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Brécey

De Wikimanche

Brécey est une commune et un chef-lieu de canton du département de la Manche.


Blason de la commune de Brécey Coordonnées géographiques de la mairie Logo-Mairie.png
48° 43' 26.22" N, 1° 10' 2.20" W (OSM)
Arrondissement Avranches
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Canton Isigny-le-Buat
Ancien canton Brécey (chef-lieu)
Intercommunalité CA Mont-Saint-Michel-Normandie
Gentilé Brécéens(es)
Population 2 159 hab. (2021)
Superficie 20,96 km²
Densité 103 hab./km2
Altitude 22 m (mini) - 111 m (maxi)
Code postal 50370
N° INSEE 50074
Maire Philippe Aubrays
Communes limitrophes de Brécey
Notre-Dame-de-Livoye Les Loges-sur-Brécey Saint-Laurent-de-Cuves
Saint-Georges-de-Livoye
Vernix
Brécey Les Cresnays
Le Petit-Celland Le Grand-Celland Reffuveille


Infrastructure et occupation des sols en 2018.


Toponymie

Attestations anciennes

  • [abl.] Brisceio 1162 [1].
  • [abl.] Bresceio 1162 [1].
  • [abl.] Breceio 1240 [1].
  • rector de Breceyo 1369/1370, 1371/1372 [2], ecclesia de Breceyo 1412 [3], ~1480 [4].
  • Brécé 1561 [5].
  • Brecay 1635 [6].
  • Brecé 1612/1636 [7], 1677 [8].
  • Breçay 1694 [9].
  • Brecé 1713 [10], 1716 [11], 1719 [12].
  • Brecay 1719 [13].
  • Breçay 1758 [14].
  • Brecey 1753/1785 [15],
  • Brécé 1793 [16].
  • Brecey 1801 [17], 1804 [18].
  • Brecei 1828 [19].
  • Brecey 1829 [20].
  • Brécey 1854 [21].
  • Brecey 1903 [22].
  • Brécey 1962 [23].
  • Brecey 1972 [24].
  • Brécey 1978 [25], 1993 [25].

Étymologie

Toponyme gallo-romain °BRICCIACU ou °BRICTIACU, formé avec le suffixe gallo-roman -ACU ajouté à un nom de personne. Le premier élément est l'anthroponyme (nom de personne) gallo-romain Briccius ou Brictius [26], d'où le sens global de « domaine rural de Briccius / Brictius ».

Le nom gallo-romain Briccius ou Brictius, également attesté en Gaule sous les formes Briccio, Bricio, Bricius et Britcius, est d'origine gauloise [27]. Il est formé sur le radical gaulois brig- du mot briga « hauteur; mont, colline; forteresse », et représente probablement une forme évoluée de °BRÍGANTIU (forme latinisée °Brígantius), accentué à la gauloise sur la première syllabe, d’où, après syncope de la post-tonique dans les proparoxytons, °BRÍGTIU > °BRÍCTIU. Il s'agit en dernier lieu d'un dérivé gallo-romain du nom de personne gaulois °Brigantos < celtique °brig-ant-i- « haut, élevé », dérivé de °brig- « hauteur » (cf. ancien irlandais brí « colline », gallois et breton bre « mont, hauteur »), de l’indo-européen °bʰergʰ- « haut », duquel procède également l'allemand Berg « montagne » [28]. Ce type toponymique se rencontre également dans le Calvados sous la forme Brécy, et plusieurs fois en France sous les formes Brécé, Brécy, Bricy, Brissy, Brixey, Brissac, etc.

Géographie

Brécey est le chef-lieu d´un canton de 15 communes situées sur les deux flancs de la basse vallée de la Sée. Cette vallée suit les méandres de la rivière jusqu´à la baie du Mont Saint-Michel ; elle offre un paysage de petites parcelles de haies bocagères.

Cette station verte est située à 30 km du Mont-Saint-Michel et aux limites du Mortainais et de l'Avranchin.

