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Expressions et proverbes manchois

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Expressions et proverbes

  • (se mettre à) bodecu, bondechu, bonde-cul, bont'chu, bont'cu, lever le derrière en l'arrondissant comme une bonde (arrondissement de Valognes) [1][2][3].
  • aboulez-ci-gau, apportez ici vite (arrondissement de Valognes) [1].
  • à la boulevue, approximativement, au pif [4][5]. Ne semble pas régional [6], même si cité par Fleury [4] et Métivier [7].
  • à catons, à quatre pattes [8], comme les catons ou chats [9].
  • à la picoràěe !, à la pilláou !, à qui pourra l'attraper ! [4].
  • à la Saint-Denis, les vicos (bécasses) sont à Brix [1].
  • à l'entou d'vous, près de vous [10].
  • aller à chapin, marcher sans faire de bruit, avec des souliers de peau de chèvre, et par suite pieds nus (arr. de Valognes) [1].
  • aller à la pêche aux moules (Cosqueville ?) ou feu de plancher (Bretteville, Cherbourg) : avoir un pantalon trop court. Attestation orale : 1970, Tourlaville pour avoir le feu au plancher.
  • amoureuse coumme eunne catte raîlaie[11].
  • arrive qui plante !, advienne que pourra ! [12].
  • attraper un bec gelé, prendre froid [13].
  • à ventrillons, couché sur le ventre (arr. de Cherbourg) [8][1][15].
  • avoir chaud aux oreilles (Sud-Manche), être gai après avoir bu [16].
  • avoir la crête rouge, (Sud-Manche) même sens [16].
  • avoir (avé) le ga, gagner le prix, la victoire (lisez le gal, c'est-à-dire le coq, prix aux combats de coqs) [9].
  • avoir le cœur brûlé ou le brulin de cueu (ou quieu), avoir une sensation de chaleur pénible dans l'estomac [4][9][14].
  • avoir le nez qui pure comme la pouquie d'un huîtrier [16].
  • avoir l'esprit haussé, maniaque, bizarre, exalté, sur la pente de la folie [17].
  • avoir le tat (ou tas) : avoir des courbatures. Désigne aussi une maladie du cochon (Gonneville) [18].
  • avoir son pompon, commencer à être vraiment éméché (Sud-Manche) [16].
  • bat' la fâo, frapper la lame de la faux avec un marteau sur une petite enclume [16].
  • (se rencontrer) bec à vis, face à face, nez à nez [12].
  • bien de la peine pour guère de laine, comme disait le sien qui tousait son cochon (se dit à propos des personnes qui entreprennent par sottise un travail qui ne peut aboutir à rien [16].
  • bi taté, durement éprouvé par une maladie.
  • bondla d'bondla : un peu comme "bon Dieu ", expression pouvant certainement être utilisée dans des situations différentes, parce qu'on peine à faire qqch par ex. Attestation orale : 2021 Bretteville [19].
  • brebis qui bêle, perd sa goulaie, façon de rappeler à quelqu'un qu'il parle trop [11].
  • bwan à met'bâ, foin bon à mettre bas, à être fauché [16].
  • cha réd bi coume ch'est d'na ou rëd bi com chad'na : c'est très bien comme ça. Attestation orale : 1970 Tourlaville [19].
  • clos à Jacques, cimetière (Equeurdreville).
  • c'est'y qu'tu prêches ou qu't'a l'menton qui t'grelotte ? (qui trelotte ?), (est-ce que tu parles ou est-ce que ton menton tremble ?). Tu n'as rien d'intéressant à dire ? Attestation orale : 1976 Tourlaville [19].
  • ch-ê du chwên, c'est du foin de très bonne qualité [16]. Voir choine.
  • ch-ê du fwôraje d'malâ, c'est du fourrage de mauvais août [16].
  • ch'est eun feignant qu'est tréjous à couer ses bouses, il est toujours assis au même endroit [11].
  • ch'est-i ?, est-ce ? [14].
  • ch'est la vermaine qui mouéju l'tás, pour adresser un reproche aux familles trop nombreuses [11].
  • ch'est l'trépyi qu'appelle la pêle nèr tchu, c'est l'hôpital qui se moque de la charité [16].
  • comme un coq dans un bingot, comme un poulet dans un bingot, comme un poussin dans un bingot, comme un coq en pâte [16].
  • crotchi comme un vêpe dans un nunu, plié comme une guêpe dans une fleur de digitale.
  • dékyèrke d-plyeur, pleuvoir à verse [16].
