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Digosville

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Digosville est une commune du département de la Manche.

  • Prononciation. — API : [digo'vil]; transcription francisée : di-gô-vil.


Commune de Digosville Coordonnées géographiques de la mairie Logo-Mairie.png
49° 37' 53.68" N, 1° 31' 35.96" W (OSM)
Arrondissement Cherbourg
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Canton Tourlaville
Ancien canton Tourlaville
Intercommunalité CA du Cotentin
Gentilé Digosvillais(es)
Population 1 638 hab. (2021)
Superficie 9,27 km²
Densité 177 hab./km2
Altitude 0 m (mini)
Code postal 50110
N° INSEE 50162
Maire Serge Martin
Communes limitrophes de Digosville
Cherbourg-en-Cotentin Mer de la Manche Bretteville-en-Saire
Cherbourg-en-Cotentin Digosville Gonneville-Le Theil
Cherbourg-en-Cotentin Le Mesnil-au-Val Le Mesnil-au-Val


Infrastructure et occupation des sols en 2018.


Toponymie

Attestations anciennes


  • Ingulvilla (?) ~1095 [1].
  • Digovilla 1183/1189 [2].
  • Digoville 1195 [3].
  • Digouvill[a] 1198 [4].
  • parrochia de Digouvilla 1257 [5].
  • la haye de Digouville 1272 [6].
  • haya de Digovilla 1272 [7].
  • Dingouville 1294 [8].
  • Digouville 1294 [8].
  • parrochia de Digovilla 1325 [9].
  • ecclesi[a] de Dygovilla 1332 [10].
  • Digouville 1346 [8].
  • Digouvilla 1351/1352 [11].
  • Digoville 1419 [12], 1549 [13].
  • la haye de Digoville 1563 [noté 1562] [14].
  • Digouville 1634 [15].
  • Digoville 1612/1636 [16], 1677 [17].
  • Digôville 1689 [18].
  • Dygoville 1695 [19].
  • Digoville ~1700 [20], 1713 [21], 1716 [22], 1719 [23], 1757 [24], 1758 [25], 1771 [26], 1777 [27], 1753/1785 [28], 1791 [29], 1792 [30], 1793 [31].
  • Digosville 1801 [32].
  • Digoville 1804 [33].
  • Digôville 1828 [34].
  • Digoville 1829 [35], 1830 [36], 1837 [37].
  • Digosville 1835/1845 [38].
  • Digoville 1854 [39].
  • Digosville 1878 [40], 1880 [41].
  • Digoville, Digosville 1903 [42].
  • Digosville 1962 [43], 1972 [44], 1978, 1993 [45], 2007 [46].

Étymologie

Toponyme médiéval en -ville (élément issu du gallo-roman VILLA « domaine rural »). En l'absence d'étymon plausible commençant par un d-, on peut penser que le premier élément correspond à l'anthroponyme d'origine scandinave Ingulf, d'où le sens global de « domaine rural d'Ingulf ». Il semble s'être produit ici un phénomène d'agglutination de la préposition d’, à partir de formes telles que (la paroisse / la haie / le bois) d'Igoville.

On notera d'une part la longue hésitation (du 12e au 17e siècle) entre les formes en Digo- et en Digou-, qui prend fin avec la victoire de la première; et d'autre part, l'introduction très tardive (19e siècle) d'un -s- parasite qui n'a strictement rien d'historique, et dont la suppression faciliterait grandement la prononciation correcte de ce toponyme.

☞ Ce nom de personne d'origine scandinave a été en usage en Normandie à l'époque médiévale sous les formes Ingouf, Igouf, Ygouf (formes latinisées Ingulfus, Hingulfus, etc.), et s'est fixé dans la Manche dans les noms de famille Ingouf et Ygouf. Il est également à l'origine des types toponymiques Ingouville (Calvados, Seine-Maritime), Landigou (Orne), etc. En Scandinavie, on le rencontre en ancien danois (Ingulf), ancien suédois (Ingolf) et ancien norois de l'Ouest (Ingólfr); il est également attesté dans de nombreuses inscriptions runiques sous les formes ᛁᚲᚢᛚᚠᚱ (ikulfr), ᛁᚾᚷᚢᛚᚠᚱ (ingulfr), ᛁᚾᚲᚢᛚᚠᚱ (inkulfr), etc. Il est constitué des éléments ing(i)-, un radical à sens ethnique, « relatif aux Inguaeones » (nom d’un peuple germanique du Jutland), et -úlfr / -ólfr « loup » [47]. C'est l'équivalent du nom francique Ingwulf, avec lequel il s'est généralement fondu en Normandie.

Géographie

Digosville est la première commune rurale traversée en sortant de l'agglomération cherbourgeoise par sa porte est, après Tourlaville, et en direction de Saint-Pierre-Église. Elle est, en quelque sorte, la porte du Val de Saire.

