« Albertine Chanteloup » : différence entre les versions
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Albertine Chanteloup est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[31 janvier]] [[1944]] à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises [[Marcelle Allix|Allix]], [[Madeleine Auvray|Auvray]], [[Madeleine Becachel|Becachel]], [[Marie Bertot|Bertot]], [[Georgette Billard|Billard]], [[Marie-Jeanne Briard|Briard]], [[Renée Chambertault|Chambertault]], [[Yvonne Corbin|Corbin]], [[Marie Courbaron|Courbaron]], [[Marie Crespin|Crespin]], [[Marie Dezit|Dezit]], [[Marie d'Orange/Lecoutey|d'Orange/Lecoutey]], [[Suzanne Favre|Favre]], [[Marguerite Gelis|Gelis]], [[Madeleine Gohel|Gohel]], [[Lucienne Grall|Grall]], [[Germaine Harivel|Harivel]], [[Louise Lefrançois|Lefrançois]], [[Berthe Martin|Martin]], [[Germaine Sorel|Sorel]] et [[Simone Tirel|Tirel]] | Albertine Chanteloup est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[31 janvier]] [[1944]] à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises [[Marcelle Allix|Allix]], [[Madeleine Auvray|Auvray]], [[Madeleine Becachel|Becachel]], [[Marie Bertot|Bertot]], [[Georgette Billard|Billard]], [[Marie-Jeanne Briard|Briard]], [[Renée Chambertault|Chambertault]], [[Yvonne Corbin|Corbin]], [[Marie Courbaron|Courbaron]], [[Marie Crespin|Crespin]], [[Marie Dezit|Dezit]], [[Marie d'Orange/Lecoutey|d'Orange/Lecoutey]], [[Suzanne Favre|Favre]], [[Marguerite Gelis|Gelis]], [[Madeleine Gohel|Gohel]], [[Lucienne Grall|Grall]], [[Germaine Harivel|Harivel]], [[Louise Lefrançois|Lefrançois]], [[Berthe Martin|Martin]], [[Germaine Sorel|Sorel]] et [[Simone Tirel|Tirel]] | ||
À son arrivée au camp de Ravenbrück, Albertine Chanteloup se voit attribuer le matricule 27092 | À son arrivée au camp de Ravenbrück, Albertine Chanteloup se voit attribuer le matricule 27092. Elle intègre le kommando Helmstedt-Beendorf. Les détenus travaillent à la construction d'usines souterraines dans d'anciens puits de mines. | ||
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== | ==Source== | ||
* [http://www.bddm.org/liv/index_liv.php Fondation pour la mémoire de la déportation]. | |||
== | ==Article connexe== | ||
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Dernière version du 8 août 2022 à 11:06
Albertine Chanteloup, née aux Pieux le 14 novembre 1923, rentrée d'un camp de concentration en Allemagne, est une déportée de la Manche.
Albertine Chanteloup est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 31 janvier 1944 à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises Allix, Auvray, Becachel, Bertot, Billard, Briard, Chambertault, Corbin, Courbaron, Crespin, Dezit, d'Orange/Lecoutey, Favre, Gelis, Gohel, Grall, Harivel, Lefrançois, Martin, Sorel et Tirel
À son arrivée au camp de Ravenbrück, Albertine Chanteloup se voit attribuer le matricule 27092. Elle intègre le kommando Helmstedt-Beendorf. Les détenus travaillent à la construction d'usines souterraines dans d'anciens puits de mines.
Albertine Chanteloup est libérée par la Croix-Rouge à Hambourg le 1er mai 1945.