 116 (2021) 23 Carentan
Ravenoville 50427 CC de la Baie du Cotentin 11,65 232 (2021) 20 Carentan

Administration

Circonscriptions administratives avant la Révolution

Circonscriptions administratives depuis la Révolution

Les maires

Liste des maires de Sainte-Mère-Église depuis 1944
Période Identité Parti Qualité Observations
1944-1947 Alexandre Renaud pharmacien
1947-1953 Jean Philippe décédé en février 1953, à l'âge de 83 ans
1953-1959 Fernand Bonhomme
1959-1971 Jean Masselin médecin
1971-1976 André Macé
1977-1977 André Gravey agent d'assurance
1977-1983 Robert Constans
1983-2014 Marc Lefèvre DVD vétérinaire conseiller général
2014-2020 Jean Quétier retraité
2020-actuel Alain Holley
Source  : liste établie par Jean Pouëssel et Maurice Lecœur pour 601 communes et lieux de vie de la Manche. [15]
À compléter.
Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

--- Pour les anciens maires des communes historiques, voir les sections « Administration  » de : Beuzeville-au-Plain, Chef-du-Pont, Écoquenéauville et Foucarville.

Mairie

Horaires d'ouverture
Jours Matin Après-midi Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici)
Lundi - 13 h 30 - 18 h
La mairie (2012)
La mairie (2012)

Adresse : 6, rue du Cap-de-Lainé
50480 Sainte-Mère-Église

Tél. 02 33 41 31 18
Fax : 02 33 41 79 15
Courriel : Contacter la mairie
Site internet : Officiel
Commentaire :
Source : Site de la commune (23 juin 2018)

Mardi 8 h 30 - 12 h -
Mercredi 8 h 30 - 12 h 13 h 30 - 18 h
Jeudi 8 h 30 - 12 h -
Vendredi 8 h 30 - 12 h 13 h 30 - 18 h
Samedi 8 h 30 - 12 h -


Religion

Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution

  • Diocèse : Bayeux.
  • Archidiaconé : Les Veys.
  • Doyenné :
- Trévières pour Sainte-Mère-Église et Chef-du-Pont (exemption de Sainte-Mère-Église).
- Plain pour Beuzeville-au-Plain, Écoquenéauville et Foucarville.

Circonscriptions ecclésiastiques actuelles

Église de Chef-du-Pont
Laiterie de la Laitière industrielle de Normandie
Laiterie de Chef-du-Pont vers 1925

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

Patrimoine civil

  • Ferme-musée du Cotentin, propose de découvrir l'histoire du monde rural et agricole normand
  • Fontaine Saint-Méen et lavoir]] (19e)
  • Isigny Sainte-Mère, laiterie industrielle produisant le Petit Sainte-Mère à Chef-du-Pont
  • Gare de Chef-du-Pont - Sainte-Mère-Église
  • Borne milliaire romaine, sur la place de l'église, portant les inscriptions ainsi déchiffrées : « À l'empereur grand pontife... revêtu de sa ...e puissance tribucienne... À partir de Crouciatonnum, 9 000 pas. » [16]
  • Manoir de Marieville et communs, inscrits à l'Inventaire des monuments historiques (IMH), à Beuzeville-au-Plain : logis en équerre, tours d'angle (15e), meutrières, fenêtres (18e)
  • Manoir d'Artilly, à Beuzeville-au-Plain
  • Manoir de Surville à Ravenoville
  • Château Le Val (18e), à Chef-du-Pont : pigeonnier. Privé, pas de visites
  • Ferme du Haut de la Rue (16e/17e), à Chef-du-Pont
  • Le Grand Hameau, à Écoquenéauville
  • Ferme du Moulinet, à Écoquenéauville : petit moulin en ruine
  • Ferme du Colombier, à Écoquenéauville : vieux pressoir
  • Ferme de La Ferrière (16e/17e), à Foucarville
  • Le Vicomte et Les Moitiers, à Foucarville
  • Hameau Dauphin et hameau Vigier, à Foucarville
Un parachute accroché rappelle la mésaventure arrivée à John Steele.

