Carnet
De Wikimanche
Carnet est une ancienne commune du département de la Manche.
Commune déléguée de Carnet (commune de Saint-James) |
Coordonnées de la mairie annexe 48° 30' 33.08" N, 1° 21' 21.97" W (OSM) | ||||||||||
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Arrondissement | Avranches | ||||||||||
Canton | Saint-Hilaire-du-Harcouët | ||||||||||
Ancien canton | Saint-James | ||||||||||
Intercommunalité | CA Mont-Saint-Michel-Normandie | ||||||||||
Gentilé | Carnetais(es) | ||||||||||
Population | 492 hab. (2021) | ||||||||||
Superficie | 10,18 km² | ||||||||||
Densité | 48 hab./km2 | ||||||||||
Altitude | 40 m (mini) - 138 m (maxi) | ||||||||||
Code postal | 50240 | ||||||||||
N° INSEE | 50100 | ||||||||||
Maire délégué | Jean-René Guérin | ||||||||||
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Toponymie
Attestations anciennes
- Kerneth 1151 [1].
- Kernet 1156/1158 [2].
- Chernetum 1168 [1].
- Kernet 1179, 1195, 1214 [1].
- Quernet 1221 [1], 1369/1370, 1371/1372 [3].
- ecclesia de Carneto 1412 [4].
- ecclesia de Querneto ~1480 [5].
- Carnet 1612/1636 [6], 1677 [7], 1713 [8], 1716 [9], 1719 [10], 1720 [11], 1753/1785 [12], 1793 [13], 1801 [14], 1804 [15], 1829 [16], 1854 [17], 1889 [18], 1903 [19], 1962 [20], 1972 [21], 1978, 1993 [22], 2007 [23].
Étymologie
Le moins que l'on puisse dire est qu'on ne lit pas à livre ouvert dans ce Carnet :
- Pour Auguste Longnon [24], il s'agit d'un dérivé gallo-romain en -etum (suffixe collectif) du latin carpinus « charme », soit « le lieu planté de charmes ». Cette solution est reprise par Albert Dauzat [25].
- Adigard des Gautries et Lechanteur [2] rejettent cette explication, en raison de la situation géographique de la commune, 40 km au sud des dernières traces du traitement normano-picard dans la Manche (mais en fait seulement à une trentaine de kilomètres de la ligne Joret). La forme attendue à cette latitude serait °Charnet. Mais ils ne proposent par contre rien de constructif.
- François de Beaurepaire [1] rapproche ce nom de celui de Quesnay-Guesnon (Calvados; Quernet villa 1074), sans en tirer de conclusions définitives. Il fait l'hypothèse d'un nom gaulois non identifié, mais peut-être terminé par le suffixe -ate.
- Ce nom est laissé à l'écart par Ernest Nègre [26], ce qui signifie qu'il le considère comme indéchiffrable, ou du moins trop problématique. De même, René Lepelley [27] se limite à un laconique « sens obscur ».
Discussion
Une remarque doit être faite concernant l'objection d'Adigard des Gautries et Lechanteur. Certes, Carnet se trouve à une trentaine de kilomètres au sud de la ligne Joret. La belle affaire ! aurait-on dit en des temps plus anciens. Les dialectologues savent bien :
- - que les isoglosses en général, et la ligne Joret en particulier, ne sont pas des obstacles infranchissables, mais des limites statistiques au-delà desquelles le phénomène linguistique considéré a simplement moins de chance de se manifester,
- - et que ces mêmes isoglosses ne matérialisent une situation linguistique qu'à une époque donnée : les informations fournies par la toponymie, qui a le don de fossiliser sur le terrain les états linguistiques antérieurs, viennent en partie contredire, ou du moins nuancer, cet état de fait [28].
Si l'on cesse un instant d'isoler la Manche de ce point de vue, on constatera que l'on relève par exemple un nombre considérable d'attestations de traitements normano-picards dans l'Orne, qui n'est que frôlée au nord par la ligne Joret.
