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'''Jean Pontas-Duméril''', Louis, François, né à [[Cherbourg]] le 1{{er}} mars [[1753]], mort en [[1826]], est un homme politique de la [[Manche]], médecin de profession.
'''Jean''' Louis François '''Pontas-Duméril''', né à [[Cherbourg]] le 1{{er}} mars [[1753]], mort en [[1826]], est un homme politique de la [[Manche]], médecin de profession.


Il est élu membre du [[Conseil général de la Manche]] en [[1792]], en tant qu'administrateur du district de [[Valognes]]. Il le préside de [[1820]] à [[1821]] et de [[1823]] à [[1825]] <ref name=Tout>« Tout sur la Manche », ''Revue du département de la Manche'', tome 29, n° 113-114-115, 1987. </ref>.
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* Alfred ([[1799]]-[[1871]]), magistrat, qui épouse en 1830 Augustine Louise Cautru des Costils ([[1811]]-[[1887]]),
Il est l'oncle de [[Jules Barbey d'Aurevilly]] ([[1808]]-[[1889]]) <ref name=Tout/> : sa femme, Désirée Angot, est la sœur d'Ernestine Angot, mère de l'écrivain.
* [[Édélestand Duméril]] ([[1801]]-[[1871]]),
* Ernestine (?-[[1832]].


==Notes et références==
==Notes et références==

Version du 20 octobre 2011 à 11:47

Jean Louis François Pontas-Duméril, né à Cherbourg le 1er mars 1753, mort en 1826, est un homme politique de la Manche, médecin de profession.

Il est le fils de Pontas dit Duméril, avocat à Cherbourg, issu de l'union vers 1725 de M. Pontas, armateur cherbourgeois, avec Louise Sophie Duméril, et d'une demoiselle Dubois. Les deux autres enfants du couple deviennent religieuse et juge au tribunal de Valognes[1].

Jean Pontas-Duméril est élu membre du Conseil général de la Manche en 1792, en tant qu'administrateur du district de Valognes. Il le préside de 1820 à 1821 et de 1823 à 1825 [2].

Il est désigné comme conseiller général de la Manche en 1817. Il reste en poste jusqu'à sa mort, en 1826 [2].

Il est président du district de Valognes en 1790 [2].

Il est maire Valognes à trois reprises, de 1789 à 1790, de 1808 à 1813 et en 1817 [2].

Il épouse Désirée Marie Louise Ango, sœur de la mère de Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889), qu'il l'hébergera à Valognes lors de ses études. De cette union naissent[1] :

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 [1]
  2. 2,0 2,1 2,2 et 2,3 « Tout sur la Manche », Revue du département de la Manche, tome 29, n° 113-114-115, 1987.