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Cerisy-la-Forêt

De Wikimanche

Cerisy-la-Forêt est une commune du département de la Manche.

  • Prononciation standard. — API : [səʁi'zi]; transcription francisée : se-ri-zi.
  • Prononciation courante. — API : [sʁi'zi]; transcription francisée : s'ri-zi.
  • Prononciation dialectale. — API : [ʃʁi'zi]; transcription francisée : ch'ri-zi.


Commune de Cerisy-la-Forêt Coordonnées géographiques de la mairie Logo-Mairie.png
49° 11' 37.27" N, 0° 56' 12.27" W (OSM)
Arrondissement Saint-Lô
Chargement de la carte...
Canton Pont-Hébert
Ancien canton Saint-Clair-sur-l'Elle
Intercommunalité CA Saint-Lo Agglo
Gentilé Cerisyais(es)
Population 1 025 hab. (2021)
Superficie 23,81 km²
Densité 43 hab./km2
Altitude 34 m (mini) - 131 m (maxi)
Code postal 50680
N° INSEE 50110
Maire Jean-Pierre Ledouit
Communes limitrophes de Cerisy-la-Forêt
Sainte-Marguerite-d'Elle (Calvados) Tournières (Calvados) Le Molay-Littry (Calvados)
Saint-Jean-de-Savigny Cerisy-la-Forêt Montfiquet (Calvados)
Couvains
Saint-Georges-d'Elle
Montfiquet (Calvados)
Bérigny
Montfiquet (Calvados)


Infrastructure et occupation des sols en 2018.


Toponymie

Attestations anciennes


  • Cerasiacus f-9e s. [1].
  • in loco qui dicitur Cerisiacus; locum […] qui dicitur Cirisiacus 1032 (copie 13e s.) [2].
  • abbatia Cerasii 1042 (copie 12e s.) [3].
  • Ceresiensis […] abba[s] 1169 [4].
  • monach[i] de Cereseio'' 1156/1173 [5].
  • Ceresie 1160/1174 [6].
  • Cereisi 1175 [7].
  • abba[s] de Cerisio 1180 [8].
  • abb[as] de Cerisiaco 1180 [9], abba[s] de Ceresiaco 1180 [10].
  • Sanct[us] Vigor de Cerisiaco 1180 [11].
  • abbas de Cerasio 1184 [12].
  • abba[s] de Cerasio 1195 [13].
  • abba[s] de Ceraseio 1195 [14].
  • abba[s] Cerasiensi[s] 1195 [15].
  • abb[ac]i[a] de Ceras[iaco] 1198 [16].
  • abba[s] de Ceriseio 1198 [17].
  • abbaci[a] de Cereseio 1203 [18].
  • abbaci[a] de Ceriseio 1203 [19].
  • apud Ceriseium 1210 [20].
  • Cerisi ~1210 [21].
  • abbas Ceraseii 1218 [22].
  • prior Cerasii ~1220 [23].
  • abba[s] et conventu[s] de Cerasii 1233 [24].
  • abbas de Cerasiaco 1233 [25].
  • abbas de Ceresiaco 1252 [26].
  • Jacobus de Cyreseio 1269 [27].
  • abbatia de Ceresi 1269/1270 [28].
  • monasteri[um] Cerasiens[e] 1276 [29], 1284 [30].
  • abba[s] et conventu[s] de Ceraseio 1288 [31].
  • l'abbé et le couvent de Cerisie 1288 [32].
  • abbas de Ceraseyo 1332 [33].
  • abbas de Ceraseio 1332 [34].
  • abba[s] de Cereseio 1332 [35].
  • abbas de Cherisiaco 1337 [36].
  • sergenteria de Ceraseio 1337 (?) [37].
  • abbatia de Ceraseyo ~1350 [38].
  • Cerisy ~1350 [39].
  • abbas de Cereseio 1351/1352 [40].
  • Cherisi 1356 [1].
  • Cerisi du Bois d'Elle 1362 [1].
  • Cherisy 1370 [1].
  • abbati[a] […] de Cerisy 1418 [41].
  • es sergenteries de […] Cherisy, […] 1434 [42].
  • Cherisy 1494 [43].
  • Serisy 1561 [44].
  • Cerisy 1635 [45], 1612/1636 [46], 1640 [47], 1661 [48], 1677 [49].
  • Cerisi 1689 [50].
  • Cerisy 1694 [51].
  • Cerisi ~1700 [52].
  • Cerisy bourg 1713 [53].
  • Cerisi 1716 [54].
  • Cerisy 1719 [55], 1720 [56].
  • Cerisy l'Abbaïe 1736 [57].
  • Bourg De Cerizy 1749 [58].
  • Cerisy 1758 [59], 1777 [60].
  • Cerisy l'Abbaye 1753/1785 [61].
  • Cerisy 1792 [62].
  • Cerisy la Forêt 1793 [1].
  • Cerisy la Forest 1793 [63].
  • Cerisy-la-Forêt 1801 [64].
  • Cérisy-l'Abbaye ou Cérisy-la-Forêt 1804 [65].
  • Cerisi-la-Forêt 1828 [66].
  • Cerisy-la-Forêt 1829 [67].
  • Cerisy-la Foret 1854 [68].
  • Cerisy-la-Forêt 1889 [69], 1903 [70], 1962 [71].
  • Cerisy la Forêt 1978, 1993 [72].
  • Cerisy-la-Forêt 2007 [73].