Elle est délimitée par le ruisseau du Pas Vastel à l'est et la Saire au sud-est sur 600 ou 700 mètres.

Elle est traversée par la route départementale 901, dite route touristique, et le GR 223.

Histoire

Au lieu-dit la Planche-Kerby, on remarque un monument tumulaire fort ancien.

L'église de Digosville avec une somme de 50 livres de décimes, le seigneur du lieu, M. de Campserveur, pour patron. En 1692, Jean Néel en était le curé. On remarque au nombre de ses successeurs Guillaume de Vauborel, qui était neveu du seigneur du lieu, et Charles Trigan, mort à Digosville le 12 février 1764.

Lors de son célèbre procès tenu en octobre 1272, Guillaume de Bohon, accusé de diverses malversations et de prises de bénéfices illicites relatives aux bois dont il avait la garde, nie « avoir pris une biche que monseigneur Guillaume de Digouville ocist » [48] « que monseigneur Jehan Malet ot [49]; « et une biche que le dis Guillaume pris en la haye de Digouville, et fu o li » [50] « Jehan de Trapes, et l'envoierent as maistres a l'Eschequier […], et avoir touché une partie des ventes » [6].

Soldats américains au camp de Digosville en 1944.

En 1410, un Guillaume de Campserveur avait été capitaine du château de Cherbourg.

Le 3 avril 1419, Henry V, roi d'Angleterre, accorde à Gilot Renoult « l'office de sergeanterie de boys de Digoville en la verderie de Valoignes, que soulloit tenir » [51] John Girart [12].

On comptait à Digosville, au XVIIe siècle, parmi les habitants notables, la famille de Campserveur, qui portait d'azur à trois faces d'argent au chevron de gueules brochant sur le tout. Il y avait aussi dans cette commune, la famille du Bosq, qui portail de gueules, à la croix d'argent, le pied fiché d'or fleurdelisé et cantonné de quatre trèfles d'argent, et la famille de Brucan, qui portait de gueules à l'homme armé de toutes pièces d'argent tenant en main une hallebarde d'or.

La commune est libérée de l'occupation allemande le 23 [52] ou 24 juin 1944 [53] et accueille le 280e service hospitalier : il s'occupe notamment des rescapés du naufrage du Léopoldville [54].

En 1983, la colonie de vacances, depuis longtemps établie au fort de Bretteville-Haut, est encore là.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[55]. En 2021, la commune comptait 1 638 habitants.

Évolution de la population depuis 1793  modifier
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
970599838811848814701684652617
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
631589604620612622628589562592
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
589580585573537607550583569645
1982 1990 1999 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
8791 3381 4591 5471 5461 5491 5431 5381 5321 512
2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
1 5111 5111 5111 5111 5201 5461 5721 5981 6231 638
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes. Depuis 2006 : population municipale.
Sources : Cassini [56] et INSEE [57]


Administration

Circonscriptions administratives avant la Révolution

Circonscriptions administratives depuis la Révolution

Les maires

Liste des maires depuis 1945
Période Identité Parti Qualité Observations
1945-1953 Henri Bigant
1953-1959 Clément Picot cultivateur
1959-1971 Roger Marneffe-Lebrequier notaire
1971-1977 Jacques Fribourg cultivateur
1977-2017 Michel Lepoittevin UMP, DIV retraité démissionnaire en novembre 2017 [58]
2017-actuel Serge Martin Retraité des entreprises publiques réélu en mai 2020 [59]
Sources : État civil de 1790 à 1892 - De 1892 à 2014 : liste établie par et Jean-Paul Bonami pour 601 communes et lieux de vie de la Manche [60].
Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.


Mairie

Horaires d'ouverture
Jours Matin Après-midi Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici)
Lundi 8 h 30 - 12 h -
Mairie (juillet 2013)
Mairie (juillet 2013)

Adresse : 4 rue de l'Église
50110 Digosville

Tél. 02 33 22 90 88
Fax : 02 33 20 37 03
Courriel : Contacter la mairie
Site internet : Officiel
Commentaire :
Source : Annuaire Service-Public (7 septembre 2021)

Mardi 8 h 30 - 12 h -
Mercredi 8 h 30 - 12 h 14 h - 17 h
Jeudi 8 h 30 - 12 h -
Vendredi 8 h 30 - 12 h -
Samedi - -


Religion

Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution

Patronage

  • Dédicace de l'église paroissiale : Notre-Dame.
  • Patron (présentation) : patronage laïc, le seigneur du lieu; Thomas du Manoir, chevalier, en 1332.
  • Fête patronale : 29 septembre [61]

