« Charles Cerisier » : différence entre les versions
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Il s'engage comme prêtre ouvrier en [[1975]], d'abord aux douanes du port de commerce de Cherbourg, puis comme agent technique sur le « Grand chantier » de l'[[Usine de retraitement de la Hague]], de [[1982]] à [[1997]] <ref name=couv/>. | Il s'engage comme prêtre ouvrier en [[1975]], d'abord aux douanes du port de commerce de Cherbourg, puis comme agent technique sur le « Grand chantier » de l'[[Usine de retraitement de la Hague]], de [[1982]] à [[1997]] <ref name=couv/>. | ||
Durant sa retraite, il se lie à un autre prêtre ouvrier, le poète [[Côtis-Capel]]. De cette amitié de 15 ans, il tire un livre, ''« J'ai gardé le cap »'', publié en [[2007]] chez [[Isoète]] <ref name=LML/>. | Durant sa retraite, il se lie à un autre prêtre ouvrier, le poète [[Côtis-Capel]]. De cette amitié de 15 ans, il tire un livre, ''« J'ai gardé le cap »'', publié en [[2007]] chez [[Isoète]] <ref name=LML/>. Les droits d'auteur afférents à la vente de cet ouvrage sont intégralement versés à la " Caisse des péris en mer " de Cherbourg-Octeville créée par [[Albert Lohier]] lors du naufrage du " Cachalot " est-il précisé page 291. | ||
== Notes et références == | == Notes et références == |
Version du 18 octobre 2019 à 13:02
Charles Cerisier, né à Saint-Lô en 1936 [1] ou à Champcerie (Orne)[2], mort à Cherbourg-Octeville le 22 juillet 2011, est une personnalité catholique et un écrivain de la Manche.
Ordonné prêtre le 9 mars 1963, il est vicaire de Beaumont-Hague durant deux ans puis devient aumônier des lycées publics de Granville et Cherbourg [2].
Il s'engage comme prêtre ouvrier en 1975, d'abord aux douanes du port de commerce de Cherbourg, puis comme agent technique sur le « Grand chantier » de l'Usine de retraitement de la Hague, de 1982 à 1997 [1].
Durant sa retraite, il se lie à un autre prêtre ouvrier, le poète Côtis-Capel. De cette amitié de 15 ans, il tire un livre, « J'ai gardé le cap », publié en 2007 chez Isoète [2]. Les droits d'auteur afférents à la vente de cet ouvrage sont intégralement versés à la " Caisse des péris en mer " de Cherbourg-Octeville créée par Albert Lohier lors du naufrage du " Cachalot " est-il précisé page 291.