  • des abî(n)mes, excessivement [20].
  • des flo, même sens [20].
  • deux tisons fount miyeu feu qu'eun, s'emploie pour préconiser le mariage [11].
  • d'mandent à lus dix dans lû goulaie d'pain [????] [21].
  • embarrassé comme une bourre empaturée [16].
  • émotchi la merde, chercher querelle, provoquer [19].
  • en avoir sa charge, ne plus tenir debout du fait de la boisson (Sud-Manche) [16].
  • en avoir une bonne volée, même sens (Sud-Manche) [16].
  • en avoir une petite volée, être véritablement ivre (Sud-Manche) [16].
  • en p'lant d'z'œufs
    en pelant des œufs (faire quelque chose en épluchant des œufs) faire quelque chose en cachette ou discrètement. Attestation orale : 1970 Tourlaville [19].
  • en voulious encouo ?, en voulez-vous encore [22] ?
  • être à je n'sais, dans l'hésitation, dans l'embarras [17].
  • être bien parti, être véritablement ivre (Sud-Manche) [16].
  • être coueffi coumme eun gai qui loche des ch'rises : être coiffé comme un geai qui revient des cerises. Attestation orale : pour l'expression en français 2020 Nord-Cotentin [19].
  • être de, maculé, souillé, imprégné : de boue, de cambouis, d'eau-de-vie, de vin [17].
  • être de défaçon, se dit d'une chose facile à vendre (arr. de Valognes) [1].
  • être démoli, être ivre-mort (Sud-Manche) [16].
  • être eleue, avoir avorté [14].
  • être fourre d'oué, être en sucre. « No n'est pé foure d'ouaie », on ne va pas se dissoudre.
  • être hardi, bien portant [17].
  • être de l'avant, être en avance (mots français mais cette expression ne semble pas être référencée sur internet). Attestation écrite : 1916 Gonneville : « Comme ils étaient de l'avant, il a été botteler à la Gaiserie l'après-midi. » [23] ; « Nous ne sommes pas de l'avant pour le travail » [24][18]. Attestation orale : 2020 Cherbourg. « T'es pas d'lavant ! » [19].
  • être pinté, être ivre-mort (Sud-Manche) [16].
  • être sâa, être ivre [17]. être brûlé sâa, encore plus ivre.
  • eun tchu sans mains, un fainéant [11].
  • eun vrai bàoquet à guichon qu'no n'sait pé par qui bout prenre, se dit d'une ménagère irascible [11].
  • faire le hu, avoir ou faire mauvaise mine (arr. de Valognes) [1].
  • faire main, embrasser, caresser (Avranchin) [12].
  • faire pisser un ca par la patte [19], se dit à propos de quelque chose d'infect (nourriture notamment).
  • fi de tâopin !, fi d'toto, prétendument fils de pute (douteux) [25], fils de chasseur de taupe (douteux). Attestation orale : 1970 (Cherbourg, Tourlaville) [19]. fi d'garce dans la même veine.
  • froumo l-klyoo, abandonner le labour et livrer le terrain à l'herbe [16].
  • goûtu comme des mollets d'bochu
    (ironique et surréaliste, littéralement : bon à manger comme les mollets d'un bossu, ou éventuellement les mollets d'un rouge-gorge) se dit de quelque chose qui est bon à manger. Attestation orale : 1970 (Tourlaville) [19].
  • hi-dia, ordre donné au cheval pour aller à droite; hi-hue, pour aller à gauche [26]. En règle générale, dia désigne pourtant la gauche et hue la droite (Bretteville par ex.).
  • i fait comme l'syin qu'écopissait au tchu d'sa vaque por la guéri d'la décorse. Si cha n'li fait pas d'byin, cha n'li fait pas d'ma n'tout (un remède ou une pratique quelconque, s'ils ne font pas de bien, ne font pas de mal non plus) [16].
  • il est coum le cochon : y n'f'ra du biein qu'après sa mort [11].
  • il fàot li dire tout; jusqu'au burre muchi, il/elle est curieux/curieuse [11].
  • il s'rait mus en terre qu'en meubl'le ou à mouéji du pissenlit par la rachaîne [11].
  • jeter à la gaspille, jeter des dragées ou des sous à une troupe d'enfants qui se battent pour les ramsser (arr. de Valognes) [1].