Circonscriptions ecclésiastiques actuelles

Lieux et monuments

Église Notre-Dame.
Château de la Garancière.
  • Bois
  • Château de la Garancière (1752) : propriété privée
  • La Crespinière (16e/17e s.)
  • Église Notre-Dame (17e/18e s.) et cimetière mitoyen. L'église abrite une statue funéraire inscrite aux monuments historiques : le tombeau de la Dame de Vauborel
  • Ferme du Four : propriété communale
  • Fort de Bretteville Haut : propriété communale
  • Hêtres de Digosville, labellisés « arbres remarquables » depuis septembre 2005, dépassent les 5 mètres de circonférence
  • Mairie entièrement rénovée (2010)
  • Manoir de Brucan (16e/19e s.): propriété privée
  • Monument aux morts
  • Motte féodale de la Haye
  • Plage du Becquet
  • Port du Becquet
  • La Roche Toinette
  • Vallon de la Saire
Lieux-dits
Chasse, au Douet Piquot (2013).
  • La Croix Fresville
  • La Croix Perrinot
  • Le Douet Piquot
  • Le Hameau aux Piquots
  • Le Becquet
  • La Vierge Drouet
  • L'Église
  • Maubray
  • L'Oliverie
  • Hameau Giot
  • Hameau de Haut
  • Hameau Saint-Germain
Hydrographie

Personnalités liées à la commune

Naissances

Décès

Autres

  • Bon Onfroy (1777-1857), prêtre à Digosville jusqu'en 1824
  • Auguste Gosselin (1866-1930), conseiller municipal de Digosville, chevalier de la Légion d'honneur, officier d'académie, président de la coopérative "L'Espérance" de Tourlaville.
  • Paul Leterrier (1921-), dernier survivant de Bir Hakeim, résident

Économie

  • Émetteur-relais de Télé Diffusion de France (TDF) pour la télévision et la radio, mis en service en 1958.

Transports

Ligne Manéo

Éducation

Il existe une école maternelle et primaire (rue des Écoles). C'est un établissement public de 95 élèves à la rentrée 2010, avec la présence d'une cantine et d'une garderie périscolaire.

Culture

  • Association « Peindre à Digosville »

Sports

  • Équitation : Les Cavaliers du Douet Picot.
  • Football : FC Digosville.
  • Gymnastique volontaire.
  • Voile : régates du Becquet.

Bibliographie

  • Jean Marneffe-Lebréquier, « Digosville de 1300 à nos jours », Mémoires de la Société nationale académique, volume XXVIII, 1975.
  • Sébastien Fautrat, Digosville, d'autrefois à nos jours, impr. Icl Graphic, 2017