Patrimoine naturel

Patrimoine mémoriel

Borne km 0.
Stèle en hommage aux libérateurs.
Stèle en hommage aux francais morts pour la liberté.
  • Airborne Museum (Musée Airborne)
  • D-Day Collins Museum (musée) : Château de Franquetot de Carquebut.
  • La Fière
  • Monument 439th TC group et 506th PIR de Beuzeville-au-Plain : à la mémoire de l'équipage d'un C47 du 439e Troop Carrier Group et des 17 parachutistes du 506e régiment d'infanterie parachutiste de la 101e division airborne morts à Beuzeville-au-Plain le 6 juin 1944 [17]
  • Monument de la Libération de Foucarville, rappelant le camp de prisonniers allemands ouvert en août 1944
  • Plaque du 6 juin 1944, posée par les communes de Saint-Germain-de-Varreville, Foucarville et Beuzeville-au-Plain en remerciement de la protection de Notre-Dame, notamment lors du Débarquement le 6 juin 1944
  • Jardin du 508e régiment d'infanterie parachutiste américain à Chef-du-Pont : trois stèles et un monument commémoratifs
  • Plaque Rex Combs, située sur le monument aux morts du cimetière de Chef-du-Pont : à la mémoire du capitaine Rex Combs, du 508e régiment d'infanterie parachutiste américain, qui combat pour la libération de Chef-du-Pont le 6 juin 1944
  • Borne 0, située devant l'hôtel de ville de Sainte-Mère-Église : cette borne est le point de départ de la Voie de la Liberté, qui se termine à Bastogne en Belgique
  • Monument aux morts
  • Monuments aux morts de Carquebut, de Ravenoville, de Chef-du-Pont, d'Écoquenéauville, de Foucarville
  • Stèle des généraux Ridgway et Gavin : rend hommage aux généraux Ridgway et Gavin et à tous les libérateurs de Sainte-Mère-Église
  • Stèle du 505th Para regiment : rappelle l'action du 505e régiment d'infanterie parachutiste de la 82e division aéroportée américaine qui libère Sainte-Mère-Église le 6 juin 1944 à 4 h 30 du matin
  • Plaque du 505th PIR : dédiée au quatre parachutistes, de la C Company du 505e régiment d'infanterie parachutiste, tués le 6 juin 1944
  • Stèle Airfield La Londe : signale l'existence d'un terrain d'aviation (utilisé du 12 juin au 26 juillet 1944) par le 552nd AAA AW Batallion, commandé par le colonel Benjamin M. Warfield
  • Plaque de la 82nd Airborne division : dédiée au parachutiste Clifford A. Maugham, du 505e RIP de la 82e division aéroportée américaine, qui atterrit dans le jardin de cette maison à 1 h 45 dans la nuit du 6 juin 1944. Les noms de tous les soldats de la 2e section de la F Company sont inscrits sur la plaque
  • Vitraux de la 82nd Airborne division, dans l'église de Sainte-Mère-Église : commémorent la libération du bourg le 6 juin 1944 par les parachutistes de la 82e division aéroportée américaine. Un mannequin accroché au clocher rappelle l'histoire du parachutiste John Steele
  • Statue de Theodore Roosevelt Junior inaugurée le 6 juin 2022 près du rond-point Sainte-Ode [18]
  • Stèle en mémoire des trois cimetières provisoires établis à Sainte-Mère et Blosville de juin 1944 à 1948 et qui ont accueilli 13 787 tombes. Inaugurée le 7 juin 2019 en présence de George Ciampa, un des 125 soldats américains chargés d'enterrer leurs camarades tombés au combat, elle est l’œuvre de Yannec Tomada [19].
  • Panneaux de la Libération : circuit à travers la ville ponctué de 15 panneaux qui racontent la libération de Sainte-Mère-Église le 6 juin 1944 par les parachutistes américains

Personnalités liées à la commune

Naissances

Décès

Autres

Économie

Transports

Liaisons ferroviaires

Liaisons routières

Ligne Manéo

Éducation

  • Collège Saint-Exupéry
  • Groupe scolaire du Manoir (publique)
  • École Notre-Dame (privée)
  • École de la Colombe (publique) à Chef-du-Pont

Culture

Jumelage

  • Sturminster Marshall (Royaume-Uni)

Sports

  • Baseball : Sainte-Mère-Église Baseball Club (1988-1992)
  • Équitation : National pro 1 de Sainte-Mère-Église, depuis 1939
  • Football : AS Plain-Cotentin (-2012) ; ES Plain (2012-)
  • Pêche : Le Gardon capipontain ; concours annuel à l'étang de Carquebut
  • Tennis : Tennis club du Plain