  • J'sais pas ben c'que j'ai à c'matin, j'm'sens tout évêque d'Avranches ! (Cotentin ?). On a avancé l'hypothèse qu'il aurait existé un évêque d'Avranches nommé Malfootu [27]. Mais ce n'est pas le cas et Oscar Havard explique, en se basant sur les notes de Tesnière de Brémesnil, que l'expression est liée à Mgr Froulay de Tessé, évêque d'Avranches sous Louis XIV. Une de ses nièces avait entendu l'expression « je me trouve aujourd'hui tout J.F. » [28] employée par un ouvrier. Elle en demanda le sens et ce dernier lui répondit : « Mademoiselle, cela veut dire que je suis mal à l'aise, et que je me trouve aujourd'hui tout malade ». La petite fille reprit cette formule, qu'elle trouvait applicable à son oncle. Ce dernier, riant de l'ingénuité de l'enfant, partagea l'anecdote à sa famille et à la cour, si bien qu'« être tout J.F. » devint synonyme d'« être tout évêque d'Avranches » [29].
  • laiterie ouverte rend l'cat friand [16].
  • la pelle n'envie rien au fourgon, se dit de deux sales époux, bien assortis (Avranchin) [30].
  • l'buret est biein fait pour le vêtu, les deux conjoints ont autant de défauts, il n'y en a pas un pour racheter l'autre [11].
  • les loupiots du vêsin no za encou piqué des péres au gardin.
    « Les enfants du voisin nous ont encore volé des poires dans le jardin. » Attestation orale : non datée, (Barfleur).
  • l'heure de la vache, la quantité de lait qu'elle donne en une traite [17].
  • ma a la tēt, migraine [31].
  • mafinguette, ma foi (Hague) [1].
  • magine bi, j'imagine bien [19].
  • manger son grabolin, manger son bien (Avranches) [12].
  • marcher sur la chrétienté, nu-pieds, sur la partie où l'on met le chrême [9].
  • mès qué, lorsque [17].
  • michi-mora, mochi-mocha ou mochi-mora, comme-ci comme-ça [14][9][26].
  • n'avoir ni repos ni oro, n'avoir ni heure, ni temps de répit [8][1].
  • nèr coume lé tchu d'la pêle, coume lé tchu d'un rhaîtyi (poêle plate), coume lé tchu d'un caôdron [16].
  • n'être pas sûr de, n'être pas près de. il n'est pas sûr d'être arrivé [17].
  • non-frai, non, je ne veux pas, je ne le ferai pas (arr. de Valognes) [1].
  • nourrir à l'épinette, élever délicatement [12].
  • n'y a pas d'mêstier (!), c'est pas possible ! [17].
  • n'y a riein d'inté que l'vus bouais quand y s'met à fliamber, s'emploie en parlant d'une personne qui désire se marier à un âge avancé [11].
  • oll est dem'naie d'la poule à Simon et du gars à Macy, elle est toujours gaie [11].
  • oll est iorde coumme eunne cremillie; no zy attaqu'rait toutes les pesles de l'endreit, elle est sale et loqueteuse [11].
  • olle est du tchu coume un vêpe [16]. Littéralement : elle est du cul comme une guêpe (elle a tout le temps envie de sexe). Mais pourquoi une guêpe ? On a entendu à Saint-Pierre-sur-Dive (Calvados), la version francisée, qui ne s'emploie qu'au masculin, et l'explication donnée par le locuteur était explicite : il a envie d'actes sexuels au risque d'y laisser sa peau, par allusion à la guêpe qui ne peut s'empêcher de piquer bien que la perte de son dard lui soit fatale. Pour étayer l'explication ce locuteur utilisait une autre expression encore plus mystérieuse :
— Celui là on va l'appeler William.
— Ah bon ? Et pourquoi ?
— Parce qu'il est comme les poires, il va pourrir par la queue.
Les poires William étant une espèce bien connue. Du coup, on a du mal à comprendre pourquoi l'expression est citée au féminin…
  • olle est d'la goule et du tchu [16].
  • o n'a pas assez d'tête por cha qu'olle a dé tchu [16].
  • paé ? : À la fin des phrases : n'est-ce pas ? Attestation orale : non daté, Tocqueville [19]. Déformation de pas vrai ? -> pas'rai -> paé. parai [15], pas ré [4], paré [2][3].
  • par espéciauté, pour sa beauté, sa rareté, littéralement par préférence (arr. de Valognes) [1].
  • par ma fingue, par ma foi [1].
  • pas d'débéti (n'avoir) : pas de bon sens, deux pieds dans le même sabot [19].
  • pas plutôt, au contraire [1].
  • patates à la craque, pommes de terre cuites à l'eau avec leur peau [32] Attestation orale : 1970 Tourlaville.
