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La '''Place de la République''' est une place de [[Cherbourg-Octeville]].
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== Géographie ==
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La '''Place de la République''' est une place de [[Cherbourg-Octeville]].
Elle s'ouvre aujourd'hui sur la [[place Napoléon]]. Elle est au croisement des rues [[Rue de la Paix (Cherbourg-Octeville)|de la Paix]], Paul-Talluau, [[rue François-La Vieille|François-La Vieille]] et [[rue Tour-Carrée|Tour-Carrée]].


== Historique ==
== Historique ==
Ancienne « place d'Armes » , devenue ''place du Calvaire'' en [[1710]] puis « place de la Liberté » en [[1793]], elle reprend son nom initial avant d'être définitivement baptisée « place de la République » en [[1904]]<ref name="anecdotique">Raymond Lefèvre, ''Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers'', Cherbourg-Éclair, Cherbourg, 1941.</ref>.
 
Ancienne « place d'Armes » , devenue ''place du Calvaire'' en [[1710]] puis « place de la Liberté » en [[1793]], elle reprend son nom initial avant d'être définitivement baptisée « place de la République » en [[1904]]<ref name="anecdotique">Raymond Lefèvre, ''Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers'', Cherbourg-Éclair, Cherbourg, 1941.</ref>.


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Elle s'ouvre aujourd'hui sur la [[place Napoléon]]. Elle est au croisement des rues [[Rue de la Paix (Cherbourg-Octeville)|de la Paix]], Paul-Talluau, [[rue François-La Vieille|François-La Vieille]] et [[rue Tour-Carrée|Tour-Carrée]].


En son centre, deux monuments commémorent l'histoire cherbourgeoise : le [[mémorial des martyrs de la Résistance]], stèle en granit gris de Flamanville inaugurée en [[1958]], et l'[[obélisque du duc de Berry]], une fontaine surmontée d'un obélisque de granit rose, inauguré en [[1817]] <ref>''Centenaire de la bibliothèque municipale de Cherbourg'', Impr. Périgault, Cherbourg, 1932, p. 65. </ref>.
En son centre, deux monuments commémorent l'histoire cherbourgeoise : le [[mémorial des martyrs de la Résistance]], stèle en granit gris de Flamanville inaugurée en [[1958]], et l'[[obélisque du duc de Berry]], une fontaine surmontée d'un obélisque de granit rose, inauguré en [[1817]] <ref>''Centenaire de la bibliothèque municipale de Cherbourg'', Impr. Périgault, Cherbourg, 1932, p. 65. </ref>.


Octeville possédait également une place de la République. Après la fusion des deux communes, le conseil municipal du 23 juin [[2000]] la rebaptise place des Justes, pour rendre hommage aux personnes non juives pour leur action en faveur de juifs persécutés pendant la [[Seconde Guerre mondiale]] <ref>« [http://replay.web.archive.org/20080312203858/http://www.ville-cherbourg.fr/fr/tourisme_decouverte/fiche_didentite_de_la_vil/situation_administrative/cherbourg-octeville_ville/default.asp Cherbourg-Octeville, une ville fusionnée] », site de la ville de Cherbourg sur ''archive.org''.</ref>.
Octeville possédait également une place de la République. Après la fusion des deux communes, le conseil municipal du 23 juin [[2000]] la rebaptise place des Justes, pour rendre hommage aux personnes non juives pour leur action en faveur de juifs persécutés pendant la [[Seconde Guerre mondiale]] <ref>« [http://replay.web.archive.org/20080312203858/http://www.ville-cherbourg.fr/fr/tourisme_decouverte/fiche_didentite_de_la_vil/situation_administrative/cherbourg-octeville_ville/default.asp Cherbourg-Octeville, une ville fusionnée] », site de la ville de Cherbourg sur ''archive.org''.</ref>.


== Bâtiments remarquables ==
== Bâtiments remarquables ==
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[[Fichier:Cherbourg, Hotel Napoleon 2.JPG|thumb|upright|Hôtel Napoléon, n°14]]
* [[Hôtel de ville de Cherbourg|Hôtel de Ville]].
* [[Hôtel de ville de Cherbourg|Hôtel de Ville]].
* N° 14 : Hôtel Napoléon, ancien siège des Sœurs de Saint-Paul-de-Chartres <ref name=LPVR>''La Police cherbourgeoise vous renseigne'', Imprimerie commerciale cherbourgeoise, sd [1953]. </ref>, puis clinique, puis hôtel Modern-Style <ref name=Centorame>Bruno Centorame, « L'habitat ancien du centre urbain », ''À la découverte de Cherbourg'', 1991.</ref>, label XX{{e}}
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==Commerces==
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* N° 2 : restaurant La Cale et Co
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== Notes et références ==
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Version du 17 avril 2012 à 15:33

La Place de la République est une place de Cherbourg-Octeville.

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Géographie

Place de la République aujourd'hui.
Peinte fin 19e par Isidore Deroy.

Elle s'ouvre aujourd'hui sur la place Napoléon. Elle est au croisement des rues de la Paix, Paul-Talluau, François-La Vieille et Tour-Carrée.

Historique

Ancienne « place d'Armes » , devenue place du Calvaire en 1710 puis « place de la Liberté » en 1793, elle reprend son nom initial avant d'être définitivement baptisée « place de la République » en 1904[1].

Au début du XXe siècle.

En son centre, deux monuments commémorent l'histoire cherbourgeoise : le mémorial des martyrs de la Résistance, stèle en granit gris de Flamanville inaugurée en 1958, et l'obélisque du duc de Berry, une fontaine surmontée d'un obélisque de granit rose, inauguré en 1817 [2].

Octeville possédait également une place de la République. Après la fusion des deux communes, le conseil municipal du 23 juin 2000 la rebaptise place des Justes, pour rendre hommage aux personnes non juives pour leur action en faveur de juifs persécutés pendant la Seconde Guerre mondiale [3].

Bâtiments remarquables

Hôtel Napoléon, n°14
  • Hôtel de Ville.
  • N° 14 : Hôtel Napoléon, ancien siège des Sœurs de Saint-Paul-de-Chartres [4], puis clinique, puis hôtel Modern-Style [5], label XXe

Commerces

  • N° 2 : restaurant La Cale et Co
  • N° 4 : À la Frégate (café) [4]
  • Café de l'Eldorado
  • N° 10 : restaurant Taï Pan, anciennement la Taverne
  • N° 12 : restaurant Au bout du monde
  • N° 14 : hôtel Napoléon
  • Hôtel de l'Europe [4]

Notes et références

  1. Raymond Lefèvre, Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers, Cherbourg-Éclair, Cherbourg, 1941.
  2. Centenaire de la bibliothèque municipale de Cherbourg, Impr. Périgault, Cherbourg, 1932, p. 65.
  3. « Cherbourg-Octeville, une ville fusionnée », site de la ville de Cherbourg sur archive.org.
  4. 4,0 4,1 et 4,2 La Police cherbourgeoise vous renseigne, Imprimerie commerciale cherbourgeoise, sd [1953].
  5. 5,0 et 5,1 Bruno Centorame, « L'habitat ancien du centre urbain », À la découverte de Cherbourg, 1991.