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L''''Hôtel du Casino''' est un ancien hôtel de [[Cherbourg]].
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En [[1921]], ''Les Guides Bleus'' le classent comme un hôtel « de premier ordre », l'un des deux seuls de cette catégorie à Cherbourg, avec l'[[Hôtel de France et du Commerce (Cherbourg)|Hôtel de France]] <ref>« Normandie », ''Les Guides Bleus'', éd. Hachette, 1921, p. 345. </ref>.
En [[1921]], ''Les Guides Bleus'' le classent comme un hôtel « de premier ordre », l'un des deux seuls de cette catégorie à Cherbourg, avec l'[[Hôtel de France et du Commerce (Cherbourg)|Hôtel de France]] <ref>« Normandie », ''Les Guides Bleus'', éd. Hachette, 1921, p. 345. </ref>.
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En [[1927]], sa véranda, côté mer, est agrandie <ref>Cité de l'architecture et du patrimoine (ArchiWebture), ''Fonds Bétons armés Hennebique (BAH)'', consulté le 4 janvier 2018 ([https://archiwebture.citedelarchitecture.fr/fonds/FRAPN02_BAH07/inventaire/objet-32740 ''lire en ligne'']).</ref> par les [[Établissements Sottile (Cherbourg)|Établissements R. Sottile]].
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Comme le pavillon central et le pavillon est du casino, il est détruit en [[1943]] par les forces d'occupation allemandes.
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==Notes et références==
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==Lien interne==
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Dernière version du 29 novembre 2022 à 19:05

Vers 1910.

L'Hôtel du Casino est un ancien hôtel de Cherbourg.

Il est parfois nommé « Palace Hôtel » dans les années 1900, puis « Grand hôtel du Casino » dans les années 1930.

Il est situé dans le pavillon ouest du casino de Cherbourg, construit en 1863.

Il compte une centaine de chambres.

La qualité de l'établissement est telle qu'en 1903, à l'occasion du lancement du croiseur-cuirassé Jules Ferry, il héberge le ministre de la Marine, Camille Pelletan.

Les compagnies maritimes proposent ses chambres à leurs passagers émigrants de 1re classe [1].

En 1921, Les Guides Bleus le classent comme un hôtel « de premier ordre », l'un des deux seuls de cette catégorie à Cherbourg, avec l'Hôtel de France [2].

Rudolph Valentino y passe une nuit en 1923.

En 1927, sa véranda, côté mer, est agrandie [3] par les Établissements R. Sottile.

Comme le pavillon central et le pavillon est du casino, il est détruit en 1943 par les forces d'occupation allemandes.

Notes et références

  1. Frédéric Patard, Cherbourg, port du Titanic et des transatlantiques, La Presse de la Manche, hors-série, 2011, p. 201.
  2. « Normandie », Les Guides Bleus, éd. Hachette, 1921, p. 345.
  3. Cité de l'architecture et du patrimoine (ArchiWebture), Fonds Bétons armés Hennebique (BAH), consulté le 4 janvier 2018 (lire en ligne).

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