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'''Léon Robbes''', {{date naissance|24|1|1910|Ger}} | '''Léon Robbes''', {{date naissance|24|1|1910|Ger}} et mort à Harzungen (Allemagne) {{date décès|11|4|1945}}, est un déporté de la [[Manche]]. | ||
Léon Robbes fait partie du convoi qui part de Compiègne-Royallieu (Oise) le [[12 mai]] [[1944]]. Ce transport vers le camp de concentration de Buchenwald emporte 2 073 prisonniers. Dans les wagons se trouvent également les Manchois : [[Jean Couraye du Parc|Couraye du Parc]], [[Ernest Duguépéroux|Duguépéroux]], [[Robert Gaultier de Carville|Gaultier de Carville]], [[Marcel Huard|Huard]] et [[Roger Lecluze|Lecluze]]. | Léon Robbes fait partie du convoi qui part de Compiègne-Royallieu (Oise) le [[12 mai]] [[1944]]. Ce transport vers le camp de concentration de Buchenwald emporte 2 073 prisonniers. Dans les wagons se trouvent également les Manchois : [[Jean Couraye du Parc|Couraye du Parc]], [[Ernest Duguépéroux|Duguépéroux]], [[Robert Gaultier de Carville|Gaultier de Carville]], [[Marcel Huard|Huard]] et [[Roger Lecluze|Lecluze]]. |
Version du 8 décembre 2019 à 23:13
Léon Robbes, né à Ger le 24 janvier 1910 et mort à Harzungen (Allemagne) le 11 avril 1945, est un déporté de la Manche.
Léon Robbes fait partie du convoi qui part de Compiègne-Royallieu (Oise) le 12 mai 1944. Ce transport vers le camp de concentration de Buchenwald emporte 2 073 prisonniers. Dans les wagons se trouvent également les Manchois : Couraye du Parc, Duguépéroux, Gaultier de Carville, Huard et Lecluze.
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 49543. Il intègre le kommando Harzungen, Anna ou encore appelé Mittelbau II dépendant de camp-mère de Dora qui a ouvert en avril 1944. Son activité principale est l'installation d'une usine souterraine dans la colline du Himmelberg.
Il y trouve la mort le 11 avril 1945.