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Dans un encart publicitaire de [[1903]], l'hôtel se décrit comme le plus important de la ville, avec salons, salle de bains, salle de fêtes de | Dans un encart publicitaire de [[1903]], l'hôtel se décrit comme le plus important de la ville, avec salons, salle de bains, salle de fêtes de deux cents couverts (pour repas de noce, banquets, etc.) et éclairage électrique <ref name=guidecherbourg> ''Nouveau guide illustré de [[Cherbourg]] et environs'', Cherbourg, Papeterie de la Marine, [[Maison Bissonnier (Papeterie de la Marine)|Bissonnier]], et Annonces & Placards Français, E. de Guyenro, [1903]. </ref>. Il dispose d'un [[Omnibus hippomobiles et fiacres à Cherbourg|service d'omnibus]] le reliant à la [[Gare ferroviaire de Cherbourg (1858)|gare]] <ref name=guidecherbourg/>. À cette date, le déjeuner servi à 11 h 30 coûte trois francs, le dîner servi à 19 h est facturé 3,50 F, tous deux avec vin et cidre <ref name=guidecherbourg/>. | ||
En [[1921]], ''Les Guides Bleus'' | Frédéric-Gaston Bernom exploite l'hôtel jusqu'à sa mort, survenue le [[4 avril]] [[1916]]. Le fonds de commerce est mis à l'encan quelques mois plus tard, l'adjudication ayant lieu le [[7 novembre]] <ref> ''L'Ouest-Éclair'', 23 octobre 1916. </ref>. | ||
En [[1921]], ''Les Guides Bleus'' classent l'établissement comme un hôtel « de premier ordre », l'un des deux seuls de cette catégorie à Cherbourg, avec l'[[Hôtel du Casino (Cherbourg)|Hôtel du Casino]], sur la plage <ref> « Normandie », ''Les Guides Bleus'', éd. Hachette, 1921, p. 345. </ref>. | |||
[[Rudolph Valentino à Cherbourg (1923)|Rudolph Valentino]] y passe une nuit en [[1923]]. | [[Rudolph Valentino à Cherbourg (1923)|Rudolph Valentino]] y passe une nuit en [[1923]]. | ||
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L'Hôtel de France et du Commerce est un ancien hôtel de Cherbourg.
Il est situé au n° 41, rue du Bassin.
Dans un encart publicitaire de 1903, l'hôtel se décrit comme le plus important de la ville, avec salons, salle de bains, salle de fêtes de deux cents couverts (pour repas de noce, banquets, etc.) et éclairage électrique [1]. Il dispose d'un service d'omnibus le reliant à la gare [1]. À cette date, le déjeuner servi à 11 h 30 coûte trois francs, le dîner servi à 19 h est facturé 3,50 F, tous deux avec vin et cidre [1].
Frédéric-Gaston Bernom exploite l'hôtel jusqu'à sa mort, survenue le 4 avril 1916. Le fonds de commerce est mis à l'encan quelques mois plus tard, l'adjudication ayant lieu le 7 novembre [2].
En 1921, Les Guides Bleus classent l'établissement comme un hôtel « de premier ordre », l'un des deux seuls de cette catégorie à Cherbourg, avec l'Hôtel du Casino, sur la plage [3].
Rudolph Valentino y passe une nuit en 1923.