Étymologie

Toponyme gallo-romain formé avec le suffixe gallo-roman -(I)ACU ajouté à un autre élément, qui ne fait pas l'unanimité parmi les spécialistes. Ce type toponymique est attesté en Normandie et dans les régions voisines sous les formes Cerisé, Cerisi (Orne), Cerisy (Manche, Somme, Pas-de-Calais).

  • Auguste Longnon [74] y a vu le latin cerasus « cerisier », d'où implicitement (car la proto-forme entière n'est pas fournie) °CERASIACU « (le lieu) caractérisé par la présence de cerisiers », à moins que cet auteur n'ait vu ici un traitement particulier de °CERASĒTU « cerisaie », formé avec le suffixe collectif -ĒTU, et qui devrait normalement aboutir à °Cerisay, °Cerisé, etc.
  • Auguste Vincent [75], comme tous les spécialistes postérieurs, préfère voir dans le premier élément un anthroponyme : en l'occurrence, le nom de personne gallo-romain Carisius ou Charisius, soit °CARISIACU « (le domaine) de C(h)arisius ». Cette explication se heurte à une impossibilité phonétique : un étymon en °CA- aboutit nécessairement à [ʃ], ch- en français et [k], qu- dans les formes dialectales normandes. Or les attestations anciennes de Cerisy sont de type français [s], c(e)- et normand [ʃ], ch-, correspondant au produit de [k] latin devant [e] ou [i].
  • Albert Dauzat [76] corrige le tir en proposant, avec davantage de cohérence phonétique, les noms de personnes gallo-romains Ceretius ou °Cerisius, soit °CERETIACU ou °CERISIACU, « (le domaine) de Ceretius ou °Cerisius ».
  • Quatre ans plus tard, Adigard des Gautries et Lechanteur [77] hésitent encore entre Carisius (qui ne convient pas) et Ceretius (qui peut convenir).
  • Marie-Thérèse Morlet [78] opte pour le nom de personne °Cerisius déjà envisagé par Dauzat, d'où °CERISIACU qui convient parfaitement phonétiquement. La seule difficulté est que ce nom n'est pas attesté, et qu'il représente un dérivé hypothétique (mais plausible) de Cerius, lui-même généralement rattaché au latin cera « cire ».
  • François de Beaurepaire [1] a préféré un étymon °CERATIACU formé sur le nom de personne gallo-romain Ceratus (autre dérivé de cera « cire »), qu'il présente comme attesté chez Marie-Thérèse Morlet [79], mais nous l'y avons vainement cherché. Alternativement, il envisage une possible proto-forme °CESARIACU dérivée de Cesarius [80], soit « (le domaine) de Cesarius », qui a l'avantage, lui, d'être un nom courant et bien attesté. Dans cette hypothèse, la forme °CESARIACU aurait subi une métathèse aboutissant à °CERASIACU > Cerisy. Ces solutions alternatives sont reprises telles quelles par René Lepelley [81].
  • Ernest Nègre [82] reprend quant à lui l'hypothèse Ceretius de Dauzat, soit °CERETIACU « (le domaine) de Ceretius ».