Le canton est traversé par le GR 22 et d´autres GR de pays qui permettent aux promeneurs et randonneurs d´apprécier une architecture rurale caractéristique. Aux maisons d'habitation construites principalement en granite, en grès et en schiste, s´ajoutent des bâtiments annexes tels que des fours à pain, des étables, etc. Ces petites constructions agricoles ou à usage domestique, la plupart, en torchis et pans de bois, spécifiques au Sud-Manche, sont encore présentes et visibles dans tout le canton.

La commune a une superficie de 21 km². Son périmètre a la forme d’un quadrille s’appuyant au nord sur Saint-Nicolas-des-Bois et au sud sur Le Petit-Celland et Le Grand-Celland.
Ses limites géographiques correspondent à des frontières naturelles : en rive droite de la Sée, le ruisseau Le Bieu à l’ouest et celui de Saint-Laurent (et ses affluents) à l’est ; en rive gauche de la Sée, la même symétrie est retrouvée. Les ruisseaux de la Tuilerie et du Moulin Richard.

Au sud, le territoire communal suit le pied d’un talus topographique marqué. Cet abrupt est le plus souvent boisé. Le dénivelé est important : près de 130 mètres.

Au nord de la Sée, l’interfluve est massif et s’organise en une succession de dômes topographiques de formes allongées. La direction générale du relief est nord-est / sud-ouest, les altitudes décroissant régulièrement de 100 m au nord (au lieu-dit les Parfondes) jusqu’à 30/40 m en bordure du cours d’eau.

Le bourg est construit sur une butte culminant à 65 m. Sa disposition suit les axes routiers : RD 911 et RD 999.

Au sud de la Sée, les formes sont plus vigoureuses. Un glacis relativement étroit se développe entre le lit majeur de la rivière et le pied d’un talus topographique abrupt. Ce dernier correspond au contact entre le granite et les schistes métamorphiques. Les altitudes s’abaissent alors de 80 m à 40 m.

La Sée dessine de nombreux méandres dans son lit majeur correspondant à son champ d’inondation. Les altitudes avoisinent 30 m.

Histoire

L’origine du toponyme est inconnue, le nom de Brécey n’apparaît pour la première fois qu’au cours du 15e siècle sur différents actes.

Le premier bourg se situe sans doute à l’endroit actuellement nommé le Vieux Bourg, au croisement des voies romaines d’Avranches à Vire et du Cotentin à Rennes. Le passage à gué sur la Sée aurait été remplacé plus tard par un pont de Pierre.

Le vieux bourg devait être antérieur aux invasions normandes et possédait une église dédiée à saint Martin. Cette église aurait été renversée par les envahisseurs puis rebâtie après leur conversion. Il est admis que le premier château de Brécey fut implanté au village de la Tourelle proche.

Le premier seigneur de Brécey connu suivit Guillaume le Conquérant en Angleterre. Raoul Ier seigneur de Fougères a cédé à la fin du 11e siècle ses terres de Brécey à son vassal Ranulphe de Virey qui fut à l’origine de la création du nouveau bourg à l’emplacement où il fit construire une église dédiée à saint Martin. C’est autour de cette église que se développa la nouvelle agglomération alors que le vieux bourg devait disparaître.

L’église romane fut dédiée à l’abbaye de Savigny, elle fut restaurée en 1435.

Brécey dépendait jusqu'à la Révolution du comté de Mortain. En 1613, Jean de Vassy, seigneur de Brécey, obtint l’érection en baronnie de sa terre.

Château de Vassy.

Jacques de Vassy fit ériger le château de Brécey sur la rive gauche de la Sée près du village du Logis. Le château aujourd’hui mutilé était plus important et ses avenues rejoignaient le pont de Pierre.

Le nouveau bourg s’est développé grâce à sa situation sur la vallée de la Sée au centre du triangle formé par les villes de Villedieu-les-Poêles, Avranches et Saint-Hilaire-du-Harcouët.

