« Gréville-Hague » : différence entre les versions
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Version du 23 août 2017 à 08:24
Gréville-Hague est une ancienne commune du département de la Manche, commune déléguée de La Hague depuis le 1er janvier 2017.
Commune déléguée de Gréville-Hague (commune de La Hague) |
Coordonnées de la mairie annexe 49° 40' 28.80" N, 1° 48' 1.64" W (OSM) | ||||||||||
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Arrondissement | Cherbourg-Octeville | ||||||||||
Canton | La Hague | ||||||||||
Ancien canton | Beaumont-Hague | ||||||||||
Intercommunalité | CA du Cotentin | ||||||||||
Gentilé | Grévillais(es) | ||||||||||
Population | 660 hab. (2021) | ||||||||||
Superficie | 10,03 km² | ||||||||||
Densité | 66 hab./km2 | ||||||||||
Altitude | 0 m (mini) - 167 m (maxi) | ||||||||||
Code postal | 50440 | ||||||||||
N° INSEE | 50220 | ||||||||||
Maire délégué | Didier Le Bel | ||||||||||
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Toponymie
Attestations anciennes
- Guerevilla 12e s. [1].
- Gervilla 1209 [1].
- Guervilla 1218 [1].
- Grevilla 1320 [1], 1332 [2], 1351/1352 [3].
- Greville 1552 [4], 1561 [5], 1634 [6], 1612/1636 [7], 1677 [8], 1689 [9], 1695 [10], ~1700 [11], 1713 [12], 1716 [13], 1719 [14], 1735 [15], 1749 [16], 1757 [17], 1758 [18], 1753/1785 [19].
- Gréville 1793 [20].
- Greville 1801 [21].
- Gréville 1804 [22], 1828 [23], 1829 [24].
- Greville 1830 [25], 1837 [26].
- Gréville 1854 [27], 1825/1866 [28], 1878 [29], 1880 [30], 1903 [31], 1926 [32].
- Gréville-Hague 1936 [33], 1954 [34], 1962 [35].
- Greville 1972 [36].
- Greville Hague 1978 [37].
- Gréville Hague 1993 [37].
- Gréville-Hague 2007 [38].
Étymologie
Toponyme médiéval en -ville (élément issu du gallo-roman VILLA « domaine rural »). Le premier élément est probablement un anthroponyme (nom de personne) d'origine germanique (francique), qui ne fait pas l'unanimité parmi les spécialistes.
- Albert Dauzat avait en son temps proposé, sans citer de formes anciennes, le nom germanique peu convaincant Creiz [39], solution aujourd'hui abandonnée.
- Sa disciple Marie-Thérèse Morlet rejette implicitement cette hypothèse en ne reprenant pas le nom de Gréville dans son ouvrage consacré aux noms de personnes dans les noms de lieux [40].
- François de Beaurepaire [1], et à sa suite René Lepelley [41], considèrent que le premier élément est le nom germanique Gairo.
- Ernest Nègre [42], pour une raison indéterminée, jette son dévolu sur le nom germanique Grido, difficilement compatible avec les premières attestations citées par lui (reprises de celles de François de Beaurepaire).
Parmi ces différentes explications, celle de François de Beaurepaire est la plus plausible, quoique la variante Gero paraisse préférable, pour des raisons phonétiques, à Gairo dont elle procède et qui lui est antérieure. On aurait donc affaire dans ce cas au « domaine rural de Gero ». Ceci dit, rien n'empêcherait a priori de voir ici la variante scandinave de ce nom, à savoir Geirr (ou son hypocoristique Geiri). Il ne semble pas possible de faire la différence entre ces deux origines possibles.
- ☞ Gero est une forme évoluée de Gairo, hypocoristique des noms germaniques dont le premier élément est gair- « lance ». Il en va de même pour l'ancien scandinave Geirr et son hypocoristique Geiri, qui reposent sur geirr « lance ». Le germanique continental gair- et l'ancien scandinave geirr procèdent quant à eux du germanique commun °gaizaz « lance » (cf. ancien anglais gār, ancien haut-allemand, ancien saxon gēr) < indo-européen °gʰaiso-s « bâton, épieu; lance », auquel se rattachent par exemple le latin gaesum (pluriel plus courant gaesa) « javelot de fer », emprunté au gaulois gaiso-.
En ce qui concerne l'évolution du nom, on notera différent points :
- Les premières formes relevées (Guerevilla 12e s., Gervilla 1209, Guervilla 1218) montrent qu'il y a eu hésitation entre les traitements français (Gervilla) et normano-picard (Guerevilla, Guervilla) de l'initiale germanique Ge-, avec victoire de la seconde au début du 13e siècle. L'évolution inverse se constate par exemple dans le nom de Gerville-la-Forêt.
- C'est de la forme normano-picarde que procède Grevilla (1320), qui en représente une métathèse. Plus précisément — car il s'agit ici de notations latinisées — l'évolution des formes romanes correspondantes a été °Guereville > °Guerville > Greville.
- L'ajout de l'élément -Hague, qui fait évidemment référence à la presqu'île de la Hague, date de 1936.
Géographie
Gréville-Hague est située à 15 km de Cherbourg, sur le littoral nord-est de la presqu'île de la Hague, à l'extérieur du Hague-Dick qui séparait la pointe de la Hague du reste du Cotentin. Elle couvre une superficie de 1 003 ha.
Le territoire communal est délimité par deux vallées : celle de la Sabine, à l'ouest, frontière avec la commune d'Éculleville, et celle du Hubiland, à l'est, née au hameau Fleury, et qui sépare Gréville-Hague d'Urville-Nacqueville au niveau du village de Landemer. La commune est aussi arrosée par la Pissotière, sous le hameau de Gruchy, et par le ruisseau du Castel qui traverse la commune depuis sa source au Lieu Bailly, jusqu'à la Manche au pied du Castel Vendon. Les falaises abruptes de 30 à 70 mètres (Landemer, le Castel Vendon, le Mur-blanc) qui forment une façade maritime de quatre kilomètres tombent à Landemer, qui marque la rupture avec l'agglomération cherbourgeoise, en laissant place à la large baie qui baigne la plage d'Urville. À l'intérieur des terres, Gréville a comme communes limitrophes Branville-Hague au nord-est, et Beaumont-Hague au nord-ouest.
Gréville-Hague se compose, du village de l'Église situé à 141 m d'altitude, et d'une quinzaine de hameaux répartis naturellement dans les vallons.
La commune est couverte par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 2 de la Hague, et par les ZNIEFF de type 1 des « landes et falaise d'Éculleville et de Gréville-Hague » et des « landes de Saint-Nazaire ». La côte est un site naturel classé au titre de la loi de 1930 depuis le 17 juin 1992 comme le reste du littoral de la Hague et, comme les autres communes de la Hague, l'ensemble du territoire de la commune est inscrit aux monuments historiques depuis le 25 mars 1973. La commune entre dans le champ d'acquisition du Conservatoire du littoral, les terrains achetés étant gérés par le Syndicat mixte des espaces littoraux de la Manche (SyMEL).
Les paysages distinguent une côte sauvage, dessinée par la mer et le vent, composée de landes silicicoles de fougères, genêts, ajoncs et bruyères, et un bocage formé de haies basses sur les coteaux ventés et haies hautes dans les vallées mieux abritées, avec sureaux, prunelliers, épines blanches, chênes pédonculés, hêtres et frênes, délimitant des champs où dominent l'herbe et la polyculture (maïs, blé, colza…)[43]. Les tunnels du Castel Vendon abritent une importante colonie de chauve-souris.
Histoire
Au Moyen Âge, le territoire de Gréville est divisé en cinq fiefs : celui de Gruchy, celui de Gréville, le Val Ferrand, la Haulle et Saint-Nazaire[44].
Rattachée avant la Révolution française à l'élection de Valognes, la sergenterie de Tollevast et au doyenné de la Hague, la paroisse devenue commune est incluse dans le canton de Sainte-Croix en 1793 puis celui de Beaumont en 1801, au sein du district de Cherbourg en 1793, puis de l'arrondissement de Valognes jusqu'à la création de celui de Cherbourg en 1811.
En 1795, une école publique primaire est créée à Gréville pour les enfants de la commune ainsi que ceux d'Éculleville, du hameau Christo d'Urville-Hague et du hameau Bosvy de Nacqueville, sous l'autorité de l'instituteur Marin Feuardent[44].
En 1905 est fondée une coopérative autour de la laiterie de Gréville. En 1962, elle s'associe à d'autres coopératives du Cotentin au sein de l'Ucalma qui devient en 1985, les Maîtres laitiers du Cotentin. Jusqu'à sa fermeture, la laiterie de Gréville fabrique un beurre vendu sous le nom de « beurre de la Hague », puis rebaptisé en beurre « Val de Saire » à cause de la mauvaise image donnée par l'usine de la Cogema.
Gréville est devenu Gréville-Hague en 1936, officialisant un usage plus ancien.
La commune demeure dispersée en de nombreux hameaux. Le bourg est desservi par deux commerces, une boulangerie et une épicerie.
Le 11 novembre 1948, Max Lejeune, secrétaire d'État aux Forces armées, signe la citation à l'ordre du régiment de la commune, avec Croix de Guerre 1935-1945 :
- « Village ravagé aux trois quarts pendant la bataille de la Libération et dont la population a accepté ce sacrifice avec courage et abnégation ».
Démographie
Sous l'Ancien régime
Sous l'Ancien régime, le dénombrement des populations se fait généralement par feux, c'est-à-dire par foyers. Le nombre de personnes habitant sous un même toit variant beaucoup suivant celui d'ascendants et d'enfants [45], ces données sont donc relatives, mais donnent néanmoins une idée de l'évolution démographique.
Depuis la Révolution
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[46]. En 2021, la commune comptait 660 habitants.
Administration
Circonscriptions administratives avant la Révolution
Circonscriptions administratives depuis la Révolution
- District : Cherbourg (1790-1795).
- Arrondissement : Valognes (1800), Cherbourg (1811), Cherbourg-Octeville (2000).
- Canton : Sainte-Croix (1790), Beaumont (1801).
Les maires
Mairie
- Horaires d'ouverture
Jours | Matin | Après-midi | Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici) | ||
Lundi | - | 14 h - 18 h |
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Mardi | - | - | |||
Mercredi | 9 h - 12 h | - | |||
Jeudi | - | 14 h - 18 h 30 | |||
Vendredi | - | - | |||
Samedi | - | - |
Religion
Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution
Patronage
- Dédicace de l'église paroissiale : Sainte Colombe.
- Patron (présentation) : les chanoines de la Sainte-Chapelle de Paris, par bref du pape Jean XXII du 5 août 1320, après que le patronage fut tombé aux mains du roi de France (en l'occurrence, Philippe-Auguste) après confiscation [29].
- Fête patronale : ?
Circonscriptions ecclésiastiques actuelles
- Diocèse : Coutances et Avranches.
- Archidiaconé : Nord.
- Doyenné : Cherbourg-Hague.
- Paroisse : Bienheureux Thomas-Hélye.
Lieux et monuments
- Architecture religieuse
- Église Sainte-Colombe du 12e siècle qui a servi de modèle au célèbre tableau de Jean-François Millet.
- Architecture civile
- Maison du puits : sise au hameau de Gruchy, son escalier extérieur et le puits couverts, avec la façade et les toitures, sont inscrits au titre des monuments historiques depuis le 31 août 1993, du fait de leurs représentations sur plusieurs toiles de Jean-François Millet.
- Le Mur blanc : surplombant les falaises qui ont pris son nom près du sentier des douaniers, le mur a été bâti en 1887 pour servir de repères aux marins.
- La maison natale Jean-François Millet au hameau de Gruchy.
- Statue en bronze de Jean-François Millet dans le carrefour central de la commune.
- Patrimoine naturel
- Falaises de granit.
- Castel Vendon et la grotte de Sainte Colombe à son pied.
- Vallée du Hubiland.
Personnalités liées à la commune
Naissances
- Jean-François Duval-La Rivière (1751-1800), homme politique.
- Bon Marin Duval (1757-1808), homme politique
- Jean-François Millet (1814-1875), peintre.
- Jean-Baptiste Millet (1831-1906), peintre.
Décès
- Jean Fleury (1816-1894), écrivain.
- Charles Brumant (1858-1943), pêcheur.
- Roger Boussard (1913-1999), directeur de l'usine de retraitement de la Hague.
Autres
- Marcel Jacques, sculpteur de la statue de Jean-François Millet.
- Alice Fleury, fille de Jean Fleury, connue sous le nom de Henry Gréville, écrivain.
- Pierre Douglas (1941), humoriste, résident secondaire.
Éducation
- École du Castel-Vendon (maternelle et primaire), entité locale du Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) d'Omonville-la-Rogue-Gréville-Hague (132 enfants en 2016[49])
Économie
La principale ressource économique du territoire communal est l'agriculture, à travers six exploitations tournées essentiellement vers la production laitière ainsi que l'élevage bovin et ovin. Gréville disposait au 20e siècle d'une coopérative laitière fondée le 6 décembre 1908.
Comme le reste du canton de Beaumont-Hague, le principal employeur est l'usine de retraitement de la Hague et ses sous-traitants, ainsi que les entreprises de la communauté urbaine de Cherbourg. Gréville-Hague accueille également quelques commerces et des artisans [50].
- Filature de coton à moteur hydraulique au Val Ferrant (fermée) [51].
Transports
- Ligne Manéo
- Ligne 50 : Ligne estivale de La Hague Cap Cotentin (juillet-août)
Association
- Mémoire de Jean-François Millet.
Sports
- Automobile : Hag'Team AutoCross
- Football : AS Gréville-Hague
- Gymnastique volontaire : Grévi'talité
- Karting : Association sportive de karting du circuit de la Hague
- Moto cross : AS Areva section moto et Hague R. Club Junior
- Randonnée
- VTT : Les Haguards
Bibliographie
- Articles
- Heleine, « Le milieu social de Gréville-Hague », Annales de Normandie, n° 4, décembre 1960.
- Geneviève Le Blond, « Église de Gréville », Ouest-France, 7 août 1964.
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 128.
- ↑ Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 322C.
- ↑ Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, op. cit., p. 377F.
- ↑ Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. I), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXI, Caen, 1892, p. 292.
- ↑ Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. II), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXII, Caen, 1895, p. 695.
- ↑ Sébastien Cramoisy, Carte générale de toutes les costes de France tant de la mer Océane que Mediterranée, 1634 [BNF]
- ↑ Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BNF, ms. fr. 4620].
- ↑ Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BNF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
- ↑ G. Mariette de La Pagerie, cartographe, Unelli, seu Veneli. Diocese de Coutances, divisé en ses quatre archidiaconés, et vint-deux doiennés ruraux avec les Isles de Iersay, Grenesey, Cers, Herms, Aurigny etc., chez N. Langlois, Paris, 1689 [BNF, collection d'Anville, cote 00261 I-IV].
- ↑ P. Mortier / H. Jaillot, Le Duché et Gouvernement de Normandie divisée en Haute et Basse Normandie, Amsterdam, 1695.
- ↑ Gerard Valk, Normannia Ducatus, tum Superior ad Ortum, tum Inferior ad Occasum, Praefectura Generalis […] Anglici Caesarea sive Jarsey…, Amsterdam, ~1700.
- ↑ 12,0 et 12,1 Dénombrement des généralités de 1713 [BNF, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
- ↑ Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
- ↑ Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
- ↑ 15,0 et 15,1 Nouveau dénombrement du royaume par generalités, elections, paroisses et feux […], t. II, Impr. Pierre Prault, Paris, 1735, p. 57b.
- ↑ Nouvelle carte réduite de la Manche, Chez Mr Bellin, Paris, 1749 [BNF, collection d'Anville, cote 00762 B].
- ↑ L. Brion de la Tour, Recueil des Côtes Maritimes de France, Desnos, Paris, 1757, carte n° 11.
- ↑ Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
- ↑ Carte de Cassini.
- ↑ Site Cassini.
- ↑ Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris.
- ↑ Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, libr. Laporte, vol. II (COA-H), an XIII (1804), p. 619a.
- ↑ Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 469.
- ↑ Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement de Cherbourg, p. 129.
- ↑ J. G. Masselin, Dictionnaire universel de géographie physique, commerciale, historique et politique du Monde Ancien, du Moyen Age et des Temps Modernes comparées / Dictionnaire universel de géographie, t. I, Auguste Delalain, Paris, 1830, p. 574b.
- ↑ Dictionnaire géographique universel ou description de tous les lieux du globe sous le rapport de la géographie physique et politique, de l’histoire, de la statistique, du commerce, de l’industrie, etc., etc., Sociétés de Paris, Londres et Bruxelles pour les publications littéraires, Bruxelles, 1837, t. I, p. 807a.
- ↑ V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
- ↑ Cartes d’État-Major (relevés de 1825 à 1866, mises à jour jusqu’à 1889).
- ↑ 29,0 et 29,1 Abbé Auguste Lecanu, Histoire du diocèse de Coutances et d'Avranches depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours; suivie des actes des saints et d'un tableau historique des paroisses du diocèse, impr. de Salettes, Coutances, t. II, 1878, p. 305.
- ↑ Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1880, p. 60b.
- ↑ Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
- ↑ Carte du département de la Manche, L’Illustration économique et financière, 28 août 1926.
- ↑ Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris.
- ↑ Nomenclature des hameaux, écarts et lieux-dits de la Manche, INSEE, 1954.
- ↑ Atlas de Normandie, Caen, 1962.
- ↑ Anne Vallez, Pierre Gouhier, Jean-Marie Vallez, Atlas Historique de Normandie II (économie, institutions, comportements), Université de Caen, Caen, 1972.
- ↑ 37,0 et 37,1 Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
- ↑ Carte IGN au 1 : 25 000.
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 332b.
- ↑ Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985.
- ↑ René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen / Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1993, p. 139b.
- ↑ Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. II, 1991, p. 937, § 16753.
- ↑ « La Hague bocagère » et « Falaises septentrionales de la Hague », in Pierre Brunet et Pierre Girardin, L’inventaire régional des paysages, édition du Conseil régional de Basse-Normandie / Direction régionale de l'environnement de Basse-Normandie, 2004.
- ↑ 44,0 et 44,1 Section Histoire locale, site officiel de la commune
- ↑ Une moyenne de 5 à 6 personnes semble cependant le chiffre le plus vraisemblable.
- ↑ Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- ↑ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ La Presse de la Manche, 2 septembre 2016.
- ↑ Économie, site officiel de la commune.
- ↑ Jean Fleury et Hippolyte Vallée, Nouveau guide du voyageur à Cherbourg, Imprimerie de Noblet, Cherbourg, 1839, 2e partie, p. 42.