« Phare du Sénequet » : différence entre les versions
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Il est construit en [[1857]] sous forme d'une tourelle sans feu. | |||
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==Bibliographie== | |||
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* [[:Catégorie:Phare du Sénéquet (image)|Galerie d'images]] | |||
* [[Signalisation maritime dans la Manche]] | |||
==Lien externe== | ==Lien externe== | ||
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Dernière version du 20 novembre 2023 à 19:50
Le phare du Sénequet est situé au large de Gouville-sur-Mer, sur le rocher du même nom, à 5 km du rivage.
- Noter que, malgré l'accent aigu, la prononciation locale du nom est "snéké".
Histoire
Il est construit en 1857 sous forme d'une tourelle sans feu.
Suite au naufrage de l'aviso L'Antilope, le 14 décembre 1858, il est surélevé et équipé d'un feu pour devenir un phare qui entre en fonction le 20 février 1861.
À partir de ce moment, deux équipes de deux gardiens se relaient tous les 21 jours ; le changement d’équipe se fait en doris à la rame si le temps le permet [1]. Auguste Leforestier né à Gouville-sur-Mer en 1869, mort en 1938 à Blainville-sur-Mer est l’un d’eux [1]. Lorsqu'ils sont à terre, les gardiens vivent à Blainville-sur-Mer dans des petites maisons situées sur la dune, au nord du pont de Blainville [1].
Caractéristiques
Il est électrifié et automatisé en 1937 [1] et modifié en 1981.
Il est haut de 17 mètres au-dessus de la mer. Son diamètre est de 23,60 mètres.
Son optique a été détruite en 1942 et réparée en 1948.
Feu : lampe halogène 180 W Feu fixe à trois éclats toutes les 12 secondes, groupés normaux.
Situation
Bibliographie
- Guy de Saint-Denis, « Le Sénéquet et l'Antilope (rochers) », Revue du département de la Manche, n° 153, 1997
Notes et références
Liens internes
Lien externe
- Phare du Sénéquet, base Mérimée, médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine, ministère de la Culture.