Le Mont-Saint-Michel
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Le Mont-Saint-Michel est une commune du département de la Manche. Elle tient son nom du rocher du mont Saint-Michel (avec un seul trait d'union) où s'élève la célèbre abbaye du même nom[1].
Blason de la commune du Mont-Saint-Michel | Coordonnées géographiques de la mairie 48° 37' 22.08" N, 1° 31' 17.80" W (OSM) | ||||||||||
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Arrondissement | Avranches | ||||||||||
Canton | Pontorson | ||||||||||
Ancien canton | Pontorson | ||||||||||
Intercommunalité | CA Mont-Saint-Michel-Normandie | ||||||||||
Gentilé | Montois(es) | ||||||||||
Population | 25 hab. (2021) | ||||||||||
Superficie | 3,97 km² | ||||||||||
Densité | 6,3 hab./km2 | ||||||||||
Altitude | 5 m (mini) - 57 m (maxi) | ||||||||||
Code postal | 50170 | ||||||||||
N° INSEE | 50353 | ||||||||||
Maire | Jacques Bono | ||||||||||
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L'architecture prodigieuse du mont Saint-Michel et sa baie en font le site touristique le plus fréquenté de Normandie et le troisième de France (après la tour Eiffel et le château de Versailles) avec quelque 3 200 000 visiteurs chaque année alors que la commune est l'une des moins peuplées du département.
Une statue de saint Michel placée au sommet de l'église abbatiale culmine à 170 mètres au-dessus du rivage. Classé Monument historique en 1874, le site figure depuis 1979 sur la liste du patrimoine mondial de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).
Géographie
La commune du Mont-Saint-Michel est constituée de
- l'îlot rocheux bien connu, dans la baie du Mont-Saint-Michel
- et deux parties continentales séparées par le Couesnon
De 1879 à 2015, la commune comprend aussi la digue route qui relie l'îlot au continent, zone rendue à la mer en 2015.
L'îlot du mont Saint-Michel
Situé à l'est de l'embouchure du Couesnon à 48°38'10" de latitude nord et à 1°30'40" de longitude ouest, le mont Saint-Michel est un îlot rocheux granitique , sur lequel, à partir de 709 a été construit un sanctuaire en l'honneur de l'archange saint Michel . Antérieurement à cette date, il est connu comme le « mont Tombe ». Pendant tout le Moyen-Âge, il est couramment appelé « mont Saint-Michel au péril de la mer » (Mons Sancti Michaelis in periculo maris).
L'îlot est une excroissance granitique d'environ 960 mètres de circonférence, qui atteint 92 mètres d'altitude et offre une superficie émergée d'environ 280 ha, au dessus de laquelle s'élève l'abbaye. Cet îlot s'élève dans une grande plaine sablonneuse, la baie du Mont-Saint-Michel que la marée envahit deux fois par jour.
L'îlot du mont Saint-Michel est couvert par l'emprise au sol de l'abbaye du mont Saint-Michel, le village et quelques jardins.
En 1846, Édouard Le Héricher le décrit ainsi, avec l'emphase de l'époque, mais qui rend bien compte de la réalité : « Le Mont Saint-Michel apparaît comme une montagne circulaire qui semble s'affaisser sous la pyramide monumentale qui la couronne. On voudrait prolonger sa cime en une flèche aiguë qui monterait vers le ciel [la flèche actuelle ne date que de 1899, n.d.l.r.], dominant son dais de brouillards ou se perdant dans une pure et chaude lumière. De vastes solitudes l'environnent, celle de la grève ou celle de la mer, encadrées dans de lointaines rives verdoyantes ou noires » (in L' Avranchin monumental et pittoresque, t. 2, 1846, p. 310.)
L'enclave du Mont-Saint-Michel et ses polders
C'est une zone gagnée sur la mer à l'aide de digues et de vannes, empêchant la mer de monter sur le schorre (les herbus) à marée haute, et l'écoulement d'eau douce vers la mer à marée basse, probablement depuis le Moyen Âge [3]
Communes limitrophes
Les communes limitrophes de celle du Mont-Saint-Michel sont Beauvoir et Pontorson dans la Manche, d'une part, et Roz-sur-Couesnon et Saint-Georges-de-Gréhaigne en Bretagne, d'autre part. Ardevon, anciennement limitrophe du Mont-Saint-Michel, de Beauvoir et de Pontorson, a fusionné en 1972 avec la commune de Pontorson.
Histoire
- lire l'article détaillé Histoire du Mont-Saint-Michel
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[4]. En 2021, la commune comptait 25 habitants.
