« Château Bellenau (Saint-Côme-du-Mont) » : différence entre les versions
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Étudiant en médecine, Pierre- | Étudiant en médecine, [[Pierre Étienne Joseph-Lafosse]] ([[1828]]-[[1897]]) conçoit à partir de [[1850]] et pendant quarante ans, un jardin romantique avec des essences exotiques : palmiers, fougères, séquoia, conifères… | ||
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==Bibliographie== | |||
* [[Pierre Godefroy]], « Château du Bel Énault à Saint-Côme-du-Mont », ''Annuaire des cinq départements normands'', congrès de Valognes, 1967, pp. 39-40 | |||
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==Lien interne== | |||
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==Liens externes== | |||
* [https://jardinbellenau.com/about/ Site officiel du jardin] | |||
* [http://bellenau.vpweb.co.uk/ Site des hébergements] | |||
[[Catégorie:Parc ou jardin de la Manche|Saint-Come-du-Mont]] | |||
[[Catégorie: | [[Catégorie:Château de la Manche|Saint-Come-du-Mont]] | ||
[[Catégorie: | [[Catégorie:Saint-Côme-du-Mont|Chateau Bellenau]] | ||
[[Catégorie:Hébergement dans la Manche]] |
Version du 23 mars 2020 à 13:28
Le château Bellenau ou du Bel-Esnault est une demeure seigneuriale de la Manche, à Saint-Côme-du-Mont.
Le château
Le château appartient à la famille La Fosse entre 1717 et 1903.
Vendu aux Blanchet, ceux-ci dotent le logis d'un second étage en 1907.
Il abrite une laiterie puis des chambres d'hôtes.
Le jardin
Étudiant en médecine, Pierre Étienne Joseph-Lafosse (1828-1897) conçoit à partir de 1850 et pendant quarante ans, un jardin romantique avec des essences exotiques : palmiers, fougères, séquoia, conifères…
Pour l'alimenter, il détourne les eaux de la Douve et irrigue le terrain par un réseau de canaux et de lacs artificiels agrémentés d'îles.
Il construit des grottes et des folies, et aménage un jardin japonais dominé par une tour.
Le parc est transformé en pâturages puis restauré à partir de 1998 par son nouveau propriétaire, Stephen Aldridge.
Le jardin est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 19 mai 2010[1].
Bibliographie
- Pierre Godefroy, « Château du Bel Énault à Saint-Côme-du-Mont », Annuaire des cinq départements normands, congrès de Valognes, 1967, pp. 39-40
Notes et références
- ↑ « Notice n°PA50000072 », base Mérimée (architecture), médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine, ministère de la Culture.