« Max Hévin » : différence entre les versions
De Wikimanche
Aucun résumé des modifications |
m (MeF) |
||
Ligne 7 : | Ligne 7 : | ||
Max Hévin est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz <ref> Construction d'une usine souterraine de roulements à billes pour la firme Steyr, Daimler et Puch.</ref>. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes. | Max Hévin est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz <ref> Construction d'une usine souterraine de roulements à billes pour la firme Steyr, Daimler et Puch.</ref>. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes. | ||
Le [[15 avril]] 1944, le kommando est évacué Mauthausen et Ebensee, lieu dans lequel Max Hévin recouvre la liberté le [[6 mai]] suivant. | Le [[15 avril]] 1944, le kommando est évacué sur Mauthausen et Ebensee, lieu dans lequel Max Hévin recouvre la liberté le [[6 mai]] suivant. | ||
==Note== | ==Note== | ||
Ligne 18 : | Ligne 18 : | ||
* [[Résistance dans la Manche]] | * [[Résistance dans la Manche]] | ||
{{DEFAULTSORT: | {{DEFAULTSORT:Hevin, Max}} | ||
[[Catégorie:Déporté de la Manche]] | [[Catégorie:Déporté de la Manche]] | ||
[[Catégorie:Naissance à Saint-Lô]] | [[Catégorie:Naissance à Saint-Lô]] |
Version du 22 octobre 2014 à 06:57
Max Hévin, né à Saint-Lô le 11 février 1908 et rentré du camp de concentration d'Ebensee (Autriche), est un déporté de la Manche.
Max Hévin quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 6 avril 1944 à destination de Mathausen (Autriche) à bord d'un convoi de 1 489 hommes. Dans ce train se trouvent les Manchois : Chuteaux, Lecarpentier, Paoli, Surin, Talleau
À son arrivée au camp, il se voit attribué le numéro matricule 62549[1].
Max Hévin est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz [2]. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes.
Le 15 avril 1944, le kommando est évacué sur Mauthausen et Ebensee, lieu dans lequel Max Hévin recouvre la liberté le 6 mai suivant.
Note
Sources
- Fondation pour la mémoire de la déportation.