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'''Lucien''' Georges Léon '''Goubert''', {{date naissance|27|6|1887|Flamanville}} <ref name=EC>50, NMD Flamanville 1886 – 1893 (5 Mi 724) page 61/328 Acte de décès n° 40 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085769yXPrhE/f25e1ba4e1''(lire en ligne)''].</ref> et {{date décès|10|1|1964|Rauville-la-Bigot}}<ref name=EC></ref>, est un peintre, caricaturiste et photographe de la [[Manche]].
'''Lucien''' Georges Léon '''Goubert''', {{date naissance|27|6|1887|Flamanville}} <ref name=EC>50, NMD Flamanville 1886 – 1893 (5 Mi 724) page 61/328 Acte de décès n° 40 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085769yXPrhE/f25e1ba4e1''(lire en ligne)''].</ref> et {{date décès|10|1|1964|Rauville-la-Bigot}} <ref name=EC></ref>, est un peintre, caricaturiste et photographe de la [[Manche]].


== Biographie ==
== Biographie ==
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La même année, sa troisième exposition à la [[Fernand Choubrac|librairie Choubrac]] à [[Cherbourg]] marque le début d'un succès qui ne va plus se démentir. Il expose à Caen, à Rouen puis à Paris. En [[1929]], on s'arrache ses toiles à l'exposition Lebarbenchon-Bernadi et certaines partent même pour les États-Unis. Avec [[Émile Dorrée]], il représente la Basse-Normandie à l'Exposition universelle de [[1937]]. À cette époque, il voyage en Tunisie.
La même année, sa troisième exposition à la [[Fernand Choubrac|librairie Choubrac]] à [[Cherbourg]] marque le début d'un succès qui ne va plus se démentir. Il expose à Caen, à Rouen puis à Paris. En [[1929]], on s'arrache ses toiles à l'exposition Lebarbenchon-Bernadi et certaines partent même pour les États-Unis. Avec [[Émile Dorrée]], il représente la Basse-Normandie à l'Exposition universelle de [[1937]]. À cette époque, il voyage en Tunisie.


La réalisation d'affiches publicitaires fait beaucoup pour sa célébrité locale. La plus connue est sans doute celle représentant un couple en habits traditionnels du Cotentin <ref> Lui en ''Bllâodot'' et ''Capé de Brix'', elle avec sa ''bounette''. [[Lucien Ratti]] tenait sans doute à faire savoir que son grand magasin convenait aussi bien aux ruraux qu'aux gens de la ville, et qu'ils étaient tous réjouis d'y venir. </ref>, allant faire ses emplettes ''Tcheu Ratti'', le célèbre magasin cherbourgeois <ref> Marguerite Cornavin, la propre épouse de Lucien Goubert, et Gustave Bazire, photographe et ami de l'artiste, ont servi de modèles pour les deux personnages. </ref>. Il en réalise d'autres pour les foires-expositions de Cherbourg dans les années 1920 et 1930. L'une d'elle, représentant en premier plan un célèbre pêcheur local, le père [[Charles Brumant|Brumant]], sera reprise sur les paquets du ''Café du Vieux Pêcheur'' distribués durant de nombreuses années dans le Cotentin.
La réalisation d'affiches publicitaires fait beaucoup pour sa célébrité locale. La plus connue est sans doute celle représentant un couple en habits traditionnels du Cotentin <ref> Lui en ''Bllâodot'' et ''Capé de Brix'', elle avec sa ''bounette''. [[Lucien Ratti]] tenait sans doute à faire savoir que son grand magasin convenait aussi bien aux ruraux qu'aux gens de la ville, et qu'ils étaient tous réjouis d'y venir. </ref>, allant faire ses emplettes ''Tcheu Ratti'', le célèbre magasin cherbourgeois <ref> Marguerite Cornavin, la propre épouse de Lucien Goubert, et Gustave Bazire, photographe et ami de l'artiste, ont servi de modèles pour les deux personnages. </ref>. Il en réalise d'autres pour les foires-expositions de Cherbourg dans les années 1920 et 1930. L'une d'elles, représentant en premier plan un célèbre pêcheur local, le père [[Charles Brumant|Brumant]], sera reprise sur les paquets du ''[[Café du vieux pêcheur|Café du Vieux Pêcheur]]'' distribués durant de nombreuses années dans le Cotentin.