- Naissances
1956-1962 | 1962-1968 | 1968-1975 | 1968-1975 | 1982-1990 | 1990-1999 |
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xx | 13 | 16 | 8 | 6 | 4 |
- Décès
1956-1962 | 1962-1968 | 1968-1975 | 1968-1975 | 1982-1990 | 1990-1999 |
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xx | 6 | 6 | 4 | 5 | 3 |
La commune accueille jusqu'à 20 000 visiteurs par jour pendant la saison estivale. Parmi les 43 Montois dénombrés en 2006, il y a 12 moines.
Administration
Les maires
Mairie
- Horaires d'ouverture
Jours | Matin | Après-midi | Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici) | ||
Lundi | - | - |
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Mardi | 10 h - 12 h | 14 h - 16 h | |||
Mercredi | 10 h - 12 h | 14 h - 16 h | |||
Jeudi | 10 h - 12 h | 14 h - 16 h | |||
Vendredi | 10 h - 12 h | 14 h - 16 h | |||
Samedi | - | - |
Religion
Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution
Circonscriptions ecclésiastiques actuelles
- Diocèse : Coutances et Avranches.
- Archidiaconé : Sud.
- Doyenné : Avranchin.
- Paroisse : Notre-Dame-de-la-Paix.
Manifestations religieuses
- Pèlerinage des grèves, qui perpétue la tradition des grands pèlerinages du Moyen Âge ; environ 1500 participants chaque année.
Lieux et monuments
De nombreux immeubles du site sont, à titre individuel, classés au titre des monuments historiques.
Patrimoine religieux
- Abbaye du Mont-Saint-Michel : parfois vantée comme la « huitième merveille du monde », elle impose sa fière allure et sa magnifique architecture à plusieurs dizaines de kilomètres alentour.
Mais il existe d'autres monuments religieux sur le rocher :
- Église paroissiale Saint-Pierre.
- Chapelle Notre-Dame-sous-Terre
- Notre-Dame-des-Trente-Cierges.
- Notre-Dame du Mont Tombe
- Chapelle Saint-Aubert
- Statue de Notre-Dame du Mont-Tombe (ancien nom du Mont-Saint-Michel). Selon la plaque, elle fut érigée dans la crypte en mémoire de Notre-Dame-sous-Terre
- Fontaine Saint-Aubert
Patrimoine civil
- Fortifications
La ville actuelle est l'une des rares villes françaises à avoir conservé l'ensemble de ses fortifications médiévales. Cette enceinte urbaine date des XIIIe et XVe siècles. Elle est entièrement classée monument historique depuis 1875[9]. La muraille se compose de courtines flanquées de tours semi-circulaires et d'une tour bastionnée :
- la tour Claudine au nord
- la tour du Nord
- la tour de la Liberté
- la tour de l’Arcade
- la tour du Roi
- la tour Boucle (bastionnée)
Le chemin de ronde et les parapets sont du XVe siècle ainsi que divers ouvrages de défense comme :
- la porte du Roi au sud
- l’avancée et sa porte
- le Boulevard et sa porte
- le corps de garde des Bourgeois - XVIe siècle
L'enceinte des Fanils, qui continue les murs du Monteux, de Cantilly et de la Pillette, date du XVIe siècle, avec la tour Gabriel, qui portait en son chef un moulin à vent.
- Habitations classées
- Maison de l’Artichaut
- Maison de la Coquille
- Hôtel de la Licorne
- Maison au Pot de Cuivre
- Maison de la Truie qui File, classée aux Monuments Historiques depuis le 15 février 1908. Ancienne taverne et boutique de marchands d’images et de souvenirs destinés aux pèlerins, c’est une longue maison composée d’un seul rez-de-chaussée formé d’une suite d’arcades.
- Logis de Saint-Aubert
- Logis de Tiphaine Raguenel
- Logis Saint-Symphorien
- Hôtel du Dauphin
- Hôtel du Mouton blanc
- Hôtel de la Mère Poulard
- Hôtel Saint-Pierre (restauré conformément à l’ancienne maquette)
Autres
- Ancienne école communale, fermée en 1972, classé au titre des monuments historiques en 1934.
- Deux bombardes prises à l'armée anglaise par les montois lors du siège de 1423.
- Monument aux morts
Le Mont dans les arts
- Littérature
- Cinéma
- Peinture
Personnalités liées à la commune
- Robert de Torigni (12e siècle), célèbre abbé du Mont
- Guillaume de Saint-Pair(12e siècle), moine de l’abbaye auteur du Roman du Mont-Saint-Michel
- Louis d'Estouteville (1400-1464), capitaine défenseur du Mont
- le comte d'Artois, futur Charles X, venu démolir les tristement célèbres « cages de fer » en 1777[10].
