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« Jean de Saint-Avit » : différence entre les versions

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==Bibliographie==
==Bibliographie==
* « Un patriote au temps de Jeanne-d’Arc  », ''[[L'Avranchin]]'', 29 mai 1909 [https://normannia.info/ark%3A/86186/8k6mm#?c=0&m=0&s=0&cv=0 ''(lire en ligne)''].
* « Un patriote au temps de Jeanne-d’Arc  », ''[[L'Avranchin]]'', 29 mai 1909.
* [[Jean Bindet]],  « Jean de Saint-Avit, évêque d'Avranches (1391-1442 », ''[[Revue de l'Avranchin]]'',  t. 55, 1978, p. 241-249.


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Dernière version du 27 mars 2024 à 20:06

Jean de Saint-Avit, né à Châteaudun (aujourd'hui Eure-et-Loir) vers 1348, mort à Rouen (aujourd'hui Seine-Maritime) le 22 juillet 1442, est une personnalité religieuse de la Manche.

Il est évêque d'Avranches à partir du 12 octobre 1391 [1].

À l'arrivée des Anglais dans l'Avranchin en 1418, il se rend à Rouen [1].

Jean de Saint-Avit, d'abord consulté par Pierre Cauchon dans le jugement de Jeanne d'Arc, est ensuite mis à l'écart. Ses propos nuancés sur l'hérésie de Jeanne apparaissent aux yeux de Cauchon et des Anglais comme un soutien à Charles VII. Il est assigné à résidence au château de Rouen jusqu'à sa mort [1].

Hommage

Bibliographie

Notes et références

  1. 1,0 1,1 et 1,2 David Nicolas-Méry, Avranches, capitale du Mont Saint-Michel, éd. Orep, 2011, p. 51.

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