« Madeleine Bécachel » : différence entre les versions
De Wikimanche
(Résistance ?) |
(Remplace DEFAULTSORT par CLEDETRI) |
||
| Ligne 11 : | Ligne 11 : | ||
* [http://www.bddm.org/liv/index_liv.php Fondation pour la mémoire de la déportation]. | * [http://www.bddm.org/liv/index_liv.php Fondation pour la mémoire de la déportation]. | ||
{{ | {{CLEDETRI:Becachel, Madeleine}} | ||
[[Catégorie:Biographie]] | [[Catégorie:Biographie]] | ||
[[Catégorie:Décès à 88 ans]] | [[Catégorie:Décès à 88 ans]] | ||
[[Catégorie:Déporté de la Manche]] | [[Catégorie:Déporté de la Manche]] | ||
Dernière version du 9 août 2022 à 11:54
Madeleine Berthe Hélène Lamarre épouse Bécachel, née à Réville le 22 octobre 1919 [1] et morte à Valognes le 30 juin 2008 [2], est une déportée de la Manche, rentrée d'un camp de concentration en Allemagne.
Madeleine Bécachel est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 31 janvier 1944 à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises Allix, Auvray, Bertot, Billard, Briard, Chambertault, Chanteloup, Corbin, Courbaron, Crespin, Dezit, d'Orange/Lecoutey, Favre, Gelis, Gohel, Grall, Harivel, Lefrançois, Martin, Sorel et Tirel
À son arrivée au camp de Ravenbrück, Madeleine Bécachel se voit attribuer le matricule 27049. Elle intègre le kommando Helmbrechts, situé en Bavière, qui travaille pour l'usine de tissus Josef Witt ; puis le kommando Holleischen, situé dans les Sudètes, les détenues y travaillent pour l'usine de munitions Skoda. Ces deux kommandos de femmes dépendent du camp de concentration de Flossenbürg.
Madeleine Bécachel recouvre la liberté le 5 mai 1945.