« 136e régiment d'infanterie » : différence entre les versions
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Pendant la [[Première Guerre mondiale]], il quitte Saint-Lô le [[7 août]] | Pendant la [[Première Guerre mondiale]], il quitte Saint-Lô le [[7 août]] [[1914]] sous le commandement du colonel de Cadoudal, secondé par les chefs de bataillon Humbert, Cruèghe et Géant <ref name=histo>''Historique du 136{{e}} régiment d'infanterie'', impr. Oberthur, Rennes, 1920 [http://horizon14-18.eu/wa_files/RI136_Histo.pdf ''(lire en ligne)'']. </ref>. Il se compose alors de 57 officiers subalternes, 227 sous-officiers et 3 105 caporaux et soldats <ref name=histo/>. | ||
Sa devise est : | Sa devise est : « Je ne recule ni ne dévie ». | ||
== Soldats du 136{{e}} régiment d’infanterie == | |||
* [[Eugène Debroise]] ([[1896]]-[[1952]]) incorporé le [[12 avril]] [[1915]], jusqu’au [[23 avril]] [[1916]]. | |||
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Version du 17 janvier 2018 à 20:27
Le 136e Régiment d'infanterie (136e RI), est un régiment de l'armée de terre de la Manche.
Il est basé à Saint-Lô, à la caserne Bellevue.
Pendant la Première Guerre mondiale, il quitte Saint-Lô le 7 août 1914 sous le commandement du colonel de Cadoudal, secondé par les chefs de bataillon Humbert, Cruèghe et Géant [1]. Il se compose alors de 57 officiers subalternes, 227 sous-officiers et 3 105 caporaux et soldats [1].
Sa devise est : « Je ne recule ni ne dévie ».
Soldats du 136e régiment d’infanterie
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 Historique du 136e régiment d'infanterie, impr. Oberthur, Rennes, 1920 (lire en ligne).