D'une part, il en existe une assez large zone qui suit la frontière nord du département, et dont la limite sud est représentée par Beauchêne, encore attesté sous la forme Beauquesne à la fin du 15e siècle. Beauchêne est contigu à Ger, quinze kilomètres au sud de la ligne. Cette zone est en gros parallèle à la ligne Joret, et atteste d'un recul de l'isoglosse de 30 à 50 km par rapport à une situation plus ancienne.
D'autre part, on relève l'existence d'un certain nombre de « buttes-témoins » plus isolées, dont la localisation pourra surprendre : non seulement en plein centre du département, dans une aire compacte allant de Chauffour (Calfur pendant tout le 11e siècle) à La Chapelle-près-Sées (la Capelle ou Capelle du 14e au 15e siècle), qui est à la hauteur de Saint-Hilaire-du-Harcouët; mais encore à La Chapelle-Souëf (Capelle Souef 1167), plus ou moins à la hauteur de Mayenne !!
Ceci veut dire deux choses : a) un ancien traitement normano-picard est parfaitement possible à la latitude de Carnet; b) mais il ne constitue pas la seule explication à envisager.
Cette vision des choses rend tout-à-fait envisageable l'explication primitive de Longnon, puis Dauzat : °CARPINETU « le lieu planté de charmes » [29] > Carnet. On note par ailleurs une tentative de francisation (du moins graphique) en Chernetum en 1168. Si ce toponyme n'a pas été définivement francisé par la suite en °Charnet, c'est peut-être parce que le mot carnet (qui est évidemment sans rapport) existe au moins depuis le moyen français, et que °charnet n'appartient pas au lexique standard : la forme connue l'a emporté sur la forme opaque. En revanche, les deux toponymes ornais méridionaux en Capelle ont été « rectifiés » en Chapelle pour la raison inverse.
L'hypothèse de François de Beaurepaire consistant à voir éventuellement dans Carnet un toponyme gaulois en -ate est uniquement motivée par le fait qu'il se refuse (implicitement) à considérer la possibilité de la solution précédente, et d'une manière générale, un étymon en ca-. Comme aucun mot latin ne lui semble convenir, il fait donc l'hypothèse d'une formation gauloise indéterminée. Or phonétiquement, la seule autre possibilité d'obtenir une initiale en [k-] est de postuler un étymon en qu-, qui aboutit régulièrement à [k-] en français dans tous les cas. Malheureusement, le gaulois ne connaît pas ce son (l'indo-européen °kʷ est devenu p en gaulois), ce qui fragilise d'autant cette théorie. Pourtant, dans cette hypothèse, on pourrait peut-être considérer le radical pré-latin (et peut-être pré-celtique) carn- « pierre, tas de pierres », qui pourrait faire d'un éventuel °carnate un « lieu où il y a des pierres ». Un tel type toponymique a été invoqué pour expliquer Charnas (Ardèche) et Carnas (Gard) [30]; mais ces formations semblent surtout méridionales.
Dans les deux cas, on constate une fermeture précoce de [a] en [e], attribuable à l'action fermante de [r] en syllabe initiale au Moyen Âge. La forme actuelle Carnet, attestée pour la première fois au début du 15e siècle, doit représenter une francisation partielle [31] de Kernet / Quernet, d'après l'équivalence héreng = français hareng, lerme = français larme, quérette = français charette, etc.
En conclusion, l'hypothèse gallo-romane °CARPINETU « lieu planté de charmes » semble la plus simple et la plus probable, malgré la situation méridionale de la localité. Elle est confortée par la situation particulière de la paroisse de Carnet au Moyen Âge, à la limite des diocèses d'Avranches et de Rennes, et donc de la Bretagne et de la Normandie. Or on sait que les toponymes de végétation sont de fréquents marqueurs de limite. On ne peut cependant pas exclure formellement une autre explication telle qu'une formation gauloise °carnate « lieu où il y a des pierres ».
Géographie
Commune de l’Avranchin, limitrophe de l'Ille-et-Vilaine dont elle est séparée par le Tronçon, elle est arrosée par la Guerge.
Elle est traversée par l’autoroute 84.
Histoire
En septembre 1795, un célèbre combat y oppose chouans et républicains.
Le 1er janvier 2017, Carnet fusionne avec Argouges, La Croix-Avranchin, Montanel,Saint-James, Vergoncey et Villiers-le-Pré au sein de Saint-James.