- Pierre Cousin (1705-1794), prisonnier
- Pierre Harel (1749-1826), prisonnier politique au Mont
- Jean-Baptiste Lecarpentier (1759-1829), conventionnel surnommé le bourreau de la Manche, prisonnier.
- Mathurin Bruneau (1784-1822), escroc qui prétendait être Louis XVII, prisonnier.
- Louis Auguste Blanqui (1805-1875), prisonnier politique au Mont
- Armand Barbès (1809-1870), prisonnier politique au Mont
- Jean-Pierre Bravard (1811-1876), évêque lié à la restauration l'abbaye
- Émile Sagot (1805-1888), architecte, illustrateur
- Édouard Corroyer (1835-1904), architecte
- Mère Poulard (1851-1831), restauratrice
- Henri Voisin (1861-1945), fondateur de l'association Les Amis du Mont-Saint-Michel
- Albert Poulard (1873-1950), personnalité scientifique
- Émile Couillard (1880-1951), curé
- Henri-Georges Adam (1904- 1967), sculpteur
- Bruno de Senneville (1927-2016), prieur de l'abbaye
- Georges Lebrec (†1990) haut fonctionnaire au tourisme et son épouse Hélène, propriétaires de la maison La Tête noire[11]
Économie
Le temps des pèlerinages
Le village, implanté sur le mont en 709, s'est développé à l'ombre de son abbaye médiévale. Au nord de l'église Saint-Pierre, le bâtiment double appelé La Merveille est un chef-d'œuvre de l'architecture gothique. Il est construit sur trois niveaux à flanc de rocher.
L'économie du Mont a donc été tributaire, pendant douze siècles, des nombreux pèlerinages à saint Michel, notamment jusqu'à la Révolution française. On venait de toute l'Europe du nord en pèlerinage à l'abbaye : depuis l'Angleterre, la France du nord et de l'ouest, etc. Un réseau de routes montoises a été récemment étudié et remis en valeur, notamment à cause de l'attrait touristique important que représente le site et sa baie.
Le temps du tourisme
Déjà depuis le XIXe siècle, les auteurs et peintres romantiques venaient au Mont, pour son charme unique et ses qualités pittoresques, tel Guy de Maupassant. À la fin du siècle, plusieurs hôtels sont établis au Mont. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, la mutation du site en un lieu de visite de rang mondial a fait de la petite commune normande l'une des premières destinations touristiques de France.
Dans les années 1960, c'est le développement du tourisme de masse. On construit des grands hôtels sur la partie continentale de la commune, à la Caserne, au départ de la digue route. Julien Nicolle, maire du Mont crée la Sodétour, Société de développement touristique et commercial, spécialisé dans l'hôtellerie-restauration. En 1986, Éric Vannier achète plusieurs hôtels au Mont-Saint-Michel, il développe plus tard le groupe Mère Poulard. En 2011, il est attaqué en justice par Patrick Gaulois, lui aussi propriétaire de plusiers hôtels.
Une association, les « Amis du souvenir et de la liberté », parrainée par le consul des États-Unis, commémore chaque année au Mont-Saint-Michel, au cimetière américain de Saint-James et au cimetière allemand de Huisnes-sur-Mer la libération du Mont et de la baie du Mont-Saint-Michel[12].
Transports
Pour faciliter l'accès des touristes au Mont-Saint-Michel, une offre de transports en commun leur est offerte : ligne Baie.
Liaisons ferroviaires
Au début du 20e siècle, l'on pouvait se rendre au pied du Mont-Saint-Michel en train directement de Paris. Époque révolue : la gare la plus proche se trouve désormais à Pontorson
Liaisons routières
- Routes
Deux routes mènent au Mont-Saint-Michel :
- De Pontaubault, les D 43, D 75 et D 275 via Courtils.
- De Pontorson, la D 976.
- Lignes Manéo
- Ligne 6 : Granville-Le Mont-Saint-Michel
Jumelages
- Le Mont-Saint-Michel-Miyajima depuis le 16 mai 2009.
- Le Mont-Saint-Michel - Monte-Sant'Angelo depuis le 5 mai 2019.
Gastronomie locale
Le Mont-Saint-Michel se situe à l'embouchure du Couesnon, frontière naturelle séparant la Normandie de la Bretagne. Côté terre, des aménagements de digues datant déjà anciens ont permis jusqu'à aujourd'hui de gagner sur la mer des terrains consacrés essentiellement à la culture maraîchère ou de céréales. L’agneau de pré-salé, à déguster de préférence grillé au feu de bois, les poissons et les fruits de mer de la baie sont des spécialités locales qui participent à la renommée du Mont-Saint-Michel.