  • péni-péno ou péni-pénant, en marchant tout doucement (Birette, p. 102 [15]). Attestation orale : 1970 Bretteville se dit d'une personne qui marche lentement, qui a du mal à marcher [19]. Cité par Birette [15]. Voir : tapana.
  • pio d'seu : assoiffé.
  • piquier la feuve, planter le chêne (Avranches) [26].
  • poulet de haie, enfant clandestin [26].
  • prêche par étrequillons coumme eun cochon qui pisse, se dit de quelqu'un qui bégaie [11].
  • premi ke, avant de [31].
  • prendre erse, s'accoutumer à faire quelque chose [26].
  • peuchalé ou pucholé, n'importe, je ne m'en soucie pas [9][26].
  • quant et quant, ensemble [8].
  • L'jeudi ãongo

Qui n a páě d'ché móuějut sen coq
L'jeudi ardãont
Qui n a páě d'ché móuějut s'n'éfãont [4]. Voir Ãongo - Ardãont.

  • quiqu'ampoit, qui qu'il en coûte, malgré que l'on en ait, quoi qu'on fasse, quoi qu'on paie [8]. Vallé de Quincampoix.
  • qui qu'chest ? : qu'est-ce que c'est ? qui qu'chest q'cha (ou ch'est)? , quest-ce que c'est que ça ? [14] Attestation orale : Bretteville.
  • red bi couchi : c'est bien fait (pour ta gueule).
  • rougie du sei met la mare à sé
    Rougie du matin met la mare au quemin.

    (Ciel rouge le soir met la mare à sec
    Ciel rouge le matin met la mare au chemin.) Attestation orale : 1970 (Cotentin).
  • rouvré l-klyoo, remettre le champ en labour [16].
  • rpâsso d-meui, repassé de mûrir, trop mûr [16].
  • sentir ou puer la boche, sentir mauvais. On aurait pu imaginer à tort que l'expression date de l'occupation, il n'en est rien. Boche est attesté en 1886 : odeur insupportable [4].
  • y'a d'tché qu'oppose, ma fei d'Du,
    (Il y a quelque chose qui coince / qui ne marche pas, ma foi en Dieu). Attestation orale : 1970 (Cotentin).
  • souple comme une bourre empaturée [16].
  • swonyi l-fwôraj, soigner le fourrage, faire le foin [16].
  • tan pu il ê kopo ver, tan pu i garde sn-éssens, tant plus (le foin) est coupé vert, tant plus il garde son essence, sa qualité propre [16].
  • ta tchure tchure !, ta tyur ! pour appeler les vaches, leur dire de venir manger [35]. Attestation orale : 1970 Bretteville [19].
  • tchi enragi mord partout, se dit d'un chaud lapin [11].
  • tchu d'l'an, dernier jour de l'année [16].
  • tchu d'la rhague, extrémité, pointe de la Hague [16].
  • tîe tie ! (ou tyé), interj., pour appeler le chien [35]. 2) appel guttural des poules (Valognes) [3].
  • tirer ses ligneux, se dit de la femme qui accouche, imitant le cordonnier tirant ses ligneux [36].
  • tirous d'la vaie, déranger-vous, faites place [17].
  • tison d'enfé, injure à une personne méchante [37].
  • tout laisser dansparou, laisser un ouvrage dans l'état où il se trouve, sans rien achever [1].
  • (tout) plein, adv., beaucoup (arr. de Valognes) [1].
  • toute la poutchi (pouquie) sent le rareng !, pour parler des hommes politiques corrompus par exemple [16][19].
  • travailler pour l'église, avoir les yeux cireux, chassieux [9].
  • un'bel nuézon, une époque de beau temps [16].
  • un cat est eun cat, un chat est un chat [11].
  • un' myèt' du, (foin) un peu dur [16].
  • uus d'gode (avei des), avoir des yeux de tacaud (poisson) : avoir l'air bête, avoir des yeux de merlan frit. Attestation orale : 1970 (Tourlaville) [19].
  • véparé ? : n'est-ce pas vrai ?
  • vêtus d'soie : cochon, porc [4]
  • y a d'la tirée, les animaux, les fruits se vendent bien [17].
  • y n'est d'si poure pot qui n'trouv' san couvercl'le, chacun peut trouver chaussure à son pied [11].
  • y n'est pé coumme l'cat minsère pis qu'il y a yeun r'sembl'lant, il a un sosie [11].
  • y souff'le coumme eun gars fouroux, il est essoufflé [11].
