« René Hamel » : différence entre les versions
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Ce transport est resté tristement célèbre sous le nom de ''Train de la mort'' en raison du nombre élevé des décès survenus durant le voyage | Ce transport est resté tristement célèbre sous le nom de ''Train de la mort'' en raison du nombre élevé des décès survenus durant le voyage <ref> Christian Bernadac serait parvenu à identifier 536 morts durant le transport, chiffre repris par l'Amicale de Dachau. </ref><ref> Paul Berben avance, quant à lui, le chiffre de 984 morts. </ref>. | ||
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* [https://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?id=1974250 Fiche individuelle] sur ''Mémorial Gen Web'' | |||
* [http://www.bddm.org/liv/index_liv.php Fondation pour la mémoire de la déportation]. | * [http://www.bddm.org/liv/index_liv.php Fondation pour la mémoire de la déportation]. | ||
* Le Train de la mort, Christian Bernadac, Editions France-Empire, 1970. | * ''Le Train de la mort'', Christian Bernadac, Editions France-Empire, 1970. | ||
* Mémorial annuaire des Français de Dachau, Francis Della Monta, 1987, | * Mémorial annuaire des Français de Dachau, Francis Della Monta, 1987, pp. 249-250. | ||
* Les déportés du convoi du 2 juillet 1944 Compiègne-Dachau, | * Thibaut Letertre, ''Les déportés du convoi du 2 juillet 1944 Compiègne-Dachau, dit le « Train de la mort »'', mémoire de M1 sous la direction de Michel Boivin, Université de Caen, 2006. | ||
== Article connexe== | |||
* [[Hamel]] | |||
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[[Catégorie:Déporté de la Manche]] | [[Catégorie:Déporté de la Manche]] | ||
[[Catégorie:résistant de la Manche]] |
Dernière version du 19 juillet 2023 à 21:41
René Hamel, né à Grosville le 6 mars 1920 et mort entre le 2 et 5 juillet en 1944, est un déporté de la Manche, « Mort pour la France ».
Biographie
Il est réfractaire au STO et membre d'un réseau de résistance en Charente[1].
René Hamel part en déportation avec le convoi de 2 152 hommes qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 2 juillet 1944 à destination du camp de concentration de Dachau (Allemagne). À bord des wagons se trouvent également les Manchois : de Bréville, Lefebvre, Lelandais, Planque et Ronceray.
Ce transport est resté tristement célèbre sous le nom de Train de la mort en raison du nombre élevé des décès survenus durant le voyage [2][3].
Il décède pendant le transport.
Hommage
Son nom est mentionné sur le monument commémoratif 1939-1945 à Saint-Lô.
Notes et références
- ↑ René Gautier et 54 correspondants, 601 communes et lieux de vie de la Manche, 2014, p. 235.
- ↑ Christian Bernadac serait parvenu à identifier 536 morts durant le transport, chiffre repris par l'Amicale de Dachau.
- ↑ Paul Berben avance, quant à lui, le chiffre de 984 morts.
Sources
- Fiche individuelle sur Mémorial Gen Web
- Fondation pour la mémoire de la déportation.
- Le Train de la mort, Christian Bernadac, Editions France-Empire, 1970.
- Mémorial annuaire des Français de Dachau, Francis Della Monta, 1987, pp. 249-250.
- Thibaut Letertre, Les déportés du convoi du 2 juillet 1944 Compiègne-Dachau, dit le « Train de la mort », mémoire de M1 sous la direction de Michel Boivin, Université de Caen, 2006.