Il décore la salle de spectacles de [[Bricquebec]], inaugurée le [[31 janvier]] [[1926]] <ref>« 120 ans en Cotentin », ''La Presse de la Manche'', hors-série, novembre 2009, p. 87. </ref>.
Il décore la salle de spectacles de [[Bricquebec]], inaugurée le [[31 janvier]] [[1926]] <ref>« 120 ans en Cotentin », ''La Presse de la Manche'', hors-série, novembre 2009, p. 87. </ref>.


Portraitiste, paysagiste, peintre de la mer et des intérieurs normands, illustrateur d'un ''Prêtre marié'' ou d'une ''Histoire sans nom'', romans de [[Jules Barbey d'Aurevilly]], il maniait l'huile, la gouache, l'aquarelle avec autant de bonheur que le crayon et l'eau forte. Son ami [[Louis Beuve]] a dit de lui qu'il « peignait en patois ». Il est également ami avec le photographe [[Gustave Bazire]].
Portraitiste, paysagiste, peintre de la mer et des intérieurs normands, illustrateur d'un ''Prêtre marié'' ou d'une ''Histoire sans nom'', romans de [[Jules Barbey d'Aurevilly]], il manie l'huile, la gouache, l'aquarelle avec autant de bonheur que le crayon et l'eau forte. Son ami [[Louis Beuve]] a dit de lui qu'il « peignait en patois ». Il est également ami avec le photographe [[Gustave Bazire]].


En [[1941]], pour fuir les bombardements de Cherbourg, Lucien Goubert se réfugie à Rauville-la-Bigot où sa femme vient aider sa mère à la boulangerie familiale. Ils emménagent dans une maison face à la boutique, au lieu dit La Régale. C'est là qu'il vit le reste de son existence, avec de fréquents séjours dans son atelier de Flamanville. Jusqu'à sa mort, il ne cessera de peindre et de dessiner.
En [[1941]], pour fuir les bombardements de Cherbourg, Lucien Goubert se réfugie à Rauville-la-Bigot où sa femme vient aider sa mère à la boulangerie familiale. Ils emménagent dans une maison face à la boutique, au lieu-dit La Régale. C'est là qu'il vit le reste de son existence, avec de fréquents séjours dans son atelier de Flamanville. Jusqu'à sa mort, il ne cessera de peindre et de dessiner.


Il est inhumé dans le cimetière de Rauville-la-Bigot.
Il est inhumé dans le cimetière de Rauville-la-Bigot.
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Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en [[1938]].
Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en [[1938]].


==Hommages==
== Hommages ==
Aujourd'hui, le collège de [[Flamanville]], l'école publique de [[Rauville-la-Bigot]] et des rues à [[Bricquebec]] et à [[Rue Lucien-Goubert (Cherbourg-Octeville)|Cherbourg-en-Cotentin]] perpétuent sa mémoire.
Aujourd'hui, le collège de [[Flamanville]], l'école publique de [[Rauville-la-Bigot]] et des rues à [[Bricquebec]] et à [[Rue Lucien-Goubert (Cherbourg-Octeville)|Cherbourg-en-Cotentin]] perpétuent sa mémoire.


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À l'occasion du cinquantenaire de sa mort, plusieurs expositions sont organisées :
À l'occasion du cinquantenaire de sa mort, plusieurs expositions sont organisées :