Hommage

Bibliographie

Livres
  • Alexandre Renaud, Sainte-Mère-Église, Première tête de pont américaine en France, éd. Odile Pathé, 1945.
  • S.L.A. Marshall, L'invasion aéroportée en Normandie, Paris, éd. Payot, 1968.
  • Philippe Jutras, Sainte-Mère-Église et le débarquement aérien dans la nuit du 5-6 Juin 1944, Bayeux, éd. Heimdal, 1976, rééd. 1994.
  • Geneviève Duboscq, Bye Bye Geneviève ! - Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944 dans les marais de Sainte-Mère-Église, Paris, éd. Robert Laffont, 1978.
  • Philippe Jutras, Les Paras U.S. dans le canton de Sainte-Mère-Église, Bayeux, éd. Heimdal, 1982.
  • Albert Pipet, Parachutés sur Sainte-Mère-Église, Paris, éd. Presses de la Cité, 1984, réed. 1998.
  • Rémy Villand, La ferme de la Carrière à Sainte-Mère-Église, 82 p., 1984.
  • Rémy Villand, Beuzeville-au-Plain, Société d'archéologie de la Manche, 1986, 74 p.
  • Maurice Lecœur, Un village du Cotentin, Sainte-Mère-Église 1082-1944, éditions Fanval, 1988.
  • Maurice Lecœur, Sainte-Mère-Église : Le village du "Jour le plus long", éd. Lieu Commun, 1994.
  • Maurice Lecœur et Michel Hébert, Sainte-Mère-Église et son canton, Condé-sur-Noireau, éd. Charles Corlet, 1998.
  • Christophe Prime, Sainte-Mère-Église : Les paras US sautent sur le Cotentin, Caen, éd. Mémorial de Caen, 2003.
  • Monique Maury Léon, Sainte-Mère-Église libérée - L'histoire racontée à ma petite-fille, éd. GREF, 2007.
  • Damien Fantauzzo et Paul Villatoux, Sainte-Mère-Église, première ville libérée de France (5-6 juin 1944), éd. L'Esprit du livre, 2009.
  • Georges Bernage, Utah Beach : Sainte-Mère-Église, Sainte-Marie-du-Mont, Bayeux, éd. Heimdal, 2011.
  • Jean-Noël Noury, Chef-du-Pont au fil des siècles, éd. de la Sienne, 2012.
  • Antonin Dehays, Sainte-Mère-Église : Un sanctuaire américain en Normandie, 1944-1948, Bayeux, éd. OREP, 2014.
  • Collectif, Objectif Sainte-Mère-Église - Les parachutistes américains du Jour J, Sainte-Mère-Église, éd. Airborne Museum/Big Red One Editions, 2016, 172 p.
Articles
  • « La Compagnie laitière industrielle de Normandie à Chef-du-Pont », Études et travaux, IVe Région économique de Basse-Normandie, n° 61, 1958-1959, p. 158-161
  • L. Garros, « Sainte-Mère-Église », Historama, n° 153, juin 1964, p. 4-20
  • Pierre Godefroy, « Château de Marieville à Beuzeville-au-Plain », Annuaire des cinq départements normands, Congrès de Valognes, 1967, p. 41-44.
  • C . Cautru, « L'exemption de Sainte-Mère-Église », Annuaire des cinq départements normands, congrès de Valognes, 1967, pp. 59-62.
  • « Sainte-Mère-Église et le Plain », Vikland, n° 7, automne 1977.
  • Roger J. Lebarbenchon, « Sainte-Mère-Eglise, le 6 juin 1944 ou l’histoire revécue », Revue de la Manche, n° 148, octobre 1995
  • « Sainte-Mère-Église - Sainte-Marie-du-Mont - Brucheville », Vikland, n° 29, mai 2019

Notes et références

  1. Le code INSEE des communes nouvelles est celui de leur chef-lieu (en général l'ancienne commune principale), les codes INSEE des autres communes sont supprimés. Source Préfecture de la Manche.
  2. 2,0 2,1 et 2,2 Article « Sainte-Mère-Église », wikipedia.fr, consulté le 22 juin 2018.
  3. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, éd. Bonneton, Paris, 1999.
  4. Notice communale sur Sainte-Mère-Église, « Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui », consultée sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales (lire en ligne).
  5. Mercure de France, 1er mars 1743.
  6. Alexandre Renaud, Sainte-Mère-Église : première tête de pont américaine en France, éd. Odile Pathé, 1945.
  7. AFP, 5 juin 2009, 9 h 24.
  8. Dossier de presse édité à l'occasion du 50e anniversaire du Débarquement, juin 1994.
  9. France 2, 27 mai 2002, journal télévisé de 20 h (voir en ligne).
  10. Arrêté n° 15-91 du 2 décembre 2015, manche.gouv.fr (lire en ligne).
  11. « Recueil des actes administratifs - Décembre 2018 - SP94 », manche.gouv.fr, (lire en ligne), consulté le 28 décembre 2018.
  12. Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
  13. Population avant le recensement de 1962
  14. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  15. René Gautier et 54 correspondants , 601 communes et lieux de vie de la Manche , éd. Eurocibles, 2014, p. 524.
  16. « L'énigme posée par la borne milliaire romaine », Ouest-France, site internet, 15 février 2017.
  17. Site normandie44lamemoire.com, consulté le 24 juin 2018 (lire en ligne).
  18. « Theodore Roosevelt a désormais sa statue », Ouest-France, 10 juin 2022.
  19. « 75e anniversaire du Débarquement : les cimetières provisoires sont sortis de l’oubli… », La Presse de la Manche, site internet, 7 juin 2019. (lire en ligne).

Articles connexes

Liens externes