Une grande activité médiatique, à laquelle a participé de facto le dessinateur Christophe avec sa famille Fenouillard, entoure la préparation de l’omelette de la mère Poulard (du nom du restaurant situé dans le village et réputé pour cette spécialité). Celle-ci est faite d'œufs et de crème fraîche, abondamment battus dans une bassine de cuivre avec un long fouet sur un rythme spécial que peuvent entendre les passants avant d’être cuite dans une poêle de cuivre sur un feu de bois.
Sports
- Marathon du Mont-Saint-Michel
- US Avranches Mont-Saint-Michel
- Grand départ du Tour de France cycliste 2016
- Onzième étape du Tour de France 2013
Hommages
- Un ferry de la Brittany Ferries porte le nom de l´îlot normand : le Mont-Saint-Michel.
- Des timbres-poste sont émis en hommage au Mont-Saint-Michel en 1929, 1966, 1998, 2006 et 2009.
Philatélie
-
1930
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1966
-
1998
-
2006
-
Millénaire
Marcophilie
Numismatique
- Pièce de 20 francs Mont-Saint-Michel
- Pièce de 10 euros : Le petit prince voyage au Mont-Saint-Michel, éditée par la Monnaie de Paris en 2016 à 250 000 exemplaires
Fréquentation
On compte aujourd'hui trois millions de visiteurs annuels, dont un tiers seulement monte jusqu'à l'abbaye [13]. Le temps moyen de visite est de deux à trois heures. Il y a jusqu'à 20 000 visiteurs par jour en période estivale. On ne dénombre que 30 000 visiteurs en 1886 et seulement 100 000 en 1910 [14].
Bibliographie
- voir l'article détaillé Bibliographie du Mont-Saint-Michel
Notes et références
- ↑ Le tiret et la majuscule permettent de différencier le nom du mont lui-même et celui de la commune :
« le mont Saint-Michel » pour le rocher insulaire et « (Le) Mont-Saint-Michel » pour la commune - ↑ 2,0 et 2,1 Géoportail[1]
- ↑ Marie Casset, « Des paysans contre la mer. Poldérisation et drainages des terres humides sur le littoral de la baie du Mont Saint-Michel au Moyen Âge (xie-xve siècles) », dans Annales de Normandie, 2011 (61e année (lire en ligne)
- ↑ Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- ↑ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ 7,0 et 7,1 René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), Mont-Saint-Michel.
- ↑ Base Leonore, dossier LH/262/13.
- ↑ « Notice n°PA00110514 », base Mérimée (architecture), médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine, ministère de la Culture.
- ↑ David Nicolas Méry et François Saint-James, Le tour du Mont en 1300 ans, éd. Ouest-France, 2011
- ↑ « Georges Lebrec promoteur du Mont à l'Unesco », La Manche Libre, 26 octobre 2019.
- ↑ La Manche Libre, 26 février 2011.
- ↑ 1 122 321 visiteurs en 2006, François Desbos, « La fréquentation des sites touristiques en France depuis une quinzaine d'années : tendances et enseignements », Observation, développement et ingénierie touristiques (Odit France), 2008.
- ↑ « Mont-Saint-Michel 1 300 ans d'histoire », supplément à dimanche Ouest-France, juillet 2008.
Articles connexes
- Galerie d'images
- Baie du Mont-Saint-Michel
- Forêt de Scissy
- Digue-route du Mont-Saint-Michel
- Opération de rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel
- Pont-passerelle du Mont-Saint-Michel
- Barrage de la Caserne
- Le Mont-Saint-Michel (odonyme)
- Le Mont Saint-Michel par Guy de Maupassant
- Maquette du Mont-Saint-Michel (1880)
Liens externes
- Voir l'article sur Le Mont-Saint-Michel dans Rodovid, wiki d'études généalogiques.
- Les expositions des Archives de la Manche sur le Mont-Saint-Michel dans la vitrine de google.com/culturalinstitute
- Le Mont St Michel sur Google map
- Fernand Verger, Marées et touristes au Mont Saint-Michel
- Les bergers du Mont (vidéo)
- Monument historique de la Manche (architecture)
- Commune de l'arrondissement d'Avranches
- Commune du canton de Pontorson
- Commune de l'ancien canton de Pontorson
- Liste d'élus à compléter
- Mairie géolocalisée
- Article avec un lien vers Rodovid
- Commune de la Manche
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