* Deux expositions complémentaires, associant peintures et photographies, se tiennent du [[7 juin]] au [[28 septembre]] [[2014]], l'une au [[manoir du Tourp]], l'autre au [[château de Flamanville]] <ref>« Un livre sur le peintre Lucien Goubert »], ''Ouest-France'', 18 avril 2014 [http://www.ouest-france.fr/un-livre-sur-le-peintre-lucien-goubert-2231662 ''(lire en ligne)''].</ref> à l'initiative de l'association 3Angles. Elles attirent 35 000 visiteurs.
* Deux expositions complémentaires, associant peintures et photographies, se tiennent du [[7 juin]] au [[28 septembre]] [[2014]], l'une au [[manoir du Tourp]], l'autre au [[château de Flamanville]] <ref>« Un livre sur le peintre Lucien Goubert »], ''Ouest-France'', 18 avril 2014 [http://www.ouest-france.fr/un-livre-sur-le-peintre-lucien-goubert-2231662 ''(lire en ligne)''].</ref> à l'initiative de l'[[3Angles|association 3Angles]]. Elles attirent 35 000 visiteurs.
* Une exposition intitulée  « Lucien Goubert à Bricquebec et Rauville », organisée par l'association [[Les Amis du donjon]], a lieu du 20 au [[22 septembre]] 2014 à la mairie de [[Rauville-la-Bigot]]. Elle se tient de nouveau à Bricquebec du 4 au 9 mars 2015.
* Une exposition intitulée  « Lucien Goubert à Bricquebec et Rauville », organisée par l'association [[Les Amis du donjon]], a lieu du 20 au [[22 septembre]] 2014 à la mairie de [[Rauville-la-Bigot]]. Elle se tient de nouveau à Bricquebec du 4 au 9 mars 2015.
* Une exposition « Sur les pas de Lucien Goubert » se tient aux [[Archives départementales de la Manche]] à [[Saint-Lô]] du [[15 décembre]] 2014 au [[28 février]] [[2015]], en collaboration avec l'association 3Angles.
* Une exposition « Sur les pas de Lucien Goubert » se tient aux [[Archives départementales de la Manche]] à [[Saint-Lô]] du [[15 décembre]] 2014 au [[28 février]] [[2015]], en collaboration avec l'association [[3Angles]].


== Ventes ==
== Ventes ==
* Le [[8 août]] [[2011]], ''Au marché de Bricquebec'' est adjugé {{formatnum:3500}} € à la salle des ventes de [[Cherbourg-Octeville]] <ref>''La Presse de la Manche'', 12 août 2011.</ref>.
* Le [[8 août]] [[2011]], ''Au marché de Bricquebec'' est adjugé {{unité|3500}} € à la salle des ventes de [[Cherbourg-Octeville]] <ref>''La Presse de la Manche'', 12 août 2011.</ref>.
* Le [[8 avril]] [[2024]], à l'hôtel des ventes de [[Cherbourg-en-Cotentin]], un triptyque représentant le [[port de Diélette]] est adjugé {{unité|15000|€}} à la commune de Flamanville <ref>« À Cherbourg, un triptyque de Goubert vendu 15 000 € », ''Ouest-France'', 9 avril 2024. </ref>.


==Bibliographie==
==Bibliographie==
* [[Pierre Leberruyer]], ''Lucien Goubert dessinateur'', éd. Manche-Tourisme, Saint-Lô, 1970
* [[Pierre Leberruyer]], ''Lucien Goubert dessinateur'', éd. Manche-Tourisme, Saint-Lô, 1970.
* [[Lucien Lepoittevin]], « Lucien Goubert », ''[[Le Viquet]]'' n° 94, Noël 1991
* [[Lucien Lepoittevin]], « Lucien Goubert », ''[[Le Viquet]]'' n° 94, Noël 1991.
* ''Goubert, promenade dans la Hague'' (recueil de dessins), éd. Livory-Quémerais, 1991
* ''Goubert, promenade dans la Hague'' (recueil de dessins), éd. Livory-Quémerais, 1991.
* Emmanuelle Lemesle, ''Sur les pas de Lucien Goubert peintre & photographe'', Association 3Angles, Cherbourg-Octeville, 2014
* Emmanuelle Lemesle <ref>Membre de la [[Société nationale académique de Cherbourg]] depuis le [[7 octobre]] [[2015]].</ref>, ''Sur les pas de Lucien Goubert peintre & photographe'', Association 3Angles, Cherbourg-Octeville, 2014<ref>Un documentaire ''Sur les pas de Lucien Goubert'', à l'initiative de l'association 3Angles, lui est consacré la même année.</ref>.
* Jeannine Bavay, « Lucien Goubert, peintre de notre terroir : Bricquebec, les années de jeunesse », in ''[[La Voix du donjon]]'' n° 82, septembre 2014
* Jeannine Bavay, « Lucien Goubert, peintre de notre terroir : Bricquebec, les années de jeunesse », in ''[[La Voix du donjon]]'' n° 82, septembre 2014.
* Jean-Pierre Le Goupillot et Jeannine Bavay, « Lucien Goubert à Rauville-la-Bigot », ''[[La Voix du donjon]]'' n° 83, décembre 2014
* Jean-Pierre Le Goupillot et Jeannine Bavay, « Lucien Goubert à Rauville-la-Bigot », ''[[La Voix du donjon]]'' n° 83, décembre 2014.
* Jeannine Bavay, « Lucien Goubert, peintre du terroir », ''[[Vikland]]'', n° 14, 2015.


