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Son père [[Gustave Cochois]] se voit confier la direction du ''Glaneur de la Manche'' par son propriétaire, qui en acquiert la propriété peu de temps après.
Son père [[Gustave Cochois]] se voit confier la direction du ''Glaneur de la Manche'' par son propriétaire, qui en acquiert la propriété peu de temps après.


Michel Cochois fonde l’hebdomadaire "La Gazette de la Manche" le 1{{er}} novembre [[1947]]. Il tire lui-même le premier numéro à 2 000 exemplaires <ref name=Ouest>« Décès du fondateur de "La Gazette de la Manche" », ''Ouest-France'', 26 mars 2010 </ref>. Il développe le journal pour porter son tirage jusqu'à 25 000 exemplaires dans les années 1980 <ref name=Ouest/>
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Il prend sa retraite en [[1982]]. Son fils Jean-Luc lui succède. En [[1992]], "[[Ouest-France]]", entre dans le capital de l'hebdomadaire.
Il prend sa retraite en [[1982]]. Son fils Jean-Luc lui succède. En [[1992]], ''[[Ouest-France]]'' entre dans le capital de l'hebdomadaire.


==Notes==
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Version du 27 mars 2010 à 19:59

Michel Cochois, né en 1919 à Saint-Hilaire-du-Harcouët, mort le 24 mars 2010, est une personnalité de la Manche.

Son père Gustave Cochois se voit confier la direction du Glaneur de la Manche par son propriétaire, qui en acquiert la propriété peu de temps après.

Michel Cochois fonde l’hebdomadaire La Gazette de la Manche le 1er novembre 1947. Il tire lui-même le premier numéro à 2 000 exemplaires [1]. Il développe le journal pour porter son tirage jusqu'à 25 000 exemplaires dans les années 1980 [1]

Il prend sa retraite en 1982. Son fils Jean-Luc lui succède. En 1992, Ouest-France entre dans le capital de l'hebdomadaire.

Notes

  1. 1,0 et 1,1 « Décès du fondateur de "La Gazette de la Manche" », Ouest-France, 26 mars 2010