« Canadian Pacific Steamship Company » : différence entre les versions
De Wikimanche
(illustration) |
(Typographie + Lien interne) |
||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
[[Fichier:CanadianPacific-aff.jpg|thumb|right|210px|]] | [[Fichier:CanadianPacific-aff.jpg|thumb|right|210px|]] | ||
La '''Canadian Pacific Steamship Company''', dénommée couramment ''Canadian Pacific'', est une compagnie de navigation maritime canadienne en lien avec la [[Manche]]. | La '''Canadian Pacific Steamship Company''', dénommée couramment ''Canadian Pacific'', est une compagnie de navigation maritime canadienne en lien avec la [[Manche]]. | ||
Elle fréquente le port de Cherbourg principalement entre la [[Première Guerre mondiale]] et la [[Seconde Guerre mondiale]]. | Elle fréquente le [[Port transatlantique de Cherbourg|port de Cherbourg]] principalement entre la [[Première Guerre mondiale]] et la [[Seconde Guerre mondiale]]. | ||
== Histoire == | |||
La Canadian Pacific est créée en [[1891]] comme filiale du Chemin de fer Canadien Pacifique (CFPC), en anglais ''Canadian Pacific Railway''. | La Canadian Pacific est créée en [[1891]] comme filiale du Chemin de fer Canadien Pacifique (CFPC), en anglais ''Canadian Pacific Railway''. | ||
| Ligne 10 : | Ligne 12 : | ||
[[Fichier:EmpressOfBritain3.jpg|thumb|left|210px|L'''Empress of Britain''.]] | [[Fichier:EmpressOfBritain3.jpg|thumb|left|210px|L'''Empress of Britain''.]] | ||
Après la [[Seconde Guerre mondiale]], quelques liaisons sont reprises par la Greek Line <ref>[[Frédéric Patard]], ''Cherbourg, port du Titanic et des transatlantiques'', La Presse de la Manche, 2011.</ref>. | Les premiers voyages réguliers ont lieu à partir de [[1919]] avec le paquebot ''Empress of France''. D'autres navires fréquentent la ligne par la suite, comme l' ''Empress of Australia'', l' ''Empress of Canada'', le ''Montclare'', le ''Montrose'', le ''Mooltan'', l' ''Empress of Britain'', l' ''Empress of Scotland'', le ''Melita'', le ''Minnedosa'', le ''Marglen'', le ''Duchess of Bedford'', le ''Duchess of York'', le ''Duchess of Richmond'' et le ''Viceroy of India''. | ||
Après la [[Seconde Guerre mondiale]], quelques liaisons sont reprises par la Greek Line <ref>[[Frédéric Patard]], ''Cherbourg, port du Titanic et des transatlantiques'', La Presse de la Manche, 2011.</ref>. | |||
Le représentant à Cherbourg de la compagnie est la société Cherbourg Maritime, 48, [[rue Alfred-Rossel (Cherbourg-Octeville)|rue Alfred-Rossel]]. | Le représentant à Cherbourg de la compagnie est la société Cherbourg Maritime, 48, [[rue Alfred-Rossel (Cherbourg-Octeville)|rue Alfred-Rossel]]. | ||
| Ligne 18 : | Ligne 21 : | ||
{{Notes et références}} | {{Notes et références}} | ||
==Lien interne== | == Lien interne == | ||
* [[:Catégorie:Canadian Pacific (image)|Galerie d'images]] | * [[:Catégorie:Canadian Pacific (image)|Galerie d'images]] | ||
Dernière version du 11 mars 2020 à 16:34
La Canadian Pacific Steamship Company, dénommée couramment Canadian Pacific, est une compagnie de navigation maritime canadienne en lien avec la Manche.
Elle fréquente le port de Cherbourg principalement entre la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale.
Histoire
La Canadian Pacific est créée en 1891 comme filiale du Chemin de fer Canadien Pacifique (CFPC), en anglais Canadian Pacific Railway.
Peu après la fin de la Première Guerre mondiale, elle crée une ligne maritime entre le Canada et l'Europe. Ses ports d'escale sont : Québec (Canada), Cherbourg, Southampton (Angleterre) et Anvers (Belgique) ou Hambourg (Allemagne).
Les premiers voyages réguliers ont lieu à partir de 1919 avec le paquebot Empress of France. D'autres navires fréquentent la ligne par la suite, comme l' Empress of Australia, l' Empress of Canada, le Montclare, le Montrose, le Mooltan, l' Empress of Britain, l' Empress of Scotland, le Melita, le Minnedosa, le Marglen, le Duchess of Bedford, le Duchess of York, le Duchess of Richmond et le Viceroy of India.
Après la Seconde Guerre mondiale, quelques liaisons sont reprises par la Greek Line [1].
Le représentant à Cherbourg de la compagnie est la société Cherbourg Maritime, 48, rue Alfred-Rossel.
Notes et références
- ↑ Frédéric Patard, Cherbourg, port du Titanic et des transatlantiques, La Presse de la Manche, 2011.