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'''Jacques Épron-Desjardins''', {{date naissance|29|10|1766|Granville}}<ref>M. de Lomas, « La Guerre de Course à Granville pendant la Révolution et le Premier Empire », ''Annuaire des cinq départements de la Normandie'', Caen et Rouen, 1911, p. 11-29 [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54546227/f81.item ''(lire en ligne)'']</ref> et mort à Saint-Servan (Ille-et-Vilaine) {{date décès|28|11|1837}}, est une personnalité militaire de la [[Manche]]. | '''Jacques Épron-Desjardins''', {{date naissance|29|10|1766|Granville}}<ref>[https://www.archives-manche.fr/ark:/57115/s005e5fdcb322417/5e5fdcb48fdaa.ef=2&s=14 « Acte de baptême »], ''Archives de la Manche'', archives communales de Granville, registre paroissial 1766, E79, page 45/89.</ref><ref>M. de Lomas, « La Guerre de Course à Granville pendant la Révolution et le Premier Empire », ''Annuaire des cinq départements de la Normandie'', Caen et Rouen, 1911, p. 11-29 [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54546227/f81.item ''(lire en ligne)'']</ref> et mort à Saint-Servan (Ille-et-Vilaine) {{date décès|28|11|1837}}, est une personnalité militaire de la [[Manche]]. | ||
Il commande ''L'Argonaute'' (74 canons) lors de la défaite de Trafalgar ([[21 octobre]] [[1805]]). | Il commande ''L'Argonaute'' (74 canons) lors de la défaite de Trafalgar ([[21 octobre]] [[1805]]). |
Version du 21 août 2020 à 19:09
Jacques Épron-Desjardins, né à Granville le 29 octobre 1766[1][2] et mort à Saint-Servan (Ille-et-Vilaine) le 28 novembre 1837, est une personnalité militaire de la Manche.
Il commande L'Argonaute (74 canons) lors de la défaite de Trafalgar (21 octobre 1805).
À bord de la frégate La Piémontaise, il part de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) le 17 décembre 1805 pour aller secourir le gouverneur général Charles Decaen (1769-1832), établi dans l'Île Maurice.
Il termine sa carrière comme contre-amiral.
Il est anobli en 1815.
Il est le frère aîné de Louis Jacques Épron de la Horie (1868-1841), marin lui aussi.
Notes et références
- ↑ « Acte de baptême », Archives de la Manche, archives communales de Granville, registre paroissial 1766, E79, page 45/89.
- ↑ M. de Lomas, « La Guerre de Course à Granville pendant la Révolution et le Premier Empire », Annuaire des cinq départements de la Normandie, Caen et Rouen, 1911, p. 11-29 (lire en ligne)