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Il est maire radical-socialiste de [[Valognes]] de [[1919]] à [[1941]]. Il démissionne de ses fonctions le [[19 septembre]] [[1940]], en restant membre du conseil municipal<ref name = PM>Pierre Mouchel, ''C'est le pays qui m'a donné le jour'', éd. du Panthéon 2016 [https://books.google.fr/books?id=dJJ3DgAAQBAJ&pg=PT27&lpg=PT27&dq=Poutas-Larue,+Valognes&source=bl&ots=GVYFHUS_7G&sig=ACfU3U2JbHr_fGy2bF1MWbbIdlx7eTcqjQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjZ087K967nAhW_BWMBHbNeBl44FBDoATANegQIChAB#v=onepage&q=Poutas-Larue&f=false ''(lire en ligne)'']</ref>. Le conseil élit Raymond Le Révérend, directeur du journal ''L'Union'' , ce dernier n'accepte que comme « intéri-maire » ; le conseiller Louis Delarue prend la place, mais démissionne, avec tout le conseil en février [[1941]]<ref name = PM/>, date à laquelle le préfet [[Gaston Mumber]] nomme [[Henri Cornat]]. | Il est maire radical-socialiste de [[Valognes]] de [[1919]] à [[1941]]. Il démissionne de ses fonctions le [[19 septembre]] [[1940]], en restant membre du conseil municipal<ref name = PM>Pierre Mouchel, ''C'est le pays qui m'a donné le jour'', éd. du Panthéon 2016 [https://books.google.fr/books?id=dJJ3DgAAQBAJ&pg=PT27&lpg=PT27&dq=Poutas-Larue,+Valognes&source=bl&ots=GVYFHUS_7G&sig=ACfU3U2JbHr_fGy2bF1MWbbIdlx7eTcqjQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjZ087K967nAhW_BWMBHbNeBl44FBDoATANegQIChAB#v=onepage&q=Poutas-Larue&f=false ''(lire en ligne)'']</ref>. Le conseil élit Raymond Le Révérend, directeur du journal ''L'Union'' , ce dernier n'accepte que comme « intéri-maire » ; le conseiller Louis Delarue prend la place, mais démissionne, avec tout le conseil en février [[1941]]<ref name = PM/>, date à laquelle le préfet [[Gaston Mumber]] nomme [[Henri Cornat]]. | ||
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Version du 1 février 2020 à 15:05
Auguste Poutas-Larue est une personnalité politique de la Manche, avocat de profession.
Il est maire radical-socialiste de Valognes de 1919 à 1941. Il démissionne de ses fonctions le 19 septembre 1940, en restant membre du conseil municipal[1]. Le conseil élit Raymond Le Révérend, directeur du journal L'Union , ce dernier n'accepte que comme « intéri-maire » ; le conseiller Louis Delarue prend la place, mais démissionne, avec tout le conseil en février 1941[1], date à laquelle le préfet Gaston Mumber nomme Henri Cornat.
Il est candidat malchanceux aux élections législatives de 1924 sur la liste des Républicains de la Manche [2].
C'est un anticlérical notoire dont l'enterrement civil a suscité une forte polémique dans le milieu des « bienpensants » valognais[1].
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 et 1,2 Pierre Mouchel, C'est le pays qui m'a donné le jour, éd. du Panthéon 2016 (lire en ligne)
- ↑ « Élections législatives » , L'Ouest-Éclair, 14 mai 1924 (lire en ligne)