« Roger Levavasseur » : différence entre les versions
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Roger Levavasseur est déporté à bord du convoi de 935 prisonniers qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[28 octobre]] [[1943]] à destination de Buchenwald. [[Georges Boulet|Boulet]], [[Roger Bulot|Bulot]], [[Charles Delisle|Delisle]], [[Maurice Hopquin|Hopquin]], [[Raoul Lecostey|Lecostey]], [[Michel Villot|Villot]] se trouvent dans ce train. | Roger Levavasseur est déporté à bord du convoi de 935 prisonniers qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[28 octobre]] [[1943]] à destination de Buchenwald. [[Georges Boulet|Boulet]], [[Roger Bulot|Bulot]], [[Charles Delisle|Delisle]], [[Maurice Hopquin|Hopquin]], [[Raoul Lecostey|Lecostey]], [[Michel Villot|Villot]] se trouvent dans ce train. | ||
À son arrivée au camp de Buchenwald, il se voit attribué le numéro matricule 30525 <ref> Ce matricule sera tatoué sur son avant-bras gauche. </ref>. Il est ensuite transféré au camp de Dora à quelque 80 km de Buchenwald où il intègre le kommando Ellrich <ref>Du nom de la petite ville d'Ellrich (Allemagne).</ref>. Il y travaille au creusement de galeries souterraines et de tous les travaux de génie civil en surface. | À son arrivée au camp de Buchenwald, il se voit attribué le numéro matricule 30525 <ref> Ce matricule sera tatoué sur son avant-bras gauche. </ref>. Il est ensuite transféré au camp de Dora à quelque 80 km de Buchenwald où il intègre le kommando Ellrich <ref>Du nom de la petite ville d'Ellrich (Allemagne).</ref>. Il y travaille au creusement de galeries souterraines et de tous les travaux de génie civil en surface. | ||
Il y trouve la liberté le [[24 avril]] [[1945]]. | Il y trouve la liberté le [[24 avril]] [[1945]]. | ||
Version du 9 octobre 2014 à 09:34
Roger Levavasseur, né à Montpinchon le 25 novembre 1920 et rentré du camp de concentration de Sachenhausen (Allemagne), est un déporté de la Manche.
Roger Levavasseur est déporté à bord du convoi de 935 prisonniers qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 28 octobre 1943 à destination de Buchenwald. Boulet, Bulot, Delisle, Hopquin, Lecostey, Villot se trouvent dans ce train.
À son arrivée au camp de Buchenwald, il se voit attribué le numéro matricule 30525 [1]. Il est ensuite transféré au camp de Dora à quelque 80 km de Buchenwald où il intègre le kommando Ellrich [2]. Il y travaille au creusement de galeries souterraines et de tous les travaux de génie civil en surface.
Il y trouve la liberté le 24 avril 1945.
Note
Source
- Fondation pour la mémoire de la déportation.