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'''Alain de Robien''', né à [[Cherbourg]] le [[1er juin|1{{er}} juin]] [[1896]] et mort au camp de concentration de Flossenbürg (Allemagne) le [[3 mars]] [[1945]], est un déporté de la [[Manche]].
'''Alain''' Paul '''de Robien''', né à [[Cherbourg]] le [[1er juin|1{{er}} juin]] [[1896]] et mort au camp de concentration de Flossenbürg (Allemagne) le [[3 mars]] [[1945]], est un déporté de la [[Manche]].


Alain de Robien naît au 22, [[rue Thiers (Cherbourg)|rue Thiers]] à Cherbourg. Son père Henry comte de Robien est lieutenant de vaisseau, sa mère est née Marie-Thérèse de Bizemont.
Il fait partie d'un convoi qui part de Compiègne-Royallieu (Oise) le [[17 janvier]] [[1944]] à destination de Buchenwald. Dans ce train se trouvent 1944 hommes. Dans ce train se trouvent également les Manchois : [[Roger Bireaud|Bireaud]], [[Raoul Leconte|Leconte]], [[André Mahoux|Mahoux]], [[Yvon Navet|Navet]] et [[François Touze|Touze]].
Il fait partie d'un convoi qui part de Compiègne-Royallieu (Oise) le [[17 janvier]] [[1944]] à destination de Buchenwald. Dans ce train se trouvent 1944 hommes. Dans ce train se trouvent également les Manchois : [[Roger Bireaud|Bireaud]], [[Raoul Leconte|Leconte]], [[André Mahoux|Mahoux]], [[Yvon Navet|Navet]] et [[François Touze|Touze]].



Version du 13 octobre 2014 à 09:13

Alain Paul de Robien, né à Cherbourg le 1er juin 1896 et mort au camp de concentration de Flossenbürg (Allemagne) le 3 mars 1945, est un déporté de la Manche.

Alain de Robien naît au 22, rue Thiers à Cherbourg. Son père Henry comte de Robien est lieutenant de vaisseau, sa mère est née Marie-Thérèse de Bizemont.

Il fait partie d'un convoi qui part de Compiègne-Royallieu (Oise) le 17 janvier 1944 à destination de Buchenwald. Dans ce train se trouvent 1944 hommes. Dans ce train se trouvent également les Manchois : Bireaud, Leconte, Mahoux, Navet et Touze.

À son arrivée au camp de concentration de Buchenwald, il se voit attribué le numéro matricule 40705[1].

Alain de Robien y trouve la mort le 3 mars 1945.

Note

  1.  Ce matricule sera tatoué sur son avant-bras gauche. 

Source

  • Fondation pour la mémoire de la déportation.

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