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Pionnier du vol à voile à Vauville
'''Georges Abrial''', pour l'état civil Paul Émile Georges Abrial, {{date naissance|5|2|1898|Paris}} <ref name=ec>[https://archives.paris.fr « Acte de naissance n° 959 »], ''Archives de  Paris'', archives du {{14e}} arrondissement, registre de l'état-civil des naissances (1898), V4E 9710, page 3/31.</ref> et {{date décès|31|7|1970|Vauville}} <ref name=ec/>, est une personnalité sportive de la [[Manche]], pionnier du vol à voile.


'''Georges Abrial''' est né à Paris en 1898 et décédé le 2 août 1970 sur les terres de sa passion – c’est-à-dire sur le terrain d’aviation de [[Vauville]]. Il a d'ailleurs fait de [[Vauville]], dans la Hague, l’un des tout premiers centres de vol à voile de France.
== Biographie ==
Ses travaux mondialement connus comme ses écrits pertinents et son expérience - il était un ancien de l’aéronautique de l’époque héroïque où les planeurs faisaient quelques timides vols de dizaines ou centaines de mètres tout au plus - l’avaient conduit à la présidence de l’Association Française Aérienne qu’il occupait encore à son décès.
Vauville lui doit incontestablement sa notoriété mondiale dans un domaine on ne peut plus extrême et écologique, comme on ne disait pas encore, lorsque le jeune Abrial fit son premier baptême de l’air en 1904, à 6 ans.


Sorti de l'Institut aéronautique de Saint-Cyr, il entre comme aérodynamicien chez Levasseur, où il construit trois planeurs et avion de tourisme biplace, l'''Abrial A-3 Oricou''. Il se lance dans la construction d'un planeur sans queue, qu'il n'arrivera jamais à finaliser. Il se consacre ensuite plus spécialement au vol à voile, qu'il entreprend de faire connaître et de développer, tant en France qu'en Afrique française.


==Sources et pour plus d’infos==
Georges Abrial a fait de [[Vauville]], dans la [[Hague]], et tout particulièrement du camp Maneyrol, l’un des tout premiers centres de [[Vol à voile dans la Manche|vol à voile]] de France.
''Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche'' – Sous la direction de René GAUTIER, Tome 4 – [http://www.normandiffusion.com/ Editions EUROCIBLES]– Marigny
 
Ses travaux mondialement connus comme ses écrits pertinents et son expérience - il était un ancien de l’aéronautique de l’époque héroïque où les planeurs faisaient quelques timides vols de dizaines ou centaines de mètres tout au plus - l’avaient conduit à la présidence de l’Association française aérienne qu’il occupait encore à son décès.
 
Avec [[Alexis Maneyrol]], Vauville lui doit une partie de sa notoriété mondiale dans un domaine on ne peut plus extrême et écologique, comme on ne disait pas encore, lorsque le jeune Abrial fit son premier baptême de l’air en [[1904]], à 6 ans.
 
== Publications ==
* ''Histoire du vol à voile à Vauville'', 1951
* ''Vauville, haut-lieu du vol à voile français'', Aviasport, 1969
 
{{Notes et références}}
 
{{CLEDETRI:Abrial, Georges}}
[[Catégorie:Aviateur de la Manche]]
[[Catégorie:Biographie]]
[[Catégorie:Décès à 72 ans]]
[[Catégorie:Personnalité sportive de la Manche]]

Dernière version du 24 janvier 2024 à 14:26

Georges Abrial, pour l'état civil Paul Émile Georges Abrial, né à Paris le 5 février 1898 [1] et mort à Vauville le 31 juillet 1970 [1], est une personnalité sportive de la Manche, pionnier du vol à voile.

Biographie

Sorti de l'Institut aéronautique de Saint-Cyr, il entre comme aérodynamicien chez Levasseur, où il construit trois planeurs et avion de tourisme biplace, l'Abrial A-3 Oricou. Il se lance dans la construction d'un planeur sans queue, qu'il n'arrivera jamais à finaliser. Il se consacre ensuite plus spécialement au vol à voile, qu'il entreprend de faire connaître et de développer, tant en France qu'en Afrique française.

Georges Abrial a fait de Vauville, dans la Hague, et tout particulièrement du camp Maneyrol, l’un des tout premiers centres de vol à voile de France.

Ses travaux mondialement connus comme ses écrits pertinents et son expérience - il était un ancien de l’aéronautique de l’époque héroïque où les planeurs faisaient quelques timides vols de dizaines ou centaines de mètres tout au plus - l’avaient conduit à la présidence de l’Association française aérienne qu’il occupait encore à son décès.

Avec Alexis Maneyrol, Vauville lui doit une partie de sa notoriété mondiale dans un domaine on ne peut plus extrême et écologique, comme on ne disait pas encore, lorsque le jeune Abrial fit son premier baptême de l’air en 1904, à 6 ans.

Publications

  • Histoire du vol à voile à Vauville, 1951
  • Vauville, haut-lieu du vol à voile français, Aviasport, 1969

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 « Acte de naissance n° 959 », Archives de Paris, archives du 14e arrondissement, registre de l'état-civil des naissances (1898), V4E 9710, page 3/31.