{{Notes et références}}
{{Notes et références}}


==Article connexe==
==Articles connexes==
* [[:Catégorie:Lucien Goubert (image)|Galerie d'images]]
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* [[Goubert]]


== Liens externes ==
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* [http://www.lucien-goubert.fr/ Site internet consacré à Lucien Goubert]
* [http://www.lucien-goubert.fr/ Site internet consacré à Lucien Goubert]


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Dernière version du 18 avril 2024 à 11:58

Lucien Goubert.

Lucien Georges Léon Goubert, né à Flamanville le 27 juin 1887 [1] et mort à Rauville-la-Bigot le 10 janvier 1964 [1], est un peintre, caricaturiste et photographe de la Manche.

Biographie

Il naît chemin de la Cad'huse, au Hameau de Caubus à Flamanville.

De 1890 à 1898, la famille Goubert vit à Guernesey où le père de Lucien travaille comme tailleur de pierre. De retour dans le Cotentin, à Cherbourg, il fréquente l'école Émile-Zola où son instituteur l'encourage à développer son don pour le dessin. Malheureusement, son père meurt peu après et Lucien doit travailler pour subvenir aux besoins de la famille. D'abord apprenti ébéniste, il occupe divers emplois tout en suivant les cours du soir de l'école municipale de dessin de Cherbourg.

Il obtient une petite notoriété locale en devenant caricaturiste, suivant l'exemple de son compatriote manchois devenu publiciste à Paris, François Énault. Certaines de ses caricatures sont reprises en cartes postales, en particulier au moment des élections législatives et municipales.

Sa peinture ne lui permettant pas de vivre, il s'installe comme photographe en 1914, non pas à Cherbourg où la concurrence aurait été forte pour un débutant, mais à Bricquebec. Boitant depuis un accident dans son enfance, il n'est pas mobilisé lors de la Première Guerre mondiale. En 1920, il épouse Marguerite Cornavin, de Rauville-la-Bigot, et transfère son atelier rue Tour-Carrée à Cherbourg où il ne se consacre plus qu'à la peinture.

La même année, sa troisième exposition à la librairie Choubrac à Cherbourg marque le début d'un succès qui ne va plus se démentir. Il expose à Caen, à Rouen puis à Paris. En 1929, on s'arrache ses toiles à l'exposition Lebarbenchon-Bernadi et certaines partent même pour les États-Unis. Avec Émile Dorrée, il représente la Basse-Normandie à l'Exposition universelle de 1937. À cette époque, il voyage en Tunisie.

La réalisation d'affiches publicitaires fait beaucoup pour sa célébrité locale. La plus connue est sans doute celle représentant un couple en habits traditionnels du Cotentin [2], allant faire ses emplettes Tcheu Ratti, le célèbre magasin cherbourgeois [3]. Il en réalise d'autres pour les foires-expositions de Cherbourg dans les années 1920 et 1930. L'une d'elles, représentant en premier plan un célèbre pêcheur local, le père Brumant, sera reprise sur les paquets du Café du Vieux Pêcheur distribués durant de nombreuses années dans le Cotentin.