Parmi toutes ces hypothèses, plusieurs d'entre elles sont plausibles, et rien ne permet de les départager : Ceretius, °Cerisius et Cesarius conviennent, à condition d'admettre, comme il a été dit, la dérivation Cerius → °Cerisius et la métathèse °CESARIACU > °CERASIACU. La forme Ceratus avancée par François de Beaurepaire paraît pour l'instant non documentée, mais pourrait également convenir. Enfin, l'explication d'Auguste Longnon, consistant à voir dans le premier élément de ce toponyme l'appellatif cerasus « cersisier », quoique moins probable, n'est pas à exclure absolument, contrairement à ce que semble penser de Beaurepaire. On sait en effet qu'un certain nombre de noms en -(I)ACU sont formés sur les appellatifs, en dépit des opinions d'Albert Dauzat et de sa disciple Marie-Thérèse Morlet, dont la préférence va systématiquement aux anthroponymes.

☞ Sous l'Ancien Régime, la paroisse a parfois porté le nom de Cerisy-l'Abbaye. Dans le cadre de la déchristianisation à l'époque de la Révolution Française, ce nom fut changé en Cerisy-la-Forêt en novembre 1793, en référence à la forêt voisine. Celle-ci, aujourd'hui appelée Forêt de Cerisy, se situe sur le territoire du Calvados, à l'exception d'une petite portion nommée le Bois l'Abbé à Cerisy, par référence à l'abbaye du lieu.

Le haut du bourg, au début du 20e siècle.

Géographie

Limitrophe du Calvados, Cerisy-la-Forêt est arrosée par l'Elle et l'Esque.

Elle est traversée par les routes départementales RD 8 et RD 34.

Histoire

En 1814, une colonne de la garde impériale russe pénétra dans la Manche par Cerisy-la-Forêt. Elle était forte de 9 000 hommes et d'un millier de chevaux.

Les 13 et 14 juin 1944, la difficile bataille de l'Elle permet la libération de Cerisy-la-Forêt.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[83]. En 2021, la commune comptait 1 025 habitants.

Évolution de la population depuis 1793  modifier
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
2 1512 1052 2672 0192 1642 1672 0552 1121 9951 910
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 8731 8581 7941 8221 7701 7001 6201 5321 5101 480
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 3571 1881 2161 1751 2391 2801 1891 1031 051923
1982 1990 1999 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
941784839900909934938937937936
2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 -
9519519791 0061 0341 0311 0361 0351 025-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes. Depuis 2006 : population municipale.
Sources : Cassini [84] et INSEE [85]


Administration

Circonscriptions administratives avant la Révolution

Circonscriptions administratives depuis la Révolution

Les maires

Liste des maires
Période Identité Parti Qualité Observations
1790-1791 .
1791-1792 .
1792-1793 .
1793-1794 .
.......-....... .
1797-1802 .
1802-1809 Jacques François Thomas Le Guélinel des Écaliers
1809-1816 Claude Le Creps-Dubosq
1816-1830 Pierre Le Forestier-de-Claids
1830-1834 Pierre Pennier
1834-1844 Alfred Gourdier Deshameaux
1844-1863 Georges Poret avocat - notaire décédé en exercice le 4 juillet 1863
1863-1864 Eugène de Saint-Julien-Muiron décédé en exercice le 1er mai 1864
1864-1874 Hervé Deshameaux
1875-1881 Pierre Malherbe officier de santé décédé en exercice le 28 novembre 1881
1882-1919 Charles Fouque
1919-1936 Frédéric Lecoq
1936-1945 Eugène Godin
1945-1945 Jean Massier
1945-1959 Marcel Aubin
1959-1971 Lucien Lemaire
1971-1995 Lucien Godin fils d'Eugène Godin
1995-2008 Jean Ledunois agriculteur
2008-2014 Jocelyne Le Trouit coiffeuse
2014-actuel Jean-Pierre Ledouit cadre commercial retraité
Sources : État civil de 1790 à 1892 - De 1892 à 1964 : 601 communes et lieux de vie de la Manche.
Toutes les données ne sont pas encore connues.


Mairie

Horaires d'ouverture
Jours Matin Après-midi Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici)
Lundi - -
La mairie (2013).
La mairie (2013).

Adresse : 2 place de la Poste
50810 Cerisy-la-Forêt

Tél. 02 33 56 10 01
Fax : 02 33 56 96 71
Courriel : Contacter la mairie
Site internet : Officiel
Commentaire :
Source : Annuaire Service-Public (28 mai 2012)

Mardi 9 h - 12 h -
Mercredi 9 h - 12 h 14 h - 16 h 30
Jeudi - -
Vendredi 9 h - 12 h -
Samedi 9 h - 12 h -


Religion

Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution

Patronage

  • Dédicace de l'église paroissiale : Saint-Laurent (église paroissiale primitive) ; l'église abbatiale est quant à elle dédiée à saint Vigor ; elle devient église paroissiale vers 1790.
  • Patron (présentation) : l'abbé de Cerisy (?).
  • Fête patronale : ?

