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==Distinctions==
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Il est officier de la Légion d'honneur le [[5 décembre]] [[1866]] et membre de l'Ordre impérial de Saint-Vladimir (Russie).
Il est officier de la Légion d'honneur le [[5 décembre]] [[1866]] et membre de l'Ordre impérial de Saint-Vladimir (Russie).
==Bibliographie==
* ''L'Électricité comme force motrice'', réédition éd. Forgotten Books, 2017
* ''Le Téléphone, le microphone et le télégraphe'', réédition éd. Ligaran, 2017


==Lien interne==
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==Liens externes==
==Liens externes==
* [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k37419s ''L'éclairage électrique'' sur Gallica]
* [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k37419s ''L'Éclairage électrique'' sur Gallica]
* [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k206317z ''Exposé des applications de l'électricité'', 1872]
* [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k206317z ''Exposé des applications de l'électricité'', 1872]



Version du 5 mai 2017 à 18:50

Théodose du Moncel.

Théodose Achille Louis vicomte du Moncel, né à Paris le 6 mars 1821, mort le 16 février 1884 dans le même ville, est une personnalité scientifique et politique liée au département de la Manche.

Biographie

Issu d'une grande famille noble normande, Théodose du Moncel est le fils du comte Alexandre du Moncel (1784-1861), général du génie et pair de France, qui possédait à Martinvast une ferme modèle, et d'Amélie de Magneville († 1829).

Jeune, il part visiter les sites archéologiques grecs et couvre ses besoins par la vente de ses croquis.

De retour à Paris, il s'intéresse à la science, particulièrement à l'électricité. Il est élu membre de l'Académie des sciences le 21 décembre 1874.

Le 28 novembre 1849, il se marie à Saint-Bouize (Cher) avec Camille de Bachasson de Montavilet (1832-1887), qui lui donne une fille, Amélie.

Vue de Cherbourg dessinée par Théodose du Moncel pour Voyage aérien en France.

Il fonde avec Emmanuel Liais et Auguste Le Jolis, la Société nationale des sciences naturelles et mathématiques de Cherbourg en 1851. Dix ans auparavant, il entrait à la Société nationale académique de Cherbourg.

Il est conseiller général de la Manche (canton d'Octeville) de 1861 et 1870.

Distinctions

Il est officier de la Légion d'honneur le 5 décembre 1866 et membre de l'Ordre impérial de Saint-Vladimir (Russie).

Bibliographie

  • L'Électricité comme force motrice, réédition éd. Forgotten Books, 2017
  • Le Téléphone, le microphone et le télégraphe, réédition éd. Ligaran, 2017

Lien interne

Liens externes