  • yuk tu va ? ou i yuktu va ?, où vas-tu ? [31].
[sommaire]
  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 et 1,15 [1849 Duméril] Édélestand et Alfred Duméril, Dictionnaire du patois normand, Caen, (lire en ligne).
  2. 2,0 et 2,1 [1881 Romdahl] Axel Romdahl, Glossaire du patois du Val de Saire (Manche) : suivi de remarques grammaticales, Linköping, (lire en ligne).
  3. 3,0 3,1 et 3,2 [1942 Mouchel] Alfred Mouchel, Glossaire et expressions du patois normand des régions de Valognes et de Quettehou, .
  4. 4,0 4,1 4,2 4,3 4,4 4,5 4,6 4,7 et 4,8 [1886 Fleury] Jean Fleury, Essai sur le patois normand de la Hague, Paris, Maisonneuve frères & Ch. Leclerc, éditeurs, (lire en ligne). Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « fleury » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  5. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Lepequeux
  6. Wiktionnaire (lire en ligne).
  7. Georges Métivier, Dictionnaire franco-normand ou recueil des mots particuliers au dialecte de Guernesey […], Williams and Norgate, Londres / Édimbourg, 1870, p. 83.
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 et 8,4 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Lamache
  9. 9,0 9,1 9,2 9,3 9,4 9,5 9,6 et 9,7 Dr. Sénoville, « Certains mots du canton de Saint-Sauveur-le-Vicomte » dans Revue de l'Avranchin, 1886.
  10. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Toullec
  11. 11,00 11,01 11,02 11,03 11,04 11,05 11,06 11,07 11,08 11,09 11,10 11,11 11,12 11,13 11,14 11,15 11,16 11,17 11,18 et 11,19 Lucien Toullec, « Quelques locutions, expressions, dictions et proverbes normands (nord de la Manche) », Mémoires de la Société nationale académique de Cherbourg, 1912.
  12. 12,0 12,1 12,2 12,3 et 12,4 Revue de l'Avranchin et du pays de Granville, 1886.
  13. [1923 Lemesle] Gabriel Lemesle, Le passé d'une commune française : Notes recueillies et classées jusqu'en 1914 sur Hauteville-sur-Mer (Manche), (lire en ligne).
  14. 14,0 14,1 14,2 14,3 14,4 et 14,5 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Lejoly
  15. 15,0 15,1 15,2 15,3 et 15,4 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Birette
  16. 16,00 16,01 16,02 16,03 16,04 16,05 16,06 16,07 16,08 16,09 16,10 16,11 16,12 16,13 16,14 16,15 16,16 16,17 16,18 16,19 16,20 16,21 16,22 16,23 16,24 16,25 16,26 16,27 16,28 16,29 16,30 16,31 16,32 16,33 16,34 et 16,35 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Parlures
  17. 17,00 17,01 17,02 17,03 17,04 17,05 17,06 17,07 17,08 17,09 et 17,10 R.-G. de Beaucoudrey, Le langage normand au début du XXe siècle noté sur place dans le canton de Percy (Manche), Paris, Picard, 1911.
  18. 18,0 et 18,1 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Coupey
  19. 19,00 19,01 19,02 19,03 19,04 19,05 19,06 19,07 19,08 19,09 19,10 19,11 19,12 19,13 19,14 19,15 19,16 19,17 19,18 19,19 19,20 et 19,21 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées tp
  20. 20,0 et 20,1 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Brice
  21. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées JAV
  22. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées LPM0
  23. Carte postale écrite par Maria Guéret, de Gonneville, à son mari Nicolas, le 23 juin 1916.
  24. Lettre d'Hortense du 11 juin 1916.
  25. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées magene
  26. 26,0 26,1 26,2 26,3 26,4 et 26,5 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Portbail
  27. L'Écho d'Alger, 3 février 1913.
  28. Jean-foutre ??
  29. Le Temps, 29 janvier 2013.
  30. Édouard Le Héricher, « sobriquets avranchins des corps de métier », Revue de l'Avranchin, 1890.
  31. 31,0 31,1 et 31,2 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées LFM
  32. Magène (lire en ligne).
  33. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées LPM
  34. (lire en ligne), 1912, p. 191.
  35. 35,0 et 35,1 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Lepelley
  36. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Medic
  37. [1886 Legrin] M. Legrin, « Lettre de M. Legrin à M. Le Héricher », Revue de l'Avranchin,‎ , pp. 381-382 (lire en ligne).