Circonscriptions ecclésiastiques actuelles

Lieux et monuments

L'abbaye
Le château de La Boulaye.

Personnalités liées à la commune

Naissances

Décès

Autres

Éducation

  • École Le Carabe-Doré (primaire, publique)

Économie

  • Sorapel, construction de réseaux électriques

Culture

Sports

  • Football : AS Bérigny-Cerisy, en association avec la commune de Bérigny.

Bibliographie

Articles
  • Albert Desile, « L'abbaye de Cerisy-la-Forêt libérée de ses entraves », La Manche Libre, 30 juin 1957.
  • J.-L. Dufresne, « Les comportements amoureux d'après les registres de l'Officialité de Cerisy-la-Forêt (14e/15e s.)», Bulletin philologique et historique, 1973.

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 et 1,5 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 95.
  2. Marie Fauroux, Recueil des actes des ducs de Normandie (911-1066), Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XXXVI, Caen, 1961, p. 194, § 64.
  3. Ibid., p. 255, § 99.
  4. Léopold Delisle, Recueil des actes de Henri II, revu et publié par Élie Berger, Imprimerie Nationale, Paris, t. I, 1916, p. 436, § CCLXXXVII.
  5. Ibid., p. 483, § CCCXXXIX.
  6. Wace, Roman de Rou, édition de Frédéric Pluquet, Rouen, Frère ed., 1827, t. II, p. 17, v. 8728.
  7. Benoît de Sainte-Maure, Chronique des ducs de Normandie (~1175), édition de Francisque Michel, in Collection des documents inédits, Imprimerie Royale, Paris, vol. II, 1838, p. 511, v. 30052.
  8. Léchaudé D’Anisy, Grands Rôles des Échiquiers de Normandie, première partie, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XV, 2e série, 5e volume, Paris, 1845, p. 1a.
  9. Thomas Stapelton, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, Société des antiquaires de Londres, Londres, t. I, 1840, p. 5.
  10. Léchaudé D’Anisy, op. cit., p. 2b.
  11. Ibid., p. 24a.
  12. Léchaudé D’Anisy et Antoine Charma, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, pars secunda, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XVI, 2e série, 6e volume, Paris, 1852, p. 111b.
  13. Léchaudé D’Anisy, op. cit., p. 61a.
  14. Ibid., p. 69a.
  15. Ibid., p. 80b.
  16. Thomas Stapelton, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, Société des antiquaires de Londres, Londres, t. II, 1844, p. 293.
  17. Léchaudé D’Anisy et Antoine Charma, op. cit., p. 38a.
  18. Ibid., p. 82b.
  19. Ibid., p. 84b.
  20. Léchaudé D’Anisy, op. cit., p. 176a.
  21. Léopold Delisle, Le cartulaire normand de Philippe-Auguste, Louis VIII, saint Louis et Philippe le Hardi, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XVI (2e série, 6e vol.), Paris, 1852, p. 33a, § 211.
  22. Léopold Delisle, Recueil de jugements de l’Échiquier de Normandie au XIIIe siècle, Paris, 1864, p. 59, § 234.
  23. Léopold Delisle, Le cartulaire normand…, p. 305b, § 1124.
  24. Julie Fontanel, Le cartulaire du chapitre cathédral de Coutances, Archives départementales de la Manche, Saint-Lô, 2003, p. 404, § 268.
  25. Léopold Delisle, Recueil de jugements…, p. 121, § 512.
  26. Ibid., p. 180, § 793.
  27. Léopold Delisle, Le cartulaire normand…, p. 166b, § 742.
  28. Ibid., p. 176a, § 769.
  29. Ibid., p. 208a, § 878.
  30. Ibid., p. 267b, § 1033.
  31. Julie Fontanel, op. cit., p. 385, § 247.
  32. Ibid., p. 387, § 248.
  33. Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 292F.
  34. Ibid., p. 305B.
  35. Ibid., p. 314E.
  36. Pouillé du Diocèse de Rouen, 1337, in Auguste Longnon, op. cit., p. 1B.
  37. Léopold Delisle, Les actes normands de la Chambre des Comptes sous Philippe de Valois (1328-1350), Rouen, Le Brument, 1871, p. 162, § 73.
  38. Pouillé du Diocèse de Bayeux (Livre Pelut), ~1350, in Auguste Longnon, op. cit., p. 96C.
  39. Ibid., p. 132F.
  40. Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, op. cit., p. 376E.
  41. Léchaudé D’Anisy, Grands Rôles des Échiquiers de Normandie, première partie, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XV, 2e série, 5e volume, Paris, 1845, p. 256b.
  42. Siméon Luce, Chronique du Mont-Saint-Michel (1343-1468), Firmin-Didot, Paris, t. II, 1883, p. 38, § CLII.
  43. Comptes de la débite du diocèse de Bayeux pour 1494, in Auguste Longnon, op. cit., p. 139C.
