« Gérard Paoli » : différence entre les versions
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Gérard Paoli quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[6 avril]] [[1944]] à destination de | Gérard Paoli quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[6 avril]] [[1944]] à destination de Mauthausen (Autriche) à bord d'un convoi de 1 489 hommes. Dans ce train se trouvent les Manchois : [[Marcel Chuteaux|Chuteaux]], [[Max Hévin|Hévin]], [[Étienne Lecarpentier|Lecarpentier]], [[Jean Surin|Surin]] et [[Paul Talleau|Talleau]] | ||
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 62906<ref> Ce matricule sera tatoué sur son avant-bras gauche. </ref>. Gérard Paoli est affecté au kommando de Melk qui travaille au projet Quartz <ref> Construction d'une usine souterraine de roulements à billes pour la firme Steyr, Daimler et Puch.</ref>. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes. | |||
Gérard Paoli disparaît avant son rapatriement. | Gérard Paoli disparaît avant son rapatriement. | ||
Version du 18 novembre 2014 à 20:27
Gérard Paoli, né à Granville le 20 juin 1923 et mort le 24 mai 1945 avant son rapatriement du camp de Melk (Autriche), est un déporté de la Manche.
Gérard Paoli quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 6 avril 1944 à destination de Mauthausen (Autriche) à bord d'un convoi de 1 489 hommes. Dans ce train se trouvent les Manchois : Chuteaux, Hévin, Lecarpentier, Surin et Talleau
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 62906[1]. Gérard Paoli est affecté au kommando de Melk qui travaille au projet Quartz [2]. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes.
Gérard Paoli disparaît avant son rapatriement.
Note
Sources
- Fondation pour la mémoire de la déportation.