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« Rue des Religieuses (Valognes) » : différence entre les versions

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La '''rue des Religieuses''' est une voie de [[Valognes]].
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Sur le [[:Fichier:Plan-Valognes-1767.JPEG|plan de Le Rouge]] datant de 1767, elle s'appelle aussi rue de la Sarde Aubert. En 1794, elle prend le nom de Marat<ref>SAHDM, « Les noms de rues de Valognes à dimension commémorative » (résumé de la conférence de Stéphane Lainé du 5 décembre 2012),  ''Bulletin d'information XXI, 2013</ref>.
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Le [[1er septembre|{{1er}} septembre]] [[1813]], au sortir d'un déjeuner à l'[[hôtel du Mesnildot de la Grille]], l'impératrice Marie-Louise, régente, s'y promène à pied « au milieu d'une foule immense, aux cris mille fois répétés de “ Vive l'Impératrice” » <ref>[[Jean-Louis Adam|J. L. Adam]], « Valognes », ''Cherbourg et le Cotentin'', Impr. Le Maout, Cherbourg, 1905, p. 596-597. </ref>.
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Fichier: Valognes-hotLouvre7.jpg|''Café du Louvre''
Fichier: Valognes-hotLouvre7.jpg|Café du Louvre.
Fichier: Valognes-hotGrandval2.jpg|''Hôtel de Granval''
Fichier: Valognes-hotGrandval2.jpg|Hôtel de Granval.
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Version du 1 janvier 2021 à 10:45

Vue ancienne.

La rue des Religieuses est une voie de Valognes.

Relativement épargnée par les destructions de la Seconde Guerre mondiale, cette rue possède de nombreux hôtels particuliers.

Situation

Elle franchit le Merderet au pont Sainte-Marie[1].

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Histoire

Sur le plan de Le Rouge datant de 1767, elle s'appelle aussi rue de la Sarde Aubert. En 1794, elle prend le nom de Marat[2].

Le 1er septembre 1813, au sortir d'un déjeuner à l'hôtel du Mesnildot de la Grille, l'impératrice Marie-Louise, régente, s'y promène à pied « au milieu d'une foule immense, aux cris mille fois répétés de “ Vive l'Impératrice” » [3].

Bâtiments remarquables

Grand hôtel du Louvre.

Commerces et autres activités

  • N° 8 : La Maison des Abeilles (vêtements) [8]
  • N° 10 : Banque populaire de l'Ouest [9]
  • N° 13 : Mme E. Leluan (pharmacie) [10]
  • N° 17 : Imprimerie Louis Luce [11] ; Cotentin Immobilier [12]
  • N° 70 : Maison familiale rurale dans l'hôtel d'Aboville
  • N° 80 : J.-M. Delacotte (peinture) [12].

Personnalités

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Cœur du Cotentin, Plan de Valognes et suggestions de promenades, 2017
  2. SAHDM, « Les noms de rues de Valognes à dimension commémorative » (résumé de la conférence de Stéphane Lainé du 5 décembre 2012), Bulletin d'information XXI, 2013
  3. J. L. Adam, « Valognes », Cherbourg et le Cotentin, Impr. Le Maout, Cherbourg, 1905, p. 596-597.
  4. Guide Michelin, 1900.
  5. closducotentin.over-blog.fr, « Hôtel Heurtevent », consulté le 18 février 2018 (lire en ligne).
  6. closducotentin.over-blog.fr, « Hôtel de Saint-Rémy », consulté le 18 février 2018 (lire en ligne).
  7. closducotentin.over-blog.fr, « Hôtel Martin de Bouillon », consulté le 18 février 2018 (lire en ligne).
  8. Cherbourg-Éclair, 18 octobre 1913.
  9. Portail des commerces de Basse-Normandie, site Internet, 2000 (lire en ligne).
  10. « Cherbourg Nord Cotentin », Guide d'informations touristiques et administratives, 1986.
  11. Journal de Valognes, 11 juin 1897.
  12. 12,0 et 12,1 Bulletin municipal-Valognes, 2007.

Lien interne