Il décore la salle de spectacles de Bricquebec, inaugurée le 31 janvier 1926 [4].

Portraitiste, paysagiste, peintre de la mer et des intérieurs normands, illustrateur d'un Prêtre marié ou d'une Histoire sans nom, romans de Jules Barbey d'Aurevilly, il manie l'huile, la gouache, l'aquarelle avec autant de bonheur que le crayon et l'eau forte. Son ami Louis Beuve a dit de lui qu'il « peignait en patois ». Il est également ami avec le photographe Gustave Bazire.

En 1941, pour fuir les bombardements de Cherbourg, Lucien Goubert se réfugie à Rauville-la-Bigot où sa femme vient aider sa mère à la boulangerie familiale. Ils emménagent dans une maison face à la boutique, au lieu-dit La Régale. C'est là qu'il vit le reste de son existence, avec de fréquents séjours dans son atelier de Flamanville. Jusqu'à sa mort, il ne cessera de peindre et de dessiner.

Il est inhumé dans le cimetière de Rauville-la-Bigot.

Distinction

Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en 1938.

Hommages

Aujourd'hui, le collège de Flamanville, l'école publique de Rauville-la-Bigot et des rues à Bricquebec et à Cherbourg-en-Cotentin perpétuent sa mémoire.

En 1971, une plaque est posée sur sa maison natale à Flamanville.

Les Archives départementales de la Manche achètent le 23 novembre 2003 un fonds de 761 photographies de l'artiste à la salle des ventes de Bayeux (Calvados) [5].

À l'occasion du cinquantenaire de sa mort, plusieurs expositions sont organisées :

Ventes

Bibliographie

  • Pierre Leberruyer, Lucien Goubert dessinateur, éd. Manche-Tourisme, Saint-Lô, 1970.
  • Lucien Lepoittevin, « Lucien Goubert », Le Viquet n° 94, Noël 1991.
  • Goubert, promenade dans la Hague (recueil de dessins), éd. Livory-Quémerais, 1991.
  • Emmanuelle Lemesle [9], Sur les pas de Lucien Goubert peintre & photographe, Association 3Angles, Cherbourg-Octeville, 2014[10].
  • Jeannine Bavay, « Lucien Goubert, peintre de notre terroir : Bricquebec, les années de jeunesse », in La Voix du donjon n° 82, septembre 2014.
  • Jean-Pierre Le Goupillot et Jeannine Bavay, « Lucien Goubert à Rauville-la-Bigot », La Voix du donjon n° 83, décembre 2014.
  • Jeannine Bavay, « Lucien Goubert, peintre du terroir », Vikland, n° 14, 2015.

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 50, NMD Flamanville 1886 – 1893 (5 Mi 724) page 61/328 Acte de décès n° 40 (lire en ligne).
  2. Lui en Bllâodot et Capé de Brix, elle avec sa bounette. Lucien Ratti tenait sans doute à faire savoir que son grand magasin convenait aussi bien aux ruraux qu'aux gens de la ville, et qu'ils étaient tous réjouis d'y venir.
  3. Marguerite Cornavin, la propre épouse de Lucien Goubert, et Gustave Bazire, photographe et ami de l'artiste, ont servi de modèles pour les deux personnages.
  4. « 120 ans en Cotentin », La Presse de la Manche, hors-série, novembre 2009, p. 87.
  5. Fonds Lucien Goubert, Archives départementales de la Manche, affiches et photos (lire en ligne).
  6. « Un livre sur le peintre Lucien Goubert »], Ouest-France, 18 avril 2014 (lire en ligne).
  7. La Presse de la Manche, 12 août 2011.
  8. « À Cherbourg, un triptyque de Goubert vendu 15 000 € », Ouest-France, 9 avril 2024.
  9. Membre de la Société nationale académique de Cherbourg depuis le 7 octobre 2015.
  10. Un documentaire Sur les pas de Lucien Goubert, à l'initiative de l'association 3Angles, lui est consacré la même année.

Articles connexes

Liens externes