« Alice Cherbonnel » : différence entre les versions
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'''Alice Cherbonnel''', connue sous le pseudonyme de ''Jean de La Brète'', née à Saumur (Maine-et-Loire) {{date naissance|13|12|1858}} et morte à Cizay-la-Madeleine (Maine-et-Loire) {{date décès|23|8|1945}}, est une personnalité littéraire de la [[Manche]]. | |||
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À l’instar de Georges Sand ou d’Alice Fleury qui écrivit sous le nom d’[[Henry Gréville]], Alice Cherbonnel prend un pseudonyme masculin Jean de la Brète, pour faire carrière dans le monde des | À l’instar de Georges Sand ou d’Alice Fleury, qui écrivit sous le nom d’[[Henry Gréville]], Alice Cherbonnel prend un pseudonyme masculin, Jean de la Brète, pour faire carrière dans le monde des lettres. | ||
Elle est née d’un père avranchinais, directeur du [[Télégraphe Chappe dans la Manche|télégraphe]]. | Elle est née d’un père avranchinais, directeur du [[Télégraphe Chappe dans la Manche|télégraphe]] <ref name=dico> René Gautier (dir.), ''Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche'', tome 3. </ref>. C’est à [[Avranches]] qu’elle passe toute son enfance et toute son adolescence <ref name=dico/>. Et c’est aussi dans l’ancienne cité épiscopale qu’elle fait ses études secondaires <ref name=dico/>. | ||
Installée à Paris, Alice Cherbonnel | Installée à Paris, Alice Cherbonnel commence à écrire à trente ans. Son premier roman est un coup de maître. Il s’agit de ''Mon oncle et mon curé'' ([[1889]]), qui est aussitôt couronné par l’[[Académie française]] et qui remporte un succès de librairie considérable. | ||
Certains de ses romans et de ses divers ouvrages suivants ont aussi des tirages importants. Citons ici ''Vieilles gens, vieux pays'', ''Le Roman d’une croyante'', ''Le Comte de Palène'', ''Un vaincu'' et ''L’Esprit souffle où il veut ''. | Certains de ses romans et de ses divers ouvrages suivants ont aussi des tirages importants. Citons ici ''Vieilles gens, vieux pays'', ''Le Roman d’une croyante'', ''Le Comte de Palène'', ''Un vaincu'' et ''L’Esprit souffle où il veut ''. | ||
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Alice Cherbonnel, connue sous le pseudonyme de Jean de La Brète, née à Saumur (Maine-et-Loire) le 13 décembre 1858 et morte à Cizay-la-Madeleine (Maine-et-Loire) le 23 août 1945, est une personnalité littéraire de la Manche.
Mon oncle et mon curé
À l’instar de Georges Sand ou d’Alice Fleury, qui écrivit sous le nom d’Henry Gréville, Alice Cherbonnel prend un pseudonyme masculin, Jean de la Brète, pour faire carrière dans le monde des lettres.
Elle est née d’un père avranchinais, directeur du télégraphe [1]. C’est à Avranches qu’elle passe toute son enfance et toute son adolescence [1]. Et c’est aussi dans l’ancienne cité épiscopale qu’elle fait ses études secondaires [1].
Installée à Paris, Alice Cherbonnel commence à écrire à trente ans. Son premier roman est un coup de maître. Il s’agit de Mon oncle et mon curé (1889), qui est aussitôt couronné par l’Académie française et qui remporte un succès de librairie considérable.
Certains de ses romans et de ses divers ouvrages suivants ont aussi des tirages importants. Citons ici Vieilles gens, vieux pays, Le Roman d’une croyante, Le Comte de Palène, Un vaincu et L’Esprit souffle où il veut .