Notes et références

  1. Jean Adigard des Gautries, Les noms de personnes scandinaves en Normandie de 911 à 1066, Lund, 1954, p. 453. — L'auteur identifie cette attestation au hameau d'Ingouf à Saint-Martin-d'Audouville; cependant, comme le pense François de Beaurepaire, il semble plus probable qu'elle représente une forme ancienne de Digosville.
  2. Léopold Delisle, Recueil des actes de Henri II, revu et publié par Élie Berger, Imprimerie Nationale, Paris, t. II, 1920, p. 396, § DCCLI.
  3. Léchaudé D’Anisy, Grands Rôles des Échiquiers de Normandie, première partie, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XV, 2e série, 5e volume, Paris, 1845, p. 84b.
  4. Thomas Stapelton, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, Société des antiquaires de Londres, Londres, t. II, 1844, p. 471.
  5. Julie Fontanel, Le cartulaire du chapitre cathédral de Coutances, Archives départementales de la Manche, Saint-Lô, 2003, p. 145, § 40.
  6. 6,0 et 6,1 Léopold Delisle, Le cartulaire normand de Philippe-Auguste, Louis VIII, saint Louis et Philippe le Hardi, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XVI (2e série, 6e vol.), Paris, 1852, p. 339b, § 1222.
  7. Julie Fontanel, op. cit., p. 154, § 44.
  8. 8,0 8,1 et 8,2 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 110.
  9. Julie Fontanel, op. cit., p. 147, § 41.
  10. Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 308A.
  11. Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, op. cit., p. 378E.
  12. 12,0 et 12,1 Rôles Normands et Français et autres pièces tirées des archives de Londres par Bréquigny en 1764, 1765 et 1766, Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie XXIII (3e série, 3e volume), 1re partie, Paris, 1858, p. 63b, § 338.
  13. Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. I), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXI, Caen, 1892, p. 44.
  14. Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. II), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXII, Caen, 1895, p. 863.
  15. Sébastien Cramoisy, Carte générale de toutes les costes de France tant de la mer Océane que Mediterranée, 1634 [BnF].
  16. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BnF, ms. fr. 4620].
  17. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BnF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  18. G. Mariette de La Pagerie, cartographe, Unelli, seu Veneli. Diocese de Coutances, divisé en ses quatre archidiaconés, et vint-deux doiennés ruraux avec les Isles de Iersay, Grenesey, Cers, Herms, Aurigny etc., chez N. Langlois, Paris, 1689 [BnF, collection d'Anville, cote 00261 I-IV].
  19. P. Mortier / H. Jaillot, Le Duché et Gouvernement de Normandie divisée en Haute et Basse Normandie, Amsterdam, 1695.
  20. Gerard Valk, Normannia Ducatus, tum Superior ad Ortum, tum Inferior ad Occasum, Praefectura Generalis […] Anglici Caesarea sive Jarsey…, Amsterdam, ~1700.
  21. Dénombrement des généralités de 1713 [BnF, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  22. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  23. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  24. L. Brion de la Tour, Recueil des Côtes Maritimes de France, Desnos, Paris, 1757, carte n° 10.
  25. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
  26. Rigobert Bonne, Carte du Gouvernement de Normandie avec celui du Maine et Perche, 1771, recueillie in Jean Lattre, Atlas Moderne ou Collection de Cartes sur Toutes les Parties du Globe Terrestre, ~1775.
  27. P. Santini, Gouvernement de Normandie avec celui du Maine et Perche, Remondini, Venise, 1777.
  28. Carte de Cassini.
  29. Les Auteurs de l’Atlas National de France, Précis élémentaire et méthodique de la nouvelle géographie de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1791.
  30. Les Auteurs de l’Atlas National de France, Atlas National Portatif de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1792.
  31. Site Cassini.
  32. Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris.
  33. Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, libr. Laporte, vol. II (COA-H), an XIII (1804), p. 158c.
  34. Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 438.
  35. Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement de Cherbourg, p. 131.
  36. J. G. Masselin, Dictionnaire universel de géographie physique, commerciale, historique et politique du Monde Ancien, du Moyen Age et des Temps Modernes comparées / Dictionnaire universel de géographie, t. I, Auguste Delalain, Paris, 1830, p. 410b.
  37. Dictionnaire géographique universel ou description de tous les lieux du globe sous le rapport de la géographie physique et politique, de l’histoire, de la statistique, du commerce, de l’industrie, etc., etc., Sociétés de Paris, Londres et Bruxelles pour les publications littéraires, Bruxelles, 1837, t. I, p. 613b.
  38. cartes d’État-Major (relevés de 1820 à 1866, mises à jour jusqu’à 1889; Basse-Normandie cartographiée entre 1835 et 1845).
  39. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  40. Abbé Auguste Lecanu, Histoire du diocèse de Coutances et d'Avranches depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours; suivie des actes des saints et d'un tableau historique des paroisses du diocèse, impr. de Salettes, Coutances, t. II, 1878, p. 312.
  41. Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1880, p. 58b.
  42. Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
  43. Atlas de Normandie, Caen, 1962.
  44. Anne Vallez, Pierre Gouhier, Jean-Marie Vallez, Atlas Historique de Normandie II (économie, institutions, comportements), Université de Caen, Caen, 1972.
  45. Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
  46. Carte IGN au 1 : 25 000.
  47. Gillian Fellows-Jensen, Scandinavian Personal Names in Lincolnshire and Yorkshire, Copenhagen, Akademisk Forlag, 1968 p. 344, s. v. Ingi-, p. 351 s. v. -ulfr; Richard Cleasby et Guðbrandr Vigfusson, An Icelandic-English Dictionary, 2nd ed., Oxford, Clarendon, 1957, p. 668 s. v. úlfr; Lena Peterson, Nordiskt runnamnslexikon, Språk- och folkminnes-institutet, état du 30 septembre 2005, s.v. IngulfR, Ingi, Ing(in)-, -ulfR.
  48. Tua.
  49. Eut.
  50. Et avec lui fut…
  51. Que tenait autrefois.
  52. « Demain la liberté, l'album souvenir », La Manche Libre, 2003, p.30
  53. Paul Ingouf, Normandie 44. La bataille de Cherbourg, le Val de Saire, la Hague, éd. Heimdal, 1979, p. 65.
  54. Raymond Lefèvre, « Le désastre du Léopoldville », Mémoires de la Société nationale académique de Cherbourg, vol. XXVI, 1961, pp. 53-65.
  55. Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
  56. Population avant le recensement de 1962
  57. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  58. démissionne en novembre 2017 pour raison de santé après 40 ans de mandat
  59. « Digosville. Un second mandat de maire pour Serge Martin », Ouest-France, site internet, 2 juin 2020.
  60. 60,0 et 60,1 « 601 communes et lieux de vie de la Manche », René Gautier et 54 correspondants, éd. Eurocibles, 2014, p. 182
  61. Anonyme, Les 50 000 adresses de la Manche, L'agence générale de publicité et d'édition, Caen, 1939, p. 433.
  62. René Gautier et 54 correspondants, 601 communes et lieux de vie de la Manche, 2014, p. 182.

Lien externe