« Ay » : différence entre les versions
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* ''E'' s.d., graphie usuelle au Moyen Âge <ref name = NCM/>. | * ''E'' s.d., graphie usuelle au Moyen Âge <ref name = NCM/>. | ||
* ''Ey'' 1612/1636 <ref>Jean Bigot sieur de Sommesnil, ''État des paroisses des élections de Normandie'', 1612/1636 [BN, ms. fr. 4620]</ref>. | * ''Ey'' 1612/1636 <ref>Jean Bigot sieur de Sommesnil, ''État des paroisses des élections de Normandie'', 1612/1636 [BN, ms. fr. 4620]</ref>. | ||
* ''E'' 1652 <ref name = NCM>François de Beaurepaire, ''op. cit.'', p. 87.</ref>. | |||
* ''Ay'' 1677 <ref>''Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles'', 1677 [BN, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].</ref>, 1713 <ref>''Dénombrement des généralités'' de 1713 [BN, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].</ref>. | * ''Ay'' 1677 <ref>''Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles'', 1677 [BN, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].</ref>, 1713 <ref>''Dénombrement des généralités'' de 1713 [BN, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].</ref>. | ||
* ''Riviere d'Ay'' 1753/1785 <ref>Carte de Cassini.</ref>. | * ''Riviere d'Ay'' 1753/1785 <ref>Carte de Cassini.</ref>. | ||
Version du 5 décembre 2009 à 17:56
L'Ay est un fleuve côtier de la Manche.
Il prend sa source à Montsurvent et se jette dans la Manche par le havre de Lessay. Il est long de 33 km.
Les communes d'Angoville-sur-Ay, Bretteville-sur-Ay et Saint-Germain-sur-Ay ont en commun d'avoir apporté le nom du cours d'eau à leur toponyme respectif.
Hydronymie
Attestations anciennes
- rivulum Aethe 1102 [1].
- fluvium Ete 1105 [1].
- E s.d., graphie usuelle au Moyen Âge [1].
- Ey 1612/1636 [2].
- E 1652 [1].
- Ay 1677 [3], 1713 [4].
- Riviere d'Ay 1753/1785 [5].
- Ay 1854 [6].
Étymologie
Comme un grand nombre de noms de rivières de France, celui de l'Ay est d'origine pré-latine, et sans doute pré-celtique. Il semble qu'il faille y voir un ancien thème hydronymique °itt-, de sens indéterminé, mais à l'origine du nom de l'Epte (forme latinisée Itta) en Seine-Maritime, et de l'Iton (Ittonem 712/713) dans l'Eure. On retrouve cet élément dans les noms de l'Itz, de l'Itter et de l'Ette en Allemagne [1].
Annexes
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 73. Erreur de référence : Balise
<ref>incorrecte : le nom « NCM » est défini plusieurs fois avec des contenus différents. - ↑ Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BN, ms. fr. 4620]
- ↑ Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BN, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
- ↑ Dénombrement des généralités de 1713 [BN, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
- ↑ Carte de Cassini.
- ↑ V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.