  44. Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. II), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXII, Caen, 1895, p. 733.
  45. Normandia Ducatus (carte du duché de Normandie), Atlas Van der Hagen, 1635.
  46. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BNF, ms. fr. 4620].
  47. Rôle des fiefs du grand bailliage de Caen (vicomtés de Caen, Bayeux, Falaise et Vire) et de leur possesseurs dressé en 1640, Bulletin Héraldique de France, 1890-1892, p. 21a.
  48. N. Sanson et P. Mariette cartographes, R. Cordier graveur, Duche et Gouvernement de Normandie, Paris, 1661.
  49. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BNF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  50. G. Mariette de La Pagerie, cartographe, Unelli, seu Veneli. Diocese de Coutances, divisé en ses quatre archidiaconés, et vint-deux doiennés ruraux avec les Isles de Iersay, Grenesey, Cers, Herms, Aurigny etc., chez N. Langlois, Paris, 1689 [BNF, Collection d'Anville, cote 00261 I-IV].
  51. Jean-Baptiste Nolin, Le duche et gouvernement de Normandie Divisé en Haute et Basse Normandie, en Divers Pays, et par Evechez, Paris, 1694 [BNF, IFN-7710251].
  52. Gerard Valk, Normannia Ducatus, tum Superior ad Ortum, tum Inferior ad Occasum, Praefectura Generalis […] Anglici Caesarea sive Jarsey…, Amsterdam, ~1700.
  53. Dénombrement des généralités de 1713 [BNF, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  54. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  55. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  56. G. Mariette de la Pagerie, Carte topographique de la Normandie; feuille 3 : Fougères, Vire et Avranches, 1720 [BNF, fonds Cartes et Plans, cote Ge DD 2987 (1009, III) B].
  57. Bernard Jaillot, Carte topographique du diocèse de Bayeux, Paris, 1736 [BNF, Collection d’Anville, cote 00260 B].
  58. Atlas de Trudaine pour la généralité de Caen (1745/1780), Archives Nationales, fonds CP, F/14/*8469.
  59. G. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
  60. P. Santini, Gouvernement de Normandie avec celui du Maine et Perche, Remondini, Venise, 1777.
  61. Carte de Cassini.
  62. Les Auteurs de l’Atlas National de France, Atlas National Portatif de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1792.
  63. Site Cassini.
  64. Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris, 1801-1870.
  65. Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, libr. Laporte, vol. I (A-CNO), an XIII (1804), p. 584b.
  66. Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 416.
  67. Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement de Saint-Lô, p. 157.
  68. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  69. Carte de la Manche, in Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1889.
  70. Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
  71. Atlas de Normandie, Caen, 1962.
  72. Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
  73. Carte IGN au 1 : 25 000.
  74. Auguste Longnon, Les noms de lieux de la France, Paris, 1920-1929; rééd. Champion, Paris, 1979, p. 625, § 2949.
  75. Auguste Vincent, Toponymie de la France, Bruxelles, 1937, p. 74b, § 180.
  76. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 162a.
  77. Jean Adigard des Gautries & Fernand Lechanteur, « Les noms de communes de Normandie », in Annales de Normandie XVII (mars 1967), § 620.
  78. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985, p. 62a.
  79. La référence donnée est « Morlet II », c'est-à-dire Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. II (les noms latins ou transmis par le latin), 1972.
  80. Variante de Cæsarius, dérivé de Cæsar. Ce nom, attesté en tant que gentilice, fut porté par plusieurs saint Césaire, dont un célèbre évêque d'Arles.
  81. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen / Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1993, p. 89a.
  82. Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. I, 1990, p. 545, § 8845.
  83. Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
  84. Population avant le recensement de 1962
  85. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  86. Bernard Gourbin, Les Inconnus célèbres de Normandie, éd. Albin Michel, 1995, p. 190.

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