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'''Félix''' François '''Cambernon''', {{date naissance|10| | '''Félix''' François '''Cambernon''', {{date naissance|10|mai|1813|Saint-Nicolas-près-Granville}}<ref>AD50, NMD Saint-Nicolas-près-Granville, 1813-1817 (5 Mi 104), page 23/443 Acte de naissance [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085769t6iXjm/4ddb0083d3 ''(lire en ligne)''].</ref> et {{date décès|22|avril|1880|Granville}}<ref>AD50, NMD Granville, 1880 (5 Mi 100), page 189/266 Acte de décès n° 108 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085769wgkOWc/1fbb76ea09 ''(lire en ligne)''].</ref> , est une personnalité médicale de la [[Manche]]. | ||
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Élève au [[collège d'Avranches]], dès l'âge de 16 ans il envisage un avenir de médecin. Après une première année d'études médicales à Caen (Calvados), Félix Cambernon suit les cours du professeur Dupuytren à Paris. Reçu en [[1834]] au concours de l'externat, il entre à la Pitié et soutient sa thèse de doctorat en mai [[1840]]. Il commence alors à exercer chirurgie et médecine à Granville où il s'installe définitivement en [[1846]] <ref name=vmvg/>. | Élève au [[collège d'Avranches]], dès l'âge de 16 ans il envisage un avenir de médecin. Après une première année d'études médicales à Caen (Calvados), Félix Cambernon suit les cours du professeur Dupuytren à Paris. Reçu en [[1834]] au concours de l'externat, il entre à la Pitié et soutient sa thèse de doctorat en mai [[1840]]. Il commence alors à exercer chirurgie et médecine à Granville où il s'installe définitivement en [[1846]] <ref name=vmvg/>. | ||
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Version du 11 novembre 2019 à 19:03
Félix François Cambernon, né à Saint-Nicolas-près-Granville le 10 mai 1813[1] et mort à Granville le 22 avril 1880[2] , est une personnalité médicale de la Manche.
Biographie
Il est l'aîné des quatre enfants de Félix Marie Cambernon (officier de marine militaire puis négociant et armateur) et d'Aimée Boisnard Grandmaison, son épouse (elle-même issue d'une famille de négociants et armateurs granvillais)[3].
Élève au collège d'Avranches, dès l'âge de 16 ans il envisage un avenir de médecin. Après une première année d'études médicales à Caen (Calvados), Félix Cambernon suit les cours du professeur Dupuytren à Paris. Reçu en 1834 au concours de l'externat, il entre à la Pitié et soutient sa thèse de doctorat en mai 1840. Il commence alors à exercer chirurgie et médecine à Granville où il s'installe définitivement en 1846 [3].
Il épouse en 1847 Henriette Françoise Maillard, nièce du célèbre Chevalier Destouches. Le couple s'installe au 55, rue Saint-Jean. Ils auront deux enfants : Henri Félix, capitaine au long cours à la Compagnie générale transatlantique et Aimée qui, en 1873, épouse Paul Charles Daguenet à Granville [3].
Son implication dans la vie communale comme conseiller municipal et adjoint au maire, son abnégation et son sens de la charité le font surnommer « le bon docteur Cambernon » [3].
Il meurt à son domicile à l'âge de 66 ans. Il est enterré au cimetière Notre-Dame.
Hommage
La municipalité donne son nom à la place du Carrefour et à l'ancienne rue de la Place attenante[3].
Notes et références
- ↑ AD50, NMD Saint-Nicolas-près-Granville, 1813-1817 (5 Mi 104), page 23/443 Acte de naissance (lire en ligne).
- ↑ AD50, NMD Granville, 1880 (5 Mi 100), page 189/266 Acte de décès n° 108 (lire en ligne).
- ↑ 3,0 3,1 3,2 3,3 et 3,4 Vie et mémoires du vieux Granville, (lire en ligne), consulté le 8 janvier 2018.
Lien externe
- Portrait de Félix Cambernon, docteur médecin aux archives départementales de la Manche