Le commerce était attiré naturellement à Brécey. Les foires remontent à 1401 (foire Sainte-Croix le 14 septembre et Saint-Michel le 16 octobre). En 1628, le roi Louis XIII confirma l’octroi d’un marché le vendredi et des foires Sainte-Geneviève et Saint-Martin le 3 janvier et le 4 juillet. La commune voisine de Cuves, plus ancienne et rivale (chef lieu juridique), finit par s’incliner devant Brécey.

La cure était importante, elle entretenait un curé et quatre vicaires mais aussi un maître et une maîtresse d’école.

Si la paroisse n’a pas pris de part active à la révolution de 1789 en prenant une position neutre, elle dut subir entre 1793 à 1799 les dommages des luttes entre chouans et républicains et les exactions des deux parties.

19e siècle
Place de la Mairie.

En 1800, Brécey prend sa figure définitive de gros bourg chef-lieu de canton et de la justice de Paix. Ses marchés et foires vont accroître sa prospérité. A partir de cette époque plusieurs bâtiments publics sont construits.

Déplacement du cimetière en 1790, élévation d’un calvaire en granite en 1851, construction du nouveau presbytère en 1857, agrandissement en 1862 de l’église déjà restaurée en 1836,… ces derniers travaux s’achevèrent en 1878 par la flèche de l’église.

En 1807, le maire partagea la commune en quatre sections, sections reprises par le cadastre de 1825. Les travaux importants décidés par la commune au 19e siècle donnèrent au bourg sa configuration actuelle : création des grandes routes modernes et des chemins vicinaux : la route départementale de Villedieu-les-Poêles à Saint-Hilaire-du-Harcouët, dont la création fut envisagée dès 1818, est à l’origine du dégagement du terre plein autour de l’église et du presbytère moderne alors que les bâtiments situés à l’est de la route de Villedieu devaient disparaître.

Dégagement de la place de l’hôtel de ville, démolition des maisons gênantes, déplacement des halles qui gênent le dessin de la place. La place fut pavée en 1826. En 1843, le conseil municipal fait dresser un plan d’alignement.

Construction entre 1850 et 1870 d’une nouvelle mairie, d’une école de garçons et d’une nouvelle halle au menu grain.

On peut signaler l’interdiction des toitures en chaume en 1824 et 1828.

En 1879, la commune fait réaliser des travaux d’adduction d’eau depuis les fontaines de la Tessonière et édifier, en 1881, une fontaine monumentale au centre de la grande place.

20e siècle
Gare de Brécey.

Le début du 20e siècle voit passer à Brécey la ligne ferroviaire Granville-Sourdeval (chemin de fer à voie métrique dont la ligne a été fermée dans les années 1930) et la construction d’une usine électrique au pont Roulland.

Deux écoles libres de filles et de garçons sont créées par le clergé et les fidèles de la paroisse.

L’implantation d’une distillerie industrielle et d’une distillerie coopérative devait donner un regain de prospérité à Brécey et marquer le début d’un nouvel essor économique.

La commune est libérée de l'occupation allemande le 31 juillet 1944 par le colonel Dean, du 7e corps d’armée américain, sans dommage important pour la commune.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[29]. En 2021, la commune comptait 2 159 habitants.

Évolution de la population depuis 1793  modifier
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
2 1002 0972 0402 1902 2012 1722 4522 4662 3382 316
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
2 4402 4462 3002 3412 3992 4042 4002 3002 2942 281
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
2 2002 0112 1412 1592 1982 2472 1222 0262 0461 958
1982 1990 1999 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
1 9802 0292 1132 1502 1542 1592 1652 1772 1592 142
2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 -
2 1252 1002 0832 1002 1202 1392 1392 1682 159-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes. Depuis 2006 : population municipale.
Sources : Cassini [30] et INSEE [31]


