Actions

« Jean-Pierre Bachasson de Montalivet » : différence entre les versions

De Wikimanche

Aucun résumé des modifications
mAucun résumé des modifications
Ligne 14 : Ligne 14 :
Il accompagne Marie-Louise à Blois en [[1814]] puis quitte la vie publique, jusqu'à être rappelé durant les Cent-jours, comme intendant général de la couronne et Pair de France.
Il accompagne Marie-Louise à Blois en [[1814]] puis quitte la vie publique, jusqu'à être rappelé durant les Cent-jours, comme intendant général de la couronne et Pair de France.


Exclu de la chambre des Pairs au retour des Bourbons, il y siège à nouveau à partir de [[1819]], sans s'y distinguer lors des débat, suivant les votes du parti constitutionnel. Après sa mort, [[Napoléon Daru]] prononce son éloge funèbre à la Chambre le 20 mars [[1823]].
Exclu de la chambre des Pairs au retour des Bourbons, il y siège à nouveau à partir de [[1819]], sans s'y distinguer lors des débats, suivant les votes du parti constitutionnel. Après sa mort, [[Napoléon Daru]] prononce son éloge funèbre à la Chambre le 20 mars [[1823]].


{{DEFAULTSORT:Montalivet, Jean-Pierre Bachasson}}
{{DEFAULTSORT:Montalivet, Jean-Pierre Bachasson}}
[[Catégorie:Préfet de la Manche]]
[[Catégorie:Préfet de la Manche]]

Version du 20 août 2009 à 08:48

Jean-Pierre Bachasson, comte de Montalivet par Jean-Baptiste Regnault

Jean-Pierre Bachasson de Montalivet, né à Sarreguemines (Moselle) le 15 juillet 1766, mort à La Grange (Cher) le 22 janvier 1823, est un homme politique de la Manche.

Biographie

S'engageant dans la magistrature, il est nommé conseiller au Parlement de Grenoble à 19 ans.

Nommé maire de Valence et conseiller général de la Drôme après le 18 brumaire, il devient préfet de la Manche en 1801.

En 1804, il quitte la Manche pour la préfecture de Seine-et-Oise.

Il est fait ensuite conseiller d'État, commandant de la Légion d'honneur, directeur des ponts et chaussées (1805), et ministre de l'Intérieur en 1809.

Il accompagne Marie-Louise à Blois en 1814 puis quitte la vie publique, jusqu'à être rappelé durant les Cent-jours, comme intendant général de la couronne et Pair de France.

Exclu de la chambre des Pairs au retour des Bourbons, il y siège à nouveau à partir de 1819, sans s'y distinguer lors des débats, suivant les votes du parti constitutionnel. Après sa mort, Napoléon Daru prononce son éloge funèbre à la Chambre le 20 mars 1823.