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== Des origines cotentinoises == | == Des origines cotentinoises == | ||
Marie Laurencin a des origines [[Cotentin|cotentinoises]]. Elle est la fille naturelle de Mélanie Laurencin ([[1861]]-[[1913]]), née à [[Vaudreville]] <ref>AD50, NMD Vaudreville, 1853-1862 (5 Mi 776), page 60/71, acte de naissance n° 5 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085774EbpOXW/16703f494e ''(lire en ligne)''].</ref>, montée à Paris en [[1879]]. Son grand-père, Joseph Laurencin ([[1832]]-), né à Bourg-en-Bresse (Ain), fut mécanicien à [[Cherbourg]] <ref>« Recherches en cours », ''[[Revue du département de la Manche]]'', t. 13, fasc. 52, octobre 1971. </ref> avant de s’établir comme forgeron à Vaudreville <ref name=Dico/>, où il se marie le [[8 janvier]] [[1858]] <ref>AD50, NMD Vaudreville, 1853-1862 (5 Mi 776), page 38/71, acte de mariage n° 3 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085774EbpOXW/fe0382f4b4 ''(lire en ligne)''].</ref> avec Marie Hamelin ([[1831]]-), née à Vaudreville <ref name=Dico/>. | Marie Laurencin a des origines [[Cotentin|cotentinoises]]. Elle est la fille naturelle de Mélanie Laurencin ([[1861]]-[[1913]]), née à [[Vaudreville]] <ref>AD50, NMD Vaudreville, 1853-1862 (5 Mi 776), page 60/71, acte de naissance n° 5 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085774EbpOXW/16703f494e ''(lire en ligne)''].</ref>, montée à Paris en [[1879]]. Son grand-père, Joseph Laurencin ([[1832]]-), né à Bourg-en-Bresse (Ain), fut mécanicien à [[Cherbourg]] <ref> « Recherches en cours », ''[[Revue du département de la Manche]]'', t. 13, fasc. 52, octobre 1971. </ref> avant de s’établir comme forgeron à Vaudreville <ref name=Dico/>, où il se marie le [[8 janvier]] [[1858]] <ref>AD50, NMD Vaudreville, 1853-1862 (5 Mi 776), page 38/71, acte de mariage n° 3 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085774EbpOXW/fe0382f4b4 ''(lire en ligne)''].</ref> avec Marie Hamelin ([[1831]]-), née à Vaudreville <ref name=Dico/>. | ||
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Version du 26 juillet 2023 à 16:48
Marie Laurencin, née à Paris le 31 octobre 1883 et morte dans la même commune le 8 juin 1956, est une personnalité artistique liée au département de la Manche.
Une artiste appréciée au Japon
Elle est surnommée « la muse des cubistes » et aussi « la Fauvette » [1]. Et elle partage la gloire d’un Guillaume Apollinaire dont elle est l’égérie et la « grande amie » [1]. Cette artiste semble parée de tous les talents : elle est graveur, poète, peintre et dessinatrice. Elle sait se faire apprécier au début du siècle dernier par ses compositions d’une stylisation élégante et d’une étonnante fraîcheur de coloris. Peu connue chez nous, elle obtient les faveurs des Japonais, chez lesquels elle expose souvent.
Des origines cotentinoises
Marie Laurencin a des origines cotentinoises. Elle est la fille naturelle de Mélanie Laurencin (1861-1913), née à Vaudreville [2], montée à Paris en 1879. Son grand-père, Joseph Laurencin (1832-), né à Bourg-en-Bresse (Ain), fut mécanicien à Cherbourg [3] avant de s’établir comme forgeron à Vaudreville [1], où il se marie le 8 janvier 1858 [4] avec Marie Hamelin (1831-), née à Vaudreville [1].
Elle est inhumée dans la division 88 du cimetière du Père Lachaise.
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 1,2 et 1,3 René Gautier (dir.), Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 3.
- ↑ AD50, NMD Vaudreville, 1853-1862 (5 Mi 776), page 60/71, acte de naissance n° 5 (lire en ligne).
- ↑ « Recherches en cours », Revue du département de la Manche, t. 13, fasc. 52, octobre 1971.
- ↑ AD50, NMD Vaudreville, 1853-1862 (5 Mi 776), page 38/71, acte de mariage n° 3 (lire en ligne).