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==Biographie==
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Auguste Leturc embrasse la profession de médecin et s'établit à [[Saint-Lô]]. Il jouit d'une « excellente réputation » <ref name=OF1>« 14 maires et 126 ans d'élections municipales », ''Ouest-France'', 29 mars 2014. </ref>. Il est apprécié pour son désintéressement, notamment au service des plus pauvres <ref name=OF1/>.  
Auguste Leturc embrasse la profession de médecin et s'établit à [[Saint-Lô]] au début des années 1880, où il succède à M. Houssin-Dumanoir. Il jouit d'une « excellente réputation » <ref name=OF1> « 14 maires et 126 ans d'élections municipales », ''Ouest-France'', 29 mars 2014. </ref>. Il est apprécié pour son désintéressement, notamment au service des plus pauvres <ref name=OF1/>. Il intègre le conseil municipal de Saint-Lô en [[1892]] et est élu conseiller d'arrondissement en [[1897]]. Il conserve cette dernière fonction jusqu'en [[1919]] <ref> ''Journal de la Manche et de la Basse-Normandie'', 12 avril 1924. </ref>.


Il est maire de Saint-Lô entre [[1915]] et [[1919]].  
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Par testament, il lègue ses biens aux communes de Saint-Lô, Canisy, [[Saint-Ébremond-de-Bonfossé]] et [[Le Hommet-d'Arthenay]].
Par testament, il lègue ses biens aux communes de Saint-Lô, Canisy, [[Saint-Ébremond-de-Bonfossé]] et [[Le Hommet-d'Arthenay]].
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==Article connexe==
==Article connexe==
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Version du 12 novembre 2023 à 15:48

Auguste Henri Leturc, né à Tonneville le 21 novembre 1852 [1] et mort à Saint-Lô le 10 avril 1924 [2], est un homme politique de la Manche, médecin de profession.

Biographie

Son père est juge de paix à Beaumont-Hague [1] et à Canisy. Son frère aîné, Ernest, est magistrat conseiller à la cour de cassation.

Auguste Leturc embrasse la profession de médecin et s'établit à Saint-Lô au début des années 1880, où il succède à M. Houssin-Dumanoir. Il jouit d'une « excellente réputation » [3]. Il est apprécié pour son désintéressement, notamment au service des plus pauvres [3]. Il intègre le conseil municipal de Saint-Lô en 1892 et est élu conseiller d'arrondissement en 1897. Il conserve cette dernière fonction jusqu'en 1919 [4].

Il se présente aux élections législatives de 1914 contre Gustave Rauline mais est battu par ce dernier. Il est maire de Saint-Lô entre 1916 et 1919.

Par testament, il lègue ses biens aux communes de Saint-Lô, Canisy, Saint-Ébremond-de-Bonfossé et Le Hommet-d'Arthenay.

Sa tombe se trouve au cimetière de Canisy.

Distinction

  • Chevalier de la Légion d’honneur [5]

Hommages

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 - Acte de naissance n° 13.
  2. « Nécrologie », Journal de la Manche et de la Basse-Normandie, 12 avril 1924 (lire en ligne)
  3. 3,0 et 3,1 « 14 maires et 126 ans d'élections municipales », Ouest-France, 29 mars 2014.
  4. Journal de la Manche et de la Basse-Normandie, 12 avril 1924.
  5. Base LEONORE, dossier LH/1623/9, 1922 (lire en ligne)

Article connexe