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« Rue Quesnel-Morinière (Coutances) » : différence entre les versions

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==Commerces et autres activités==
==Commerces et autres activités==
* N° 1 : Ets Périer, quincaillerie<ref>« Coutances. Quand la petite ville s'invite sur les murs de Paris », ''Ouest-France'', site internet, 13 mai 2021 [https://www.ouest-france.fr/normandie/coutances-50200/coutances-quand-la-petite-ville-s-invite-sur-les-murs-de-paris-aa27f4b2-b34a-11eb-936a-8b56d4eb2d1d ''(lire en ligne)'']</ref>
* N° 15 : école maternelle Quesnel-Morinière<ref>''Pages jaunes'', 2019</ref>
* N° 15 : école maternelle Quesnel-Morinière<ref>''Pages jaunes'', 2019</ref>



Version du 14 mai 2021 à 10:00

La rue Quesnel-Morinière est une voie de Coutances.

Histoire

Elle est ouverte sur les fossés de l'enceinte urbaine détruite en 1469[1].

Ancienne rue des Cohues (tribunaux), « avec ses nombreux hôtels particuliers » au XIXe siècle[2], la voie a pris le nom des Quesnel-Morinière, famille qui a légué à la ville son hôtel particulier et son jardin, aujourd'hui musée et jardin public.

Situation

Cette voie commence, au nord, au carrefour qu’elle forme avec les rues Quesnel-Canveaux et Georges-Clémenceau. Elle se termine, au sud, rue Éléonor-Daubrée.

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Lieux remarquables

Galerie photos

Commerces et autres activités

  • N° 1 : Ets Périer, quincaillerie[5]
  • N° 15 : école maternelle Quesnel-Morinière[6]

Notes et références

  1. F. Laty, P. Mouillard, Parcours de Coutances, éd. PAHC, Coutances, 2017
  2. Jean Quellien, « Coutances en 1836 », Annales de Normandie, 36e année n°3, 1986, p. 253-278. (lire en ligne).
  3. Jean-Louis Sion, Yann-Armel Huet, Coutances, carnet de vagabondage(s), ville de Coutances, 2006. (lire en ligne).
  4. Sylvette Lemagnen, Philippe Manneville, Chapitres et cathédrales en Normandie, Musée de Normandie, 1997.
  5. « Coutances. Quand la petite ville s'invite sur les murs de Paris », Ouest-France, site internet, 13 mai 2021 (lire en ligne)
  6. Pages jaunes, 2019

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