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'''Pierre Dry''', sieur de Hautmesnil, est une personnalité de la [[Manche]], marin de profession, connu comme [[Corsaires de la Manche|corsaire]] à [[Granville]].
'''Pierre Dry''', sieur de Hautmesnil, est une personnalité de la [[Manche]], marin de profession, connu comme [[Corsaires de la Manche|corsaire]] à [[Granville]].


Il est le fils de Pierre-Marie Dry et de Françoise de la Lande et petit-fils de Jean Dry et Anne Lemond <ref name = Cotentinois>[http://cotentinois.free.fr/wordpress/?page_id=840 Cotentinois], où l'on trouve en outre une généalogie détaillée des Dry.</ref>.
Il est le fils de Pierre-Marie Dry et de Françoise de la Lande et petit-fils de Jean Dry et Anne Lemond <ref name = Cotentinois>[http://cotentinois.free.fr/wordpress/?page_id=840 Cotentinois], où l'on trouve en outre une généalogie détaillée des Dry.</ref>. Il est le cousin de [[Nicolas Dry]].


==Contexte historique==
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[[Catégorie:Biographie]]
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Dernière version du 9 août 2022 à 13:48

Pierre Dry, sieur de Hautmesnil, est une personnalité de la Manche, marin de profession, connu comme corsaire à Granville.

Il est le fils de Pierre-Marie Dry et de Françoise de la Lande et petit-fils de Jean Dry et Anne Lemond [1]. Il est le cousin de Nicolas Dry.

Contexte historique

Sous le règne de Louis XIV, pendant la guerre de la Ligue d’Augsbourg, les Granvillais hésitent à armer en course dès le début des hostilités en octobre 1688 : on ne trouve en effet trace de corsaires locaux qu’à la fin de 1690.

On note cependant que le terre-neuvier La Reyne des anges (capitaine Jean Baillon), accompagné de deux autres navires granvillais, s’empare à la fin du mois d’août 1689 d’un navire anglais de Bristol, l’Unité. Les morutiers granvillais sont armés en guerre et marchandises, et la commission est délivrée au capitaine Baillon le 3 février 1689. Dans les années qui suivent, nombre de terre-neuviers sont transformés en corsaires. Cette mutation de la marine granvillaise en flotte auxiliaire est bien évidemment encouragée par le Roi [1].

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 Cotentinois, où l'on trouve en outre une généalogie détaillée des Dry.