« Nicolas Deslandes » : différence entre les versions
De Wikimanche
Aucun résumé des modifications |
(MeF) |
||
Ligne 2 : | Ligne 2 : | ||
==Un banquier impérial== | ==Un banquier impérial== | ||
Nicolas Deslandes fait fortune en fondant à [[Granville]], en [[1768]], une société de commerce et d’armement qui devait jouer un grand rôle durant la guerre d’Indépendance des États-Unis. Ses services lui valent l’anoblissement en [[1783]]. | Nicolas Deslandes fait fortune en fondant à [[Granville]], en [[1768]], une société de commerce et d’armement qui devait jouer un grand rôle durant la guerre d’Indépendance des États-Unis en pratiquant la guerre de course. Ses services lui valent l’anoblissement en [[1783]]<ref name = dico>''Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche'', tome 2, Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, ISBN 2914541147</ref>. | ||
Entre [[1786]] et [[1789]], il construit le [[Manoir Saint-Nicolas (Granville)|manoir Saint-Nicolas]] à [[Saint-Nicolas-près-Granville]]. | Entre [[1786]] et [[1789]], il construit le [[Manoir Saint-Nicolas (Granville)|manoir Saint-Nicolas]] à [[Saint-Nicolas-près-Granville]]<ref name = dico/>. | ||
La chance lui sourit encore sous l’Empire quand il devient le parrain et le banquier d’un fils naturel de Lucien Bonaparte. | La chance lui sourit encore sous l’Empire quand il devient le parrain et le banquier d’un fils naturel de Lucien Bonaparte<ref name = dico/>. | ||
{{Notes et références}} | |||
{{DEFAULTSORT:Deslandes, Nicolas}} | {{DEFAULTSORT:Deslandes, Nicolas}} |
Version du 27 janvier 2020 à 12:39
Nicolas Deslandes, né à Cérences en 1744 et mort en 1816, est une personnalité de la Manche.
Un banquier impérial
Nicolas Deslandes fait fortune en fondant à Granville, en 1768, une société de commerce et d’armement qui devait jouer un grand rôle durant la guerre d’Indépendance des États-Unis en pratiquant la guerre de course. Ses services lui valent l’anoblissement en 1783[1].
Entre 1786 et 1789, il construit le manoir Saint-Nicolas à Saint-Nicolas-près-Granville[1].
La chance lui sourit encore sous l’Empire quand il devient le parrain et le banquier d’un fils naturel de Lucien Bonaparte[1].