« Joseph Couraye du Parc » : différence entre les versions
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'''Joseph''' Louis Léonor Gaud '''Couraye du Parc''', né à Vire (Calvados) {{date naissance|13|6|1856}}, mort à Paris {{date décès|27|12|1902}}, est une personnalité intellectuelle de la Manche. | '''Joseph''' Louis Léonor Gaud '''Couraye du Parc''', né à Vire (Calvados) {{date naissance|13|6|1856}}, mort à Paris {{date décès|27|12|1902}}, est une personnalité intellectuelle de la Manche. | ||
Fils du [[Léonor Charles Julien Couraye du Parc]], | == Biographie == | ||
Fils du [[Léonor Charles Julien Couraye du Parc]], Joseph fait ses études au lycée de Caen puis entame des études de droit. Il privilégie cependant l'École des chartes à Paris où il entre en novembre 1876. Attiré par la litterature épique, il soutient une thèse sur une chanson de geste, ''La mort Aymeri de Narbonne''. Diplômé en janvier 1880, il entre à la Bibliothèque nationale au sein du Département des imprimés. Il dirige l'édition du ''Catalogue général des livres imprimés de la BN''<ref name=bio>Guilhiermoz, « Joseph Couraye du Parc (1856-1902) », Bibliothèque de l'École des chartes, 1903.</ref>. | |||
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Version du 19 novembre 2018 à 01:13
Joseph Louis Léonor Gaud Couraye du Parc, né à Vire (Calvados) le 13 juin 1856, mort à Paris le 27 décembre 1902, est une personnalité intellectuelle de la Manche.
Biographie
Fils du Léonor Charles Julien Couraye du Parc, Joseph fait ses études au lycée de Caen puis entame des études de droit. Il privilégie cependant l'École des chartes à Paris où il entre en novembre 1876. Attiré par la litterature épique, il soutient une thèse sur une chanson de geste, La mort Aymeri de Narbonne. Diplômé en janvier 1880, il entre à la Bibliothèque nationale au sein du Département des imprimés. Il dirige l'édition du Catalogue général des livres imprimés de la BN[1].
Il publie sa thèse en 1884, ainsi qu'un recueil de Chants populaires de la Basse-Normandie qu'il a recueilli[1].
Il est membre de la Société d'archéologie d'Avranches qui publie dans ses mémoires deux communications. Il publie également dans le Bulletin de la Société des antiquaires de Normandie en 1898 et écrit les notices de trois monuments manchois (le Château de Gratot, l'Église Saint-Vigor de Champeaux et l'église Saint-Pierre de Blainville-sur-Mer) pour la Normandie illustrée et pittoresque[1].