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'''François Coppée''', né à Paris, {{date naissance|26|1|1842}}, mort {{date décès|23|5|1908}}, est une personnalité intellectuelle liée au département de la [[Manche]].
[[Fichier:François Coppée (Stories By Foreign Authors).jpg|vignette|upright|François Coppée (1898).]]
'''François Coppée''', né à Paris {{date naissance|26|1|1842}}, mort {{date décès|23|5|1908}}, est une personnalité intellectuelle liée au département de la [[Manche]].


C'est un poète parnassien, auteur dramatique, conteur et romancier.
[[Fichier:Chez Alphonse Lemerre, à Ville-d’Avray - Paul Chabas.jpg|thumb|''Chez Alphonse Lemerre, à Ville-d’Avray'' par Paul Chabas.]]
C'est un poète parnassien, auteur dramatique, conteur et romancier. Édité par [[Alphonse Lemerre]], il apparaît parmi d'autres Parnassiens dans le tableau de Paul Chabas, ''Chez Alphonse Lemerre, à Ville d’Avray'' ([[1895]]).


Nommé archiviste de la Comédie-Française en [[1878]], il démissionne après son élection à l'[[Académie française]] qui a lieu le [[21 février]] [[1884]] en remplacement de Victor de Laprade. Il y est reçu le 18 décembre 1884 par Victor Cherbuliez. Il fait partie de la commission du dictionnaire.
Nommé archiviste de la Comédie-Française en [[1878]], il démissionne après son élection à l'[[Académie française]] qui a lieu le [[21 février]] [[1884]] en remplacement de Victor de Laprade. Il y est reçu le 18 décembre 1884 par Victor Cherbuliez. Il fait partie de la commission du dictionnaire.
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À l'occasion du procès Dreyfus en [[1898]], il défend les institutions militaires, religieuses et sociales, attaquées violemment. Il est l'un des fondateurs de la Ligue de la patrie française.
À l'occasion du procès Dreyfus en [[1898]], il défend les institutions militaires, religieuses et sociales, attaquées violemment. Il est l'un des fondateurs de la Ligue de la patrie française.


Estivant fidèle à [[Agon-Coutainville]], la mairie lui attribue une rue François-Coppée qui relie la rue de la Chapelle à la rue [[Siméon Luce]].
Estivant fidèle à [[Agon-Coutainville]], la mairie lui attribue une rue François-Coppée qui relie la rue de la Chapelle à la rue [[Siméon Luce|Siméon-Luce]].


Parmi ses nombreuses publications <ref>Académie française, site internet [http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/francois-coppee ''(lire en ligne)''].</ref>, on dit qu'il composa dans la [[Manche]] ''Les Jacobites'' en [[1885]] et une partie de ''Les Humbles'' en [[1872]].
Parmi ses nombreuses publications <ref>Académie française, site internet [http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/francois-coppee ''(lire en ligne)''].</ref>, on dit qu'il composa dans la [[Manche]] ''Les Jacobites'' en [[1885]] et une partie de ''Les Humbles'' en [[1872]].

Version du 21 janvier 2019 à 23:33

François Coppée (1898).

François Coppée, né à Paris le 26 janvier 1842, mort le 23 mai 1908, est une personnalité intellectuelle liée au département de la Manche.

Chez Alphonse Lemerre, à Ville-d’Avray par Paul Chabas.

C'est un poète parnassien, auteur dramatique, conteur et romancier. Édité par Alphonse Lemerre, il apparaît parmi d'autres Parnassiens dans le tableau de Paul Chabas, Chez Alphonse Lemerre, à Ville d’Avray (1895).

Nommé archiviste de la Comédie-Française en 1878, il démissionne après son élection à l'Académie française qui a lieu le 21 février 1884 en remplacement de Victor de Laprade. Il y est reçu le 18 décembre 1884 par Victor Cherbuliez. Il fait partie de la commission du dictionnaire.

À l'occasion du procès Dreyfus en 1898, il défend les institutions militaires, religieuses et sociales, attaquées violemment. Il est l'un des fondateurs de la Ligue de la patrie française.

Estivant fidèle à Agon-Coutainville, la mairie lui attribue une rue François-Coppée qui relie la rue de la Chapelle à la rue Siméon-Luce.

Parmi ses nombreuses publications [1], on dit qu'il composa dans la Manche Les Jacobites en 1885 et une partie de Les Humbles en 1872.

Notes et références

  1. Académie française, site internet (lire en ligne).