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'''Bernard Tréhet''', né à [[Saint-Lô]] le 19 octobre [[1942]], est une personnalité politique de la [[Manche]], chef d'établissement,de profession.Agrégé
'''Bernard Tréhet''', né à [[Saint-Lô]] le 19 octobre [[1942]], est une personnalité politique de la [[Manche]].


Il est élu conseiller général (UDF) du [[canton de Brécey]] le 1{{er}} mars [[1998]]. Il a été réélu en 2004 puis aux Élections cantonales de 2011 dans la Manche avec 61,01% au premier tour, L'un des meilleurs résultats parmi les conseillers généraux sortants.
Agrégé et enseignant, puis chef d'établissement, Bernard Tréhet est élu conseiller général (UDF) du [[canton de Brécey]] le 1{{er}} mars [[1998]]. Il a été réélu sous l'étiquette UMP en [[Élections cantonales de 2004 dans la Manche|2004]] avec 68,45 % des voix exprimées au premier tour, puis aux en [[Élections cantonales de 2011 dans la Manche|2011]] avec 61,01 % des suffrages au premier tour.  


Il occupe successivement le poste de vice-président à la culture puis celui de vice-président à l'économie.Toujours responsable de l'économie au département, il devient également président du SMEL (Synergie Mer et Littoral)
Il occupe successivement le poste de vice-président à la culture puis celui de vice-président à l'économie. Toujours responsable de l'économie au département, il devient également président du [[SMEL]] (Synergie Mer et Littoral).


Il est maire de Brécey depuis 1989, et président de la Communauté de Communes de Brécey, dès sa création en 1993.
Il est maire de Brécey depuis [[1989]], et président de la [[Communauté de communes de Brécey]], dès sa création en [[1993]].


En 2001,il se présente aux Sénatoriales sur la liste de Jean-François LEGRAND et d'Anne HEINIS ; Seul Jean-François LEGRAND est élu.
La droite locale se présente divisée lors des [[élections sénatoriales de 2001 dans la Manche|sénatoriales de 2001]]. Bernard Tréhet se présente sur la liste RPR de [[Jean-François Le Grand]] et [[Anne Heinis]], alors que [[Jean Bizet]] est dissident gaulliste et que l'UDF est représentée [[Michel Thoury]]. La liste de Le Grand arrive en tête mais ne dispose que d'un élu.


En 2002, il se présente comme « divers droite » aux [[Élections législatives de 2002 dans la Manche|élections législatives]] dans la deuxième circonscription. Il est arrive en seconde position au premier tour, obtenant 13,06 % des suffrages contre 53,40 % au sortant [[René André]] (UMP), réélu.
En [[2002]], il se présente comme « divers droite » aux [[Élections législatives de 2002 dans la Manche|élections législatives]] dans la [[deuxième circonscription de la Manche (1958-2010)|deuxième circonscription de la Manche]]. Il est arrive en seconde position au premier tour, obtenant 13,06 % des suffrages contre 53,40 % au sortant [[René André]] (UMP), réélu.


Lors de l'Élection présidentielle de 2007 dans la Manche, il soutient Nicolas SARKOZY. En 2011, il est approché par le Nouveau Centre, pour les Sénatoriales mais il refuse de se présenter pour appuyer Philippe Bas qui arrive en première position au deuxième tour dans la Manche.
Soutien de [[Nicolas Sarkozy et la Manche|Nicolas Sarkozy]] lors la [[Élection présidentielle de 2007 dans la Manche|présidentielle de 2007]], il est approché par le Nouveau Centre en vue des [[Élections sénatoriales de 2011 dans la Manche|sénatoriales de 2011]], mais préfère appuyer [[Philippe Bas]]<ref name=LML>[http://lamanchelibre.fr/actualite-35499-legislativessud-manche-bernard-trehet-avec-jean-marc-julienne-.html Législatives/sud-Manche : Bernard Tréhet avec Jean-Marc Julienne], ''lamanchelibre.fr'', 14 mai 2012.</ref>.


Il soutient le programme de François Bayrou à l'élection présidentielle de 2012 dans la Manche.
Il soutient François Bayrou lors de la [[Élection présidentielle de 2012 dans la Manche|présidentielle de 2012]]<ref name=LML/> puis se présente aux [[Élections législatives de 2012 dans la Manche|législatives de 2012]] avec [[Jean-Marc Julienne]] comme suppléant, sans étiquette mais avec le soutien du Modem / Centre pour la France<ref name=LML/>. Il arrive en cinquième position au premier tour, avec 8,60 % des suffrages.
 
Puis se présente aux Élections législatives de 2012 dans la Manche avec Jean-Marc Julienne comme suppléant, sans étiquette mais avec le soutien du Centre Pour la France. Il obtient 8,60 % des suffrages.


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 2 juillet 2012 à 23:07

Bernard Tréhet, né à Saint-Lô le 19 octobre 1942, est une personnalité politique de la Manche.

Agrégé et enseignant, puis chef d'établissement, Bernard Tréhet est élu conseiller général (UDF) du canton de Brécey le 1er mars 1998. Il a été réélu sous l'étiquette UMP en 2004 avec 68,45 % des voix exprimées au premier tour, puis aux en 2011 avec 61,01 % des suffrages au premier tour.

Il occupe successivement le poste de vice-président à la culture puis celui de vice-président à l'économie. Toujours responsable de l'économie au département, il devient également président du SMEL (Synergie Mer et Littoral).

Il est maire de Brécey depuis 1989, et président de la Communauté de communes de Brécey, dès sa création en 1993.

La droite locale se présente divisée lors des sénatoriales de 2001. Bernard Tréhet se présente sur la liste RPR de Jean-François Le Grand et Anne Heinis, alors que Jean Bizet est dissident gaulliste et que l'UDF est représentée Michel Thoury. La liste de Le Grand arrive en tête mais ne dispose que d'un élu.

En 2002, il se présente comme « divers droite » aux élections législatives dans la deuxième circonscription de la Manche. Il est arrive en seconde position au premier tour, obtenant 13,06 % des suffrages contre 53,40 % au sortant René André (UMP), réélu.

Soutien de Nicolas Sarkozy lors la présidentielle de 2007, il est approché par le Nouveau Centre en vue des sénatoriales de 2011, mais préfère appuyer Philippe Bas[1].

Il soutient François Bayrou lors de la présidentielle de 2012[1] puis se présente aux législatives de 2012 avec Jean-Marc Julienne comme suppléant, sans étiquette mais avec le soutien du Modem / Centre pour la France[1]. Il arrive en cinquième position au premier tour, avec 8,60 % des suffrages.

Notes et références

Lien externe