Rue des Religieuses (Valognes)
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La rue des Religieuses est une voie de Valognes.
Relativement épargnée par les destructions de la Seconde Guerre mondiale, cette rue possède de nombreux hôtels particuliers.
Situation
Histoire
En 1794, elle prend le nom de Marat[1].
Le 1er septembre 1813, au sortir d'un déjeuner à l'hôtel du Mesnildot de la Grille, l'impératrice Marie-Louise, régente, s'y promène à pied « au milieu d'une foule immense, aux cris mille fois répétés de “ Vive l'Impératrice” » [2].
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Café du Louvre
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Hôtel de Granval
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Hôtel du Louvre
Bâtiments remarquables
- N° 18 : Hôtel du Mesnildot de la Grille
- N° 28 : Grand hôtel du Louvre
- N° 32 : Hôtel de Grandval-Caligny
- N° 35 : Hôtel Heurtevent ou Delisle détruit en 1944 reconstruit à l'identique[3]
- N° 38 : Hôtel de Saint-Rémy[4]
- N° 45 : Hôtel Martin de Bouillon ou de Couville[5]
Commerces et autres activités
- N° 10 : Banque populaire de l'Ouest [6]
- N° 17 : Cotentin Immobilier [7]
- N° 80 : J.-M. Delacotte (peinture) [7].
Personnalités
- L'historien Léopold Delisle (1826-1910) y est né.
Notes et références
- ↑ SAHDM, « Les noms de rues de Valognes à dimension commémorative » (résumé de la conférence de Stéphane Lainé du 5 décembre 2012), Bulletin d'information XXI, 2013
- ↑ J. L. Adam, « Valognes », Cherbourg et le Cotentin, Impr. Le Maout, Cherbourg, 1905, p. 596-597.
- ↑ closducotentin.over-blog.fr, « Hôtel Heurtevent », consulté le 18 février 2018 (lire en ligne)
- ↑ closducotentin.over-blog.fr, « Hôtel de Saint-Rémy », consulté le 18 février 2018 (lire en ligne)
- ↑ closducotentin.over-blog.fr, « Hôtel Martin de Bouillon », consulté le 18 février 2018 (lire en ligne)
- ↑ Portail des commerces de Basse-Normandie, site Internet, 2000 (lire en ligne).
- ↑ 7,0 et 7,1 Bulletin municipal-Valognes, 2007.