« Rue Saint-Georges (Saint-Lô) » : différence entre les versions
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* N° 10 : [[École normale d'instituteurs de la Manche]] devenue IUFM, puis [[École supérieure du professorat et de l'éducation de Saint-Lô|ESPE]] | * N° 10 : [[École normale d'instituteurs de la Manche]] (et son [[Monument aux morts de l'école normale de Saint-Lô|monument aux morts]]) devenue IUFM, puis [[École supérieure du professorat et de l'éducation de Saint-Lô|ESPE]] | ||
==Commerces et autres activités== | |||
* N° 10 : [[Pavillon des énergies de la Manche|Pavillon des énergies]] <ref>« Le Pavillon des énergies emménage à Saint-Lô », ''Ouest-France'', 27 janvier 2022.</ref> | |||
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Version du 27 janvier 2022 à 11:34
La rue Saint-Georges est une voie de Saint-Lô.
Son nom est en hommage à saint Georges.
Histoire
La rue Saint-Georges formait aux XIVe et XVe siècles un faubourg populaire, industriel et bourgeois et emmenait vers Carentan. Les venelles qui en partaient aboutissaient aux Palis de Saint-Georges, au Mesnilcroc et à la Vire[1].
Épargnée par les combats de la libération de Saint-Lô en 1944 [2], elle est l'une des rares rues à avoir conservé sa physionomie antérieure à la Seconde Guerre mondiale [1].
Situation
Bordant le quartier de La Dollée, cette rue étroite et pentue commence au sud au carrefour qu'elle forme avec la rue Léon-Déries et la rue Porte-au-Four. Elle se termine au nord au carrefour qu'elle forme avec la rue de l'Église et la rue de la Cabale.
Elle reçoit la rue de la Demi-Lune et la rue Robert-Kennedy, la rue René-Gendrin et la rue du Chêne-Dancel.
Bâtiments remarquables
- N° 2 : maison natale de l'écrivain Octave Feuillet (1821-1890)
- N° 10 : École normale d'instituteurs de la Manche (et son monument aux morts) devenue IUFM, puis ESPE
Commerces et autres activités
- N° 10 : Pavillon des énergies [3]