Administration

Circonscriptions administratives avant la Révolution

Circonscriptions administratives depuis la Révolution

Les maires

Liste des maires
Période Identité Parti Qualité Observations
1790-1794 Pierre François Muris
1794-1795 Gabriel Bréhier
1795-1795 Pierre Roussel
1795-1795 Pierre François Muris
1795-1796 François Joly
.......-....... .......
1798-1799 Gilles Luce
1799-1799 Claude François Julien Roussel
1800-1800 François Renault
1800-1801 Gabriel Bréhier
1802-1803 Gabriel Amy
1803-1805 Bruno François de Brécey propriétaire
1805-1808 Pierre François Muris
1808-1809 Gabriel Jean Cassin
1809-1813 Jean François Talvande
1813-1818 Richard Hallais décédé en exercice le 15 janvier 1818
1818-1824 Jean-Jacques de La Huppe de Larturière propriétaire dit Bellavidès
1824-1830 Denis Jacques Vaugrente
1830-1840 Victor François Lanos
1840-1848 Gabriel Jean Cassin
1848-1864 Julien-Jean-Baptiste Gautier médecin conseiller général (1861-1864)
1864-1882 Pierre Boudier
1882-1893 Jules Denis-Thieudière notaire conseiller général (1880-1893)
1893-1924 Jules Pinard médecin conseiller général (1893-1904)
1924-1929 Anatole Gobé
1929-1944 Georges Pinard médecin
1944-1945 Raymond Goutière
1945-1958 Victor Loyvet
1958-1977 Paul Lemonnier pharmacien
1977-1989 Pierre Aguiton UDI avocat réélu en 1983, président du conseil général
1989-2018 [32] Bernard Tréhet enseignant conseiller général (2015-2018)
2018-actuel Philippe Aubrays assureur retraité ancien premier adjoint, élu maire le 23 novembre 2018 [33]
Sources : État civil de 1790 à 1892 - De 1892 à 1964 : 601 communes et lieux de vie de la Manche.
Toutes les données ne sont pas encore connues.


Mairie

Horaires d'ouverture
Jours Matin Après-midi Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici)
Lundi 9 h - 12 h 14 h - 17 h
Hôtel de ville.
Hôtel de ville.

Adresse : 1 Place de l'Hôtel de ville
50370 Brécey

Tél. 02 33 89 21 00
Fax : 02 33 89 21 09
Courriel : Contacter la mairie
Site internet : Officiel
Commentaire :
Source : Site Internet, Annuaire Service-Public (28 novembre 2020)

Mardi 9 h - 12 h 14 h - 17 h
Mercredi 9 h - 12 h 14 h - 17 h
Jeudi 9 h - 12 h 14 h - 17 h
Vendredi 9 h - 12 h 30 14 h - 17 h
Samedi - -


Religion

Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution

Patronage

  • Dédicace de l'église paroissiale : Saint-Martin.
  • Patron (présentation) : l'abbé de Savigny.
  • Fête patronale : ?

Circonscriptions ecclésiastiques actuelles

Lieux et monuments

La Semondière.
  • Château de Vassy aussi appelé château du Logis
  • Château de La Brisolière, demeure des 18e/19e siècles, a été construit par le comte de Brécey et occupé par ses descendants jusqu'à la fin du 20e siècle. Cette famille a été liée au monde artistique par un mariage avec les Durand-Ruel à la fin du 19e siècle. Renoir a campé des membres de la famille.
  • Le Château de la Sémondière est quelque peu antérieur au Logis, probablement édifié au 16e siècle. Cette maison-forte, entourée de douves, possède une tourelle d'angle et fut la résidence, pendant près de deux siècles, de la famille de Marie-Louise de Brécey, épouse de Jean de Julienne, grand collectionneur, mécène et ami du célèbre peintre Watteau qui fit son portait, exposé aujourd’hui au musée de Valenciennes.
  • Église Saint-Martin (16e).
  • Espace Pierre-Aguiton : plan d'eau et plaine équestre
  • Ancienne gare de Brécey
  • Monument aux morts
  • Vallée de la Sée.

Personnalités liées à la commune

Naissances

Décès

Plaque en hommage à Louis Pinson, école de Brécey.

Autre

Économie

L'ancienne cidrerie-distillerie.
Serres à tomates.

