Actions

« Louise Lefrançois » : différence entre les versions

De Wikimanche

m (màj)
(Notes et références)
Ligne 4 : Ligne 4 :


À son arrivée au camp de Ravensbrück, Louise Lefrançois se voit attribuer le matricule 27190 <ref> Ce matricule sera tatoué sur son avant-bras gauche. </ref>. Elle intègre le kommando Holleischen, situé dans les Sudètes. Les détenues y travaillent pour l'usine de munitions Skoda
À son arrivée au camp de Ravensbrück, Louise Lefrançois se voit attribuer le matricule 27190 <ref> Ce matricule sera tatoué sur son avant-bras gauche. </ref>. Elle intègre le kommando Holleischen, situé dans les Sudètes. Les détenues y travaillent pour l'usine de munitions Skoda


Louise Lefrançois recouvre la liberté d' Holleischen le [[5 mai]] [[1945]].
Louise Lefrançois recouvre la liberté d' Holleischen le [[5 mai]] [[1945]].


==Notes et références==
{{Notes et références}}
<References />


==Lien interne==
==Lien interne==

Version du 19 octobre 2019 à 20:40

Louise Lefrançois, née à Octeville le 27 juillet 1924 , est une déportée de la Manche.

Louise Lefrançois est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 31 janvier 1944 à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises Allix, Auvray, Becachel, Bertot, Billard, Briard, Chambertault, Chanteloup, Corbin, Courbaron, Crespin, Dezit, d'Orange/Lecoutey, Favre, Gelis, Gohel, Grall, Harivel, Martin, Sorel et Tirel

À son arrivée au camp de Ravensbrück, Louise Lefrançois se voit attribuer le matricule 27190 [1]. Elle intègre le kommando Holleischen, situé dans les Sudètes. Les détenues y travaillent pour l'usine de munitions Skoda

Louise Lefrançois recouvre la liberté d' Holleischen le 5 mai 1945.

Notes et références

  1.  Ce matricule sera tatoué sur son avant-bras gauche. 

Lien interne