« André Caré » : différence entre les versions
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'''André Caré''', né à Vincennes (aujourd'hui Val-de-Marne) {{date naissance|27|2|1865}} <ref>Archives départementales du | '''André Caré''', né à Vincennes (aujourd'hui Val-de-Marne) {{date naissance|27|2|1865}} <ref>Archives départementales du Val-de-Marne, NMD Vincennes, an 1865 (1NUM/VINCENNES 84), page 13/77, acte de naissance n° 45 [http://archives.valdemarne.fr/ark:/71138/s005ba353e612769/5ba353e61ebda.ef=3&s=47 ''(lire en ligne)''].</ref> et {{date décès|15|11|1921|Cherbourg}}, est une personnalité médicale de la [[Manche]]. | ||
Il fait ses études au [[lycée de Cherbourg]] <ref name=LOE1>« Une victime des rayons X », ''L'Ouest-Éclair'', 18 novembre 1921. </ref>, puis suit les cours de l'école vétérinaire de Maisons-Alfort (Val-de-Marne). | Il fait ses études au [[lycée de Cherbourg]] <ref name=LOE1> « Une victime des rayons X », ''L'Ouest-Éclair'', 18 novembre 1921. </ref>, puis suit les cours de l'école vétérinaire de Maisons-Alfort (Val-de-Marne). | ||
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Il est directeur du bureau d'hygiène de Cherbourg <ref>[[Raymond Lefèvre]], ''Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers'', éd. Cherbourg-Éclair, 1941, rééditée en 1973 par La Dépêche. </ref>, qu'il équipe du matériel le plus moderne <ref name=LOE1/>. | Il est directeur du bureau d'hygiène de Cherbourg <ref>[[Raymond Lefèvre]], ''Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers'', éd. Cherbourg-Éclair, 1941, rééditée en 1973 par La Dépêche. </ref>, qu'il équipe du matériel le plus moderne <ref name=LOE1/>. | ||
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André Caré, né à Vincennes (aujourd'hui Val-de-Marne) le 27 février 1865 [1] et mort à Cherbourg le 15 novembre 1921, est une personnalité médicale de la Manche.
Il fait ses études au lycée de Cherbourg [2], puis suit les cours de l'école vétérinaire de Maisons-Alfort (Val-de-Marne).
Revenu à Cherbourg, il s'intéresse aux phénomènes électriques [2].
Il est directeur du bureau d'hygiène de Cherbourg [3], qu'il équipe du matériel le plus moderne [2].
En 1902, il adhère à la Société des sciences de Cherbourg [4].
Il termine ses études de médecine et s'intéresse aux rayons X. Il guérit nombre de blessés pendant la Première Guerre mondiale, mais il est victime lui-même de leur emploi répété [2]. Il en meurt après cinq années de cruelles souffrances [2].
Distinction
- Légion d'honneur : « Chevalier » () [5]
Hommage
- Une rue et une cité de Cherbourg-en-Cotentin portent son nom.
Notes et références
- ↑ Archives départementales du Val-de-Marne, NMD Vincennes, an 1865 (1NUM/VINCENNES 84), page 13/77, acte de naissance n° 45 (lire en ligne).
- ↑ 2,0 2,1 2,2 2,3 et 2,4 « Une victime des rayons X », L'Ouest-Éclair, 18 novembre 1921.
- ↑ Raymond Lefèvre, Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers, éd. Cherbourg-Éclair, 1941, rééditée en 1973 par La Dépêche.
- ↑ Guillaume Viel, Sociabilité et érudition locale : les sociétés savantes du département de la Manche, du milieu du XVIIIe siècle au début du XXe siècle, thèse de doctorat, Université de Caen, 18 décembre 2017.
- ↑ Archives nationales, base de données Léonore, dossier Légion d’honneur (19800035/456/61000) (consulter en ligne)