Transports

Éducation

Jumelages

Sports

  • Basket-ball : Basket-club brécéen.
  • Course à pied : Joggeurs du Val de Sée ; Foulées de la Vallée de la Sée.
  • Cyclisme : Vélo-club brécéen. Championnats de France de l'Avenir 2010
  • Équitation : Association cheval endurance brécéen ; Grand jumping National 1.
  • Football : AS Brécey, Entente Sourdeval/Brécey ; section sport-études de Brécey
  • Gymnastique : Gym Form.
  • Karaté : Karaté club brécéen.
  • Motocyclisme : Moto-club brécéen.
  • Natation : Club nautique brécéen (club été).
  • Pêche sportive.
  • Pétanque : Pétanque brécéenne.
  • Randonnée : Les Randonneurs du canton de Brécey.
  • Tennis : Tennis-club de la Sée.

Bibliographie

  • Victor Brunet, « Brécey », Mémoires de la Société d'archéologie, de littérature, sciences et arts d'Avranches, éd. Tostain, Avranches, 1892, tome 10, p. 145- 172 (lire sur Gallica.bnf.fr)
  • Anonyme, « Brécey » , Mémoires de la Société d'archéologie, de littérature, sciences et arts d'Avranches, éd. Tostain, Avranches, 1892, tome 11, p. 367-394 (lire en ligne)
  • Alfred de Tesson, « Rectifications et additions... : Brécey », Mémoires de la Société d'archéologie, de littérature, sciences et arts d'Avranches, Avranches,tome 13, 1896, p.325-329 (lire en ligne)
  • Maxime Fauchon, Histoire populaire de Brécey, 1935, réédition Le Livre d'histoire, 1993.
  • Michel Érard, Témoins de leur temps, Brécey et son canton, éditions Normandie terre des arts, 2007, ISBN : 2-909713-17-2
  • Michel Érard, La libération de Brécey entre le 31 juillet et le 2 août 1944, 2014

Notes et références

  1. 1,0 1,1 et 1,2 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 85.
  2. Comptes du Diocèse d’Avranches, dressés en 1369/1370 et 1371/1372, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 143D, 148D.
  3. Pouillé du Diocèse d’Avranches, 1412, in Auguste Longnon, op. cit., 1903, p. 159C.
  4. Pouillé du Diocèse d’Avranches, ~1480, in Auguste Longnon, op. cit., p. 175D.
  5. Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. II), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXII, Caen, 1895, p. 705.
  6. Normandia Ducatus (carte du duché de Normandie), Atlas Van der Hagen, 1635.
  7. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BN, ms. fr. 4620].
  8. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BN, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  9. Jean-Baptiste Nolin, Le duche et gouvernement de Normandie Divisé en Haute et Basse Normandie, en Divers Pays, et par Evechez, Paris, 1694 [BN, IFN-7710251].
  10. Dénombrement des généralités de 1713 [BN, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  11. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  12. Guillaume de l’Isle, Carte des Provinces du Maine et du Perche, Paris, 1719.
  13. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  14. G. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
  15. Carte de Cassini.
  16. Site Cassini.
  17. Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris.
  18. Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, libr. Laporte, vol. I (A-CNO), an XIII (1804), p. 443a.
  19. Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 405.
  20. Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement d'Avranches, p. 120.
  21. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  22. Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
  23. Atlas de Normandie, Caen, 1962.
  24. Anne Vallez, Pierre Gouhier, Jean-Marie Vallez, Atlas Historique de Normandie II (économie, institutions, comportements), Université de Caen, Caen, 1972.
  25. 25,0 et 25,1 Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
  26. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985, p. 41b.
  27. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. II (les noms latins ou transmis par le latin), 1972, p. 29b.
  28. Cf. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Errance, Paris, 2001, p. 74-75.
  29. Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
  30. Population avant le recensement de 1962
  31. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  32. Décédé en cours de mandat le 25 août 2018.
  33. « Conseil : Philippe Aubrays, nouveau maire », Ouest-France, 28 novembre 2011.
  34. René Gautier et 54 correspondants, 601 communes et lieux de vie de la Manche, 2014, p. 107.

Lien interne

Liens externes