« Alexandre Morin » : différence entre les versions
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À son arrivée au camp de Neuengamme, Alexandre Morin se voit attribuer le matricule 44026. Il intègre le kommando Wilhelmshaven, au nord-ouest de Brême, sur la Mer du Nord. Il y travaille sur les chantiers navals de la ville, pour la Kriegsmarine et réalise également des tâches de déblaiement. Puis il est du kommando. Il est ensuite au camp devenu ""mouroir"" de Neuengamme. | À son arrivée au camp de Neuengamme, Alexandre Morin se voit attribuer le matricule 44026. Il intègre le kommando Wilhelmshaven, au nord-ouest de Brême, sur la Mer du Nord. Il y travaille sur les chantiers navals de la ville, pour la Kriegsmarine et réalise également des tâches de déblaiement. Puis il est du kommando. Il est ensuite au camp devenu ""mouroir"" de Neuengamme. | ||
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Dernière version du 8 août 2022 à 11:08
Alexandre Alfred Mathurin Morin, né à Poilley le 5 mai 1923 [1] et mort à Saint-Mards-en-Othe (Aube ) le 16 décembre 1987 [2], est un déporté de la Manche, rentré d'un camp de concentration en Allemagne.
Chauffeur de profession, Alexandre Morin rejoint le maquis de Tremblay (Ille-et-Vilaine) en 1943[3]. Arrêté en juin 1944[3], il est déporté à bord d'un train qui quitte Belfort (Territoire de Belfort) le 29 août 1944 à destination du camp de concentration de Neuengamme (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 722 hommes dont les Manchois Lecavelier et Muriel.
À son arrivée au camp de Neuengamme, Alexandre Morin se voit attribuer le matricule 44026. Il intègre le kommando Wilhelmshaven, au nord-ouest de Brême, sur la Mer du Nord. Il y travaille sur les chantiers navals de la ville, pour la Kriegsmarine et réalise également des tâches de déblaiement. Puis il est du kommando. Il est ensuite au camp devenu ""mouroir"" de Neuengamme.
Alexandre Morin rentre de déportation d'un lieu et à une date ignorés.
Notes et références
- ↑ « Fichier des personnes décédées », data.gouv.fr, Insee, année 1987.
- ↑ « Acte de décès n° 13 - État-civil de Saint-Mards-en-Othe - Fichier des personnes décédées », data.gouv.fr, Insee, année 1987.
- ↑ 3,0 et 3,1 René Gautier et 54 correspondants, 601 communes et lieux de vie de la Manche, 2014, p. 464.