En 2024, le centre du bourg bénéficie bénéficie de travaux de réaménagement : réseau d'eaux pluviales et potables, refonte des espaces publics et végétalisation [32]. Leur coût s'élève à 700 000 euros hors taxes, en grand partie subventionnés, il reste à charge 250 000 euros pour la commune nouvelle [32].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[33]. En 2021, la commune comptait 492 habitants.
Administration
Circonscriptions administratives avant la Révolution
- Généralité : Caen.
- Élection : Avranches.
- Sergenterie : Saint-James.
Circonscriptions administratives depuis la Révolution
- District : Avranches (1790-1795).
- Arrondissement : Avranches (1800).
- Canton : Saint-James (1790), Saint-Hilaire-du-Harcouët (2015).
Les maires
Mairie annexe
- Horaires d'ouverture
Jours | Matin | Après-midi | Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici) | ||
Lundi | - | 14 h - 18 h |
| ||
Mardi | - | - | |||
Mercredi | - | - | |||
Jeudi | - | 14 h - 18 h | |||
Vendredi | - | - | |||
Samedi | 11 h - 12 h | - |
Religion
Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution
Patronage
- Dédicace de l'église paroissiale : Notre-Dame.
- Patron (présentation) : patron laïc, le seigneur du lieu.
- Fête patronale : ?
Circonscriptions ecclésiastiques actuelles
- Diocèse : Coutances et Avranches.
- Archidiaconé : Sud.
- Doyenné : Avranchin.
- Paroisse : Saint-Jacques.
Lieux et monuments
- Croix de chemin
- Église Notre-Dame (18e/1900) : clocher avec dôme, Éducation de la Vierge (14e s.)
- Étang du Margotin (un hectare, pêche, sentier) dans le vallon de la Guerge
- Manoir de Carnet (16es.)
- Monument aux morts
- La Pintière (1705), ancienne propriété des Guiton
- Le puits et la chapelle Sainte-Barbe (15e/16e)
- Stèle commémorative
Personnalités liées à la commune
Naissances
- Gilles Gosselin (1762-1795), ecclésiastique
- François Petipas (1765 -1836), personnalité politique
- Auguste Ameline (1838-1922), prêtre
- Louis Leduc (1846-1910), prêtre
- Louis Lenormand (1871-1957), prêtre
- Pierre Gesnouin (1875-1960), prêtre
- Emmanuel Roblin (1869-1934), prêtre, frère de Victor et Louis
- Victor Eugène Adalbert Roblin (1872-1944), né le 27 mars 1872, militaire, chevalier (1911) et officier (1924) de la Légion d'honneur, frère d'Emmanuel et Louis, mort le 14 juin 1944
- Louis Roblin (1876-1944), prêtre, frère d'Emmanuel et Victor
- Auguste Thébault (1926-1944), résistant
Décès
- Julien Nicole (1629-1702), curé de Carnet, historien du diocèse
Autres
- Jean Guiton (1392), seigneur de Carnet
- Jehan de Carnet (XVe siècle), bâtard de Gilles Guiton, anobli
- Jean Guiton ( -1604), seigneur et curé de la paroisse, a fait reconstruire le chœur de l'église.
Fête communale
La Sainte-Anne a lieu le dernier week-end de juillet.
Programme habituel :
- le samedi soir : course de vélo ; bal dans la salle des fêtes.
- le dimanche : à 11 h messe suivie d'un verre de l'amitié offert par la mairie et le comité des fêtes : à midi, repas organisé par le comité des fêtes à la salle des fêtes ; l'après-midi, divers jeux dans la cour de la mairie, une course de vélo organisée par le Vélo-club de Saint-James ; des baptêmes de vols (ULM ou hélicoptère) ; exposition dans l'ancienne école de la mairie ; le soir, spectacle dans le bourg ; un feu d'artifice ; bal dans la salle des fêtes.
Associations
- Comité des fêtes : président : Sylvie Mariette. Manifestations : un loto en mars ; organisation de la Sainte-Anne ; sorties diverses en car.
- Société de chasse : président : René Guérin. Manifestation : 1 ball-trap à la Pentecôte
- Club des toujours jeunes : président : Marcel Gasnier. Président d'honneur : Juliette Heny. Une soixantaine de membres. Manifestations : deuxième jeudi de chaque mois, à l'exception des mois de juillet et août; un repas en juin et en décembre; plusieurs concours de belote
- Centre d'action sociale : organisation du repas des cheveux blancs à la salle des fêtes
- Anciens combattants : participation aux cérémonies patriotiques et congrès
Entreprises
- Aussant SCEA : agriculture, vente de volailles sur les marchés
- Albert Dubois : bâtiment
- Émile Dubois : bâtiment, menuiserie
- Serge Guérin : bâtiment, couverture charpente
- Pierrick Pigeon : bâtiment, menuiserie
- André Salmon : agroalimentaire, engrais
- SCI Gîtes du domaine de Normandie : accueil de groupe - salle de réception
Commerces
- Le Carnet (bar-tabac-épicerie tenu par Mireille et Michel Davy)
- Le Fournil 1705 (boulangerie de Mickaël Leportoux) [36]
Bibliographie
- Édouard Le Héricher, « Commune de Carnet », Avranchin: monumental et historique, Volume 2, éd. Tostain, 1847, p. 516-526 (lire en ligne).
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 92.
- ↑ 2,0 et 2,1 Jean Adigard des Gautries & Fernand Lechanteur, « Les noms de communes de Normandie », in Annales de Normandie XVI (juin 1966), § 582.
- ↑ Comptes du Diocèse d’Avranches, dressés en 1369/1370 et 1371/1372, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 141C, 147A.
- ↑ Pouillé du Diocèse d’Avranches, 1412, in Auguste Longnon, op. cit., p. 153A.
- ↑ Pouillé du Diocèse d’Avranches, ~1480, in Auguste Longnon, op. cit., p. 169A.
- ↑ Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BNF, ms. fr. 4620].
- ↑ Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BNF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
- ↑ Dénombrement des généralités de 1713 [BNF, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
- ↑ Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
- ↑ Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
- ↑ G. Mariette de la Pagerie, Carte topographique de la Normandie; feuille 3 : Fougères, Vire et Avranches, 1720 [BNF, fonds Cartes et Plans, cote Ge DD 2987 (1009, III) B].
- ↑ Carte de Cassini.
- ↑ Site Cassini.
- ↑ Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris, 1801-1870.
- ↑ Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, libr. Laporte, vol. I (A-CNO), an XIII (1804), p. 549a.
- ↑ Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement d'Avranches, p. 125.
- ↑ V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
- ↑ Carte de la Manche, in Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1889.
- ↑ Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
- ↑ Atlas de Normandie, Caen, 1962.
- ↑ Anne Vallez, Pierre Gouhier, Jean-Marie Vallez, Atlas Historique de Normandie II (économie, institutions, comportements), Université de Caen, Caen, 1972.
- ↑ Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
- ↑ Carte IGN au 1 : 25 000.
- ↑ Auguste Longnon, Les noms de lieux de la France, Paris, 1920-1929; rééd. Champion, Paris, 1979, p. 614, § 2826.
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 149b.
- ↑ Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. I 1990, tt. II et III 1991.
- ↑ René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen / Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1993, p. 86b.
- ↑ Voir entre autres pour ce problème Dominique Fournier, « Aires linguistiques et aires toponymiques en Basse-Normandie », dans Onomastique et langues en contact, Actes du Colloque de Strasbourg [de la Société française d'onomastique], Septembre 1991, A.B.D.O., Dijon, 1992, p. 243-250.
- ↑ Du latin carpinus « charme » + le suffixe collectif gallo-roman -ETU.
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit. p. 149a.
- ↑ Il est difficie ici de parler d'hypercorrection, puisque, dans le cadre ce cette hypothèse, on retombe sur la forme étymologique Carnet.
- ↑ 32,0 et 32,1 « Les travaux sont lancés pour six mois à Carnet », Ouest-France, 4 mars 2024.
- ↑ Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- ↑ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ « Carnet : la boulangerie Le Fournil 1705 fête sa 1ère bougie et ouvre ses portes ce dimanche 30 juillet », La Gazette de la Manche, 29 juillet 2